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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

La psychose chez l'adulte

La psychose chez l'adulte

L'approche du malade mentale ne peut se concevoir que dans la globalité de son être, en reconnaissant sa singularité, en lui permettant d'exercer sa créativité et de rétablir des liens sociaux indispensables à toute tentative d'autonomisation. Pour cela, le collectif se développe sous différents aspects. L’équipe soignante fait fonctions principales d’accueil et de présence, elle constitue le groupe où peuvent se répartir les investissements du malade, elle fait corps et cohérence pour et avec le malade. Le groupe favorise l’individualisation par identification des personnes. Il mobilise les protagonistes les uns par rapport aux autres, chacun occupant tour à tour, dans une même séance et au fil des séances, une position en miroir des échanges, ou au contraire une position de tiers, dans le respects des différences. Le non verbal a également un rôle très important dans les séances, et une fois mis en image à travers le jeu et il devient plus facile de le verbaliser.

Catégorie: Etude psycho-pédagogique Educateur spécialisé
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Documents associés

La méthode verbotonale

AIDER, ACCOMPAGNER L'ENFANT SOURD SANS LE SURPROTEGER. L'enfant sourd reste très dépendant des adultes qui l'entourent. Il ne peut assimiler un concept nouveau par ses propres moyens à cause des images auditives déformées qu'il est susceptible de recevoir. Il a donc besoin qu'on lui fasse vivre des situations qui illustrent et enrichissent la connaissance des concepts. I l a besoin qu'on lui explique, qu'on l'aide à prononcer correctement à reconnaître auditivement et à employer les concepts à bon escient. Il faut vérifier sans cesse qu'il a bien compris. C'est pourquoi le travail individuel orthophonique (entraînement de l'audition action sur la voix, l'articulation l'enrichissement de la langue orale et écrite) et le soutien pédagogique spécialisé restent absolument indispensables et pour longtemps, à moins que les parents puissent assumer ce travail totalement. La surveillance médicale et le suivi prothétique de toute évidence, doivent également être poursuivis. Ce travail est donc délicat. Il s'agit d'aider, d'accompagner l'enfant sourd et sa famille, mais sans les surprotéger, de le rendre autonome le plus vite possible, mais sans lui demander l'impossible, en tenant compte de chaque situation particulière.

L'autonomie de l'enfant
Rappelons tout d'abord que l'une des problématiques de la psychologie, ancienne et non résolue, est celle de savoir ce qui, dans le développement de l'être humain, est de l'ordre de l'inné ou de l'acquis. Nous nous interrogerons donc ici sur l'acquisition de l'autonomie par l'environnement, humain et physique, et délaissant l'aspect génétique, inné, bien que nous nous accorderons à penser que l'acquis et l'inné sont liés: la maturation physiologique ne peut se faire sans l'apport des stimulations extérieure, et l'apprentissage ne peut se faire sans une certaine maturation physiologique (rapport de réciprocité)
Approche Anthropologie et Structurelle des Situations Difficiles des Populations Exclues
Conditions réelles des personnes ?, Qui sont-elles ?, Quelle est leur histoire ?, Leur culture ?, leur fonctionnement ?, leur place au sein de la société ? Entre les individus, il y a des passerelles, la société les quantifient et les incluent dans un groupe (Rmiste,…) ; en les évaluant économiquement (faible, sans rien, modéré,…) également du point de vue humain (tant de femmes, d’hommes, de célibataires, …), donnant lieu ainsi à des statistiques : photographie floue de la société. La société met des portes, des sas, permettant ainsi de savoir si un individu peut passer d’exclu au statut de salarié inséré dans la société. Ce qui ferait de ce même individu, une personne normalisé/normative/socialisé. L’anthropologie, ne veut les considérer comme des individus seuls, mais les intégrer dans un groupe, défini par un aspect humain, la rue, normaliste, addiction ; les situer dans un territoire. Réfléchir à l’exclusion, c’est réfléchir à la géographie, ces personnes s’approprient des espaces, des lieux qui « provoquent », des lieux qui font porter l’attention sur eux. A souligner le combat qui existe entre les territoires, même au sein de la rue il existe des territoires, qu’importe ne peut s’y installer. La pauvreté avant était folklorisée, « le clochard poète, qui a un grain de folie » - cf. .Erasme « Eloge de le Folie » XIIIème siècle
L'évolution de l'intégration des handicapés visuels dans les écoles non spécialisées en Allemagne et en France

L’éducation des handicapés visuels n’a pas toujours été considérée comme un droit allant de soi. Par la suite, il y a eu au cours du temps une évolution de la vision et de la prise en charge du handicap. En effet, celui-ci entraine une limitation d’activité ou une restriction à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielle, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant.

Plus particulièrement, je vais m’intéresser ici au handicap visuel qui se décline en plusieurs degrés, mais pour simplifier j’étudierais les personnes qui ont une acuité visuelle inférieure à 1/10. J’ai choisi ce handicap car d’une part, je suis plus familiarisé avec cette situation et d’autre part, je trouve qu’il est plus difficile d’adapter un cours pour un non-voyant que pour un handicapé physique comme les personnes en fauteuil roulant.

C’est pourquoi le débat actuelle est porté sur faut-il scolariser les élèves non voyant dans des établissements spécialisées dans leur handicap ou faut-il les scolariser avec les autres élèves dans des écoles d’intégration ou des écoles tout à fait « classiques » ?

Nous allons voire, dans un premier temps, les politiques actuellement appliquées en France sur le handicap puis comparer avec celles de l’Allemagne. Et dans un second temps, nous allons expliquer cette situation par une recherche historique.

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