LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Technique éducative : le cinéma d'animation

Technique éducative : le cinéma d'animation Ces deux semaines de techniques éducatives ont été pour moi très riches, tant sur le plan de la découverte propre d’une technique et de ce qui la compose (théorie), que sur la projection de mise en oeuvre de cet atelier auprès d’une population en situation de handicap mental. Aussi, cela a été un grand plaisir d’avoir pu partager cette expérience avec des collègues de formation, que je ne connaissais, finalement, que peu. Notre satisfaction, au terme de la quinzaine, était d’avoir pu présenter ce travail à l’ensemble de la promotion d’éducateurs spécialisés.

Pour commencer, je donnerai un rapide historique qui me permettra également de définir ce qu’est le cinéma d’animation. Dans un second temps, je présenterai de façon plus précise le matériel, les techniques et ses termes qui sont employés en cinéma d’animation. J’évoquerai enfin la mise en place et les différentes étapes de ce type d’atelier en foyer d’hébergement.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Rôle de l'éducateur spécialisé

J’aimerais questionner ici la responsabilité éthique du travailleur social. Comment envisage-t-on la place que l’on occupe auprès de l’autre ? Cet autre qu’on accompagne, cet autre dont on s’occupe, cet autre « invalidé » qu’on tente d’autonomiser, de responsabiliser, de rendre plus efficient … La pratique éducative interroge à mon sens directement cette notion de rapport à l’autre.

Dossier : La violence
Nous sommes parties du constat que la violence pouvait être un moyen de communication et avons définis notre question de départ : « Quelles sont les manifestations et les causes de la violence entre les enfants de 8 à 12 ans en IME ? ». Puis nous avons débuté nos recherches et avons du faire face à un manque d’appuis théoriques en raison de notre sujet trop ciblé. Ainsi, de nouvelles questions se sont imposées à nous : la violence est-elle propre à l’IME ou est-ce un phénomène de société ?... Après une réflexion commune, nous avons décidé de garder le même thème, la violence, en prenant s’orientant sur la violence physique.
L'ordonnance du 2 février 1945

Rompant avec le système juridique prévalant sous l’ancien régime, qui ne faisait aucune différence entre les adultes et les enfants concernant la responsabilité pénale, le Code Pénal de 1810 fixa la majorité pénale à 16 ans. Le juge chargé d’une affaire mettant en cause un mineur de moins de 16 ans se fondait alors sur le critère de discernement. S’il était établi que le mineur avait agi sans discernement, le juge prononçait un acquittement, mais le mineur devait être éloigné de la société et faisait l’objet d’un placement en maison de correction où il bénéficiait de mesures éducatives, pour une durée, qui ne pouvait aller au-delà de son vingtième anniversaire. En revanche, si le juge estimait que le mineur avait agi en pleine connaissance de cause, il bénéficiait d’une atténuation de peine, mais devait effectuer celle-ci dans les conditions de droit commun. Ce système fut critiqué car il favorisait la promiscuité et ne prenait pas suffisamment en compte les spécificités de la délinquance juvénile par rapport à la criminalité en général. Pour remédier à cette insuffisance, la loi du 5 avril 1850 instaura alors les colonies pénitentiaires de jeunes détenus, accueillant tous les mineurs délinquants quel qu’ait été leur niveau de discernement. Une loi du 12 avril 1906 porta la majorité pénale à 18 ans.

L'insertion et le milieu carcéral
La prison, le centre de détention, la maison d’arrêt, le centre pénitentiaire… tous ces termes désignent un lieu de détention. Seul le mot « prison » parle à tous, pourtant parmi ces appellations, c’est le seul à ne pas désigner officiellement ces bâtiments. Aucune prison en France ne s’appelle « prison ». Ces dénominations ciblent des institutions, un public précis et un mode de fonctionnement.

Connexion

Educateur spécialisé

Abonnement

Recherche