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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

DPP : Problématique d’une personne SDF

DPP : Problématique d’une personne SDF A travers l’écriture de ce Dossier de Pratiques Professionnelles, je me suis interrogée sur la problématique SDF, et surtout sur ma pratique professionnelle que j’ai choisis d’adapter lors de mon accompagnement. Par la recherche théorique, j’ai appris beaucoup de choses que je ne savais pas sur le public SDF, comme la présence de deux types de personnes sans abris, la compréhension d’un auteur qui nous explique à quel point vivre de la rue est destructeur pour un homme. J’ai appris que l’estime du corps est un point de repère dans le quotidien d’une personne, dans son suivi éducatif.La problématique du logement reste un point majeur. En effet, entreprendre des demandes de logement lorsque nous avons vécu 2 ans dans la rue, semble très impressionnant, et peut faire peur. En effet, dans la rue il y’a du bruit, du passage le SDF n’est jamais seule même s’il ne connait pas les personnes autour de lui. La présence de ces citoyens le rassure.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Histoire de vie

            Nous façonnons tous notre parcours de vie, jour après jour. Ponctué d'évènements, de changements, d'envies, de renoncements, nous faisons des choix, des non-choix, le temps passe et notre histoire se construit. Sommes-nous conscients de ce qui se joue? Chacun fait-il ce qu'il veut de sa vie? Sommes-nous seuls à décider? Comment interprète-t-on ces évènements? Quel sens donnons-nous à ce que nous faisons et que faisons-nous de ce qui nous fait? Donner du sens à notre vie, c'est peut-être ce vers quoi mènent les ateliers d'histoire de vie.

            Resitué tout d'abord dans un contexte historique et théorique, je vais tenter de comprendre ce que revêt le terme « histoire de vie » aujourd'hui et quel fut son parcours depuis les bios de l'antiquité.

            Dans une deuxième partie, je reviendrai sur chaque outil utilisé pendant l'option afin d'observer leurs conséquences et limites. J'essaierai de comprendre en quoi la personnalisation de l'écrit puis celle du discours sont des éléments clés dans la démarche d'histoire de vie.

            Pour terminer, j'expliciterais les motivations qui m'ont orienté vers cette option, en quoi elle m'a intéressée et je ferai le lien entre la pratique de l'histoire de vie et le travail social, et plus particulièrement, en quoi elle élargie ma pratique éducative.

Vous avez dit sexualité (sexualité des handicapés)

Intervenant dans le cadre de notre formation auprès d’un public d’enfants ou d’adultes présentants diverses déficiences telles que : handicap physiques, mental, sensoriel, polyhandicap, nous avons toutes été confrontées à un moment où un autre à la question de la sexualité. Nous avons été amenées pour ce travail d’UF8 collectif à échanger avec l’équipe éducative d’une institution accueillant des adultes malades mentaux. Afin d’élaborer une réflexion commune nous avons construit un questionnement, celui-ci portait sur trois axes : - Construction de l‘identité sexuelle chez la personne porteuse de handicap, - La place de l’entourage familiale et institutionnel - Et sur le travail éducatif à envisager auprès des usagers concernant la sexualité. Lors de notre première échange, nous avons constaté qu’il y avait une inadéquation entre ce que nous attendions et ce qu’ils étaient en mesure de nous apporter. C’est pourquoi nous avons réaxé notre travail, autour d’une question centrale : Comment dans l’institution et la pratique éducative, l’équipe pluridisciplinaire est amenée à gérer la question de la sexualité ?

DPP en IME : La référence / non référence.
Ayant bénéficié de l’allègement de formation, j’ai choisi d’effectuer ce 1er stage au sein de cet établissement car il s’inscrit dans la suite logique de mon parcours. Ayant déjà travaillé dans le secteur de la protection de l’enfance et du handicap, j’ai pu me rendre compte que le second était celui qui me correspondait le mieux. En effet, mon implication personnelle dans la prise en charge de ce public était beaucoup plus naturelle au sein du quotidien. De plus, mon projet professionnel de départ était d’être professeur d’EPS pour personnes sourdes et muettes. Ce choix venant du fait que mon attrait pour la langue des signes française n’ait été que grandissant, suite à diverses rencontres. Ce terrain de stage me permet donc à lui seul de répondre à toutes mes attentes. A travers ce dossier, je vais donc présenter la structure dans laquelle j’ai fait mon stage ainsi que le public accueilli. Dans un second temps, j’analyserai les pratiques éducatives puis ma place et fonction de stagiaire. Je présenterai, ensuite, un accompagnement éducatif puis je développerai un thème professionnel, à savoir celui de la référence/non référence.
Réseau et Partenariat au Québec
Actuellement en formation d’éducateur spécialisé, j’ai pu repérer, lors de mes différentes expériences quelques bénéfices du travail en partenariat : L’ouverture des établissements permet d’abord de ne pas stigmatiser les personnes accueillies en institution. Ces dernières peuvent l’être sur un territoire, par le lien direct à la structure. Si l’on ne donne pas l’occasion à la population de rencontrer les personnes accueillies, cela n’impulsera pas leur inclusion dans la société. Or, c’est une des missions du travailleur social que de participer à cette inclusion. Ensuite, cela permet de compléter les compétences de l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement. Un professionnel ou une équipe ne peut pas répondre à elle seule à l’ensemble des besoins et désirs des personnes accompagnées. Il est donc nécessaire de faire appel aux ressources du territoire pour garantir un accompagnement complet des personnes. Enfin, ce travail conjoint amène à prendre du recul par rapport aux situations ou populations accueillis pour mieux répondre à leurs besoins et donc, favoriser une possibilité d’accompagnement complète de la population. De plus aujourd’hui, s’unir avec les autres acteurs du territoire est devenu une obligation légale à travers différentes lois. Par exemple, celle du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale « marque la volonté explicite des pouvoirs publics de favoriser le développement des réseaux en leur accordant une légitimité accrue ». L’intérêt du réseau et des partenaires est donc à mon sens, facilement justifiable, néanmoins, il ne suffit pas de connaître ces potentiels bénéfices pour mettre en pratique ce travail ensemble. Il faut comprendre les dynamiques des relations entre les personnes ou les institutions afin d’être capable, par la suite, de s’adapter et d’être efficace avec les différents acteurs du territoire. En ce sens je débuterais mon travail en définissant ce qu'est un partenariat, ce qu'est un réseau, et mon lieu de stage de deuxième année. Ensuite, en m’appuyant sur des observations de cette expérience au Québec, j’analyserais un partenariat plus en détail afin d’étayer ma réflexion sur ce sujet. Enfin j'apporterais des propositions d'amélioration et d'évaluation liées à ce travail conjoint. L’accueil très hétérogène de l’organisme explique en grande partie la diversité du réseau et des partenaires. En effet, les partenaires seront différents entre un jeune qui rencontre des problèmes d’addictions et une mère de famille qui est suivie par la Direction de la Protection de la Jeunesse. De plus, cette diversité est induite par le fait que les acteurs du réseau peuvent devenir des partenaires et inversement selon les situations des jeunes accueillis. Par exemple, une crèche est dans le réseau car l'organisme a déjà travaillé avec elle et les deux institutions sont membres de la même table de concertation. Elle devient partenaire lorsqu'un des enfants du volet jeune parent y est inscrit et qu'il y a un besoin de suivi du développement de ce dernier ou de suivi de la relation mère-enfant. C'est d'ailleurs peut être cela qui peut expliquer la vision du réseau et du partenariat de mes collègues. En effet, ces notions ont engendré un échange intéressant entre les idées québécoises et françaises. Les membres de l'équipe que j'ai interrogé sur ce sujet m'ont renvoyé que la différenciation n'était pas présente au sein de l'organisme. Il est plutôt évoqué différents niveaux de réseau : l'un très large qui rassemble tous les organismes communautaires de l'île à qui on peut s'adresser en cas de besoin sans nécessairement les connaître. Le deuxième niveau de réseau selon eux, concerne les organismes avec lesquels les liens sont plus étroits, aussi les partenaires selon ma définition que les membres du réseau, sans différenciation. Ce travail ensemble est très présent dans le quotidien des professionnels de cet organisme, il est en effet rare qu’un jeune soit accompagné uniquement par nos services.

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