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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

1001 jours d'un éducateur : F.ALFÖLDI

1001 jours d'un éducateur : F.ALFÖLDI

Cet ouvrage de F. Alföldi nous fait entrer dans l’univers de l’éducateur en AEMO de manière vivante et concrète. Il aide à comprendre ce que sont ce métier et cet univers. Il m’a permis de mettre des mots sur des pratiques que j’utilisais, de faire du lien, de comprendre des concepts théoriques qui me paraissaient être éloignés de ma pratique ainsi que de réfléchir à la manière dont j’envisage le travail d’éducateur, particulièrement avec les familles relevant de la protection de l’enfance mais également avec tout public.

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Documents associés

L’adulte handicapé mental, questions et propositions pour sa vie.

II. CONTENU Cet ouvrage propose une réflexion sur la vie quotidienne de la personne handicapée et sur son évolution, de l’enfance à l’âge adulte. L’auteur va proposer des réponses et réfléchir sur l’accès à l’état adulte des personnes handicapées mentales et sur leur participation à la vie dans notre société. Ses premières réflexions portent sur leur probable appartenance éternelle à l’enfance et sur l’état adulte, puis il les élargit en un développement qui définit l’adulte en général. Il poursuivra sa démarche en s’interrogeant sur les limites de « la dépendance et de l’indépendance » que peut vivre un « handicapé mental adulte ». Pour l’auteur, c’est l’accès au statut d’adulte qui permet d’atteindre une certaine indépendance. Dans son ouvrage, Henri Bissonnier considère l’adulte dans sa globalité, en passant du corps au langage, des loisirs au travail et en s’orientant aussi sur la nourriture et la vie affective. Enfin, l’auteur va se pencher sur la place de l’adulte handicapé mental au sein de la société et sur son avenir

Le chemin le moins fréquenté - Scott Peck

L'auteur, psychiatre, propose un retour à des valeurs positives. A travers un ensemble de règles de vie adaptées à des situations concrètes, quotidiennes, pour déjouer les pièges de l'existence. Seule une discipline intérieure peut nous aider à venir à bout des idées fausses et à vivre en paix.

L’amour défini : 

 -c’est la volonté de se dépasser dans le but de nourrir sa propre évolution spirituelle « s’aimer soi-même » ou de quelqu’un d’autre. Et donc c’est toujours l’évolution mutuelle, car le processus est réciproque dans les deux cas de figure.

-L’amour est un acte de volonté, un choix, et plus clairement un désir d’une intensité suffisante  pour se traduire en action. Donc il ne se content pas de l’instinct.

-Deux personnes ne s’aiment vraiment que lorsqu’elles sont capable de vivre l’une sans l’autre mais choisissent de vivre ensemble.

La relation d'aide en service social : Anne-Marie Bernard

La relation d'aide en service social est un ouvrage collectif écrit par Anne-Marie Bernard, Josette Demmou, Véronica Gargan, Michèle Girardet, Geneviève Jolicoeur et Charlotte Périé, qui sont toutes assistantes de service social dans des services spécialisés. La plupart sont également formatrices et proposent des supervisions dans le cadre de l'association FARE2 à Toulouse.

Ce livre a été publié pour la première fois en 2002 aux éditions Eres dans la collection Pratiques du champ social. La version étudiée ici est celle de 2010. C'est donc un ouvrage contemporain qui s'intéresse à la relation d'aide considérée comme le cœur du métier d'assistant de service social en lien avec les évolutions récentes de ce métier (les auteurs parlent de «complexification du travail social» et du «renforcement des contraintes institutionnelles» p.9)). La relation d'aide qui y est développée tient compte de la personne mais aussi de son environnement social et familial avec l'idée sous-jacente de potentialités chez cette personne que l'on peut développer pour que sa qualité de vie s'améliore.  Cet ouvrage s'intéresse aux conditions nécessaires pour qu'une relation d'aide puisse se mettre en place mais aussi aux limites et aux contraintes de l'aide dans le travail social. Ces réflexions s'accompagnent de témoignages et d'exemples issus de la pratique qui permettent d'illustrer, de compléter ou de relativiser les apports théoriques. 

Les vilains petits canards

Présentation de l’ouvrage et de son contexte

Pour ce travail, mon intérêt s’est porté sur le dernier ouvrage de Boris Cyrulnik, Les vilains petits canards, paru en février 2001 chez Odile Jacob. Boris Cyrulnik est né en 1937 à Bordeaux. Sa vie bascule en 1943, lorsqu’il est arrêté avec sa famille par la Gestapo et conduit à Drancy. Agé de six ans, il réussira à fuir, alors que ses parents sont déportés. Cet épisode douloureux de son histoire, l’auteur l’a longtemps gardé intime. Les médias s’en sont emparé lorsque dans les années 90, il a souhaité faire remettre la médaille des Justes à une femme qui, en le cachant durant trois jours, lui a sauvé la vie après son évasion. C’est à partir de ce drame que vont se déterminer ses choix professionnels (Cyrulnik parle de son "étoile du berger".)

Après des études de médecine, il devient neuropsychiatre, psychologue et psychanalyste. Sa volonté de comprendre et de "réparer d’autres humains" l’amène à franchir les barrières des disciplines, faisant notamment appel à l’éthologie. Il compte parmi les pionniers de l’éthologie humaine et dirige aujourd’hui un groupe de recherche en éthologie clinique à l’université de Toulon-La Seyne. C’est peut-être dans son vécu qu’est apparu l’intérêt de Cyrulnik pour le concept de résilience ; il est aujourd’hui le premier en France à s’atteler à ce principe déjà largement travaillé aux Etats-Unis. Le mot provient du latin resalire (re-sauter). En physique, ce terme décrit la capacité d’un métal à résister aux pressions et à reprendre sa structure initiale.

Passé dans le vocabulaire de la psychologie, il définit la capacité à vivre, à se développer en dépit des adversités. Dans Un merveilleux malheur, l’auteur s’interrogeait sur les "processus de réparation de soi" inventés par les surveillants des camps de la mort ; dans Les vilains petits canards, il explique comment ces processus se mettent en place dès avant la naissance et permettent de se reconstruire après une blessure. Dans un style métaphorique, suivant un cheminement non linéaire, l’auteur met en scène le concept dans ces deux aspects de résistance à la destruction et de reconstruction d’une "vie valant la peine", étayant son propos de considérations théorique et d’exemples cliniques ou historiques.

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