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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Les personnes en situation de handicap

Les personnes en situation de handicap Nous avons pu voir, à travers ce dossier, que les personnes ayant une déficience motrice peuvent connaître de nombreux obstacles, tels que la surprotection parentale, l'institutionnalisation, la dépendance physique ou encore le manque de confrontation au groupe de pairs dans leur quête d'autonomie. L'éducateur a un rôle à jouer vis à vis de la déficience motrice dont sont atteintes ces personnes dans le sens où il peut mettre en œuvre des actions socio-éducatives (telles que celles développées dans ce dossier) pour accompagner les personnes à différents niveaux, dont celui se rapportant à la question de l'autonomie.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Rôle de l'éducateur spécialisé

J’aimerais questionner ici la responsabilité éthique du travailleur social. Comment envisage-t-on la place que l’on occupe auprès de l’autre ? Cet autre qu’on accompagne, cet autre dont on s’occupe, cet autre « invalidé » qu’on tente d’autonomiser, de responsabiliser, de rendre plus efficient … La pratique éducative interroge à mon sens directement cette notion de rapport à l’autre.

Dossier Partenariat et Réseau dans un foyer d'hébergement
Pour cela, nous avons tout d'abord, mon collègue et moi-même, rencontré notre principal futur partenaire, à savoir les résidents qui forment le groupe pour leur proposer ce projet : Faire des concerts dans différentes institutions. Rencontre qui s'est soldée par un grand oui de la part des résidents.
Les modifications corporelles

Les modifications corporelles sont diverses, elles regroupent le tatouage, le perçage, la scarification, les implants chirurgicaux. On trouve divers termes pour désigner ces modifications corporelles que l’on commencera par définir. - Le tatouage tout d’abord, utilisé le plus couramment et connu de tous. Le tatouage est un signe visible inscrit à même la peau grâce à l’injection d’une matière colorée dans le derme à l’aide d’une aiguille d’un millimètre de long. Mentionné pour la première fois en 1769 par le capitaine COOK, le mot tatouage est dérivé du tahitien « tatau ». Il est surtout pratiqué sur les populations à peau claire, les populations à peau sombre le pratiquent plus rarement et sur certaines parties du corps telles les gencives et les lèvres. Il peut se pratiquer sur toutes les parties du corps sauf sur la langue. Le tatouage ne doit pas se faire sur un coup de tête ou pour répondre à un critère de mode passagère car c’est une marque indélébile qui restera toute sa vie. - Le piercing est un percement de la peau pour y poser un bijou, un anneau, une petite barre, etc. Signe d’exclusion au Moyen Age, le piercing s’impose aujourd’hui comme un acte de provocation et de revendication sociale. - S’y ajoute le stretching qui est un élargissement du piercing pour y mettre une pièce plus volumineuse. La scarification et les implants insérés sont moins connus mais cette pratique devient de plus en plus courante.

Réseau et Partenariat au Québec
Actuellement en formation d’éducateur spécialisé, j’ai pu repérer, lors de mes différentes expériences quelques bénéfices du travail en partenariat : L’ouverture des établissements permet d’abord de ne pas stigmatiser les personnes accueillies en institution. Ces dernières peuvent l’être sur un territoire, par le lien direct à la structure. Si l’on ne donne pas l’occasion à la population de rencontrer les personnes accueillies, cela n’impulsera pas leur inclusion dans la société. Or, c’est une des missions du travailleur social que de participer à cette inclusion. Ensuite, cela permet de compléter les compétences de l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement. Un professionnel ou une équipe ne peut pas répondre à elle seule à l’ensemble des besoins et désirs des personnes accompagnées. Il est donc nécessaire de faire appel aux ressources du territoire pour garantir un accompagnement complet des personnes. Enfin, ce travail conjoint amène à prendre du recul par rapport aux situations ou populations accueillis pour mieux répondre à leurs besoins et donc, favoriser une possibilité d’accompagnement complète de la population. De plus aujourd’hui, s’unir avec les autres acteurs du territoire est devenu une obligation légale à travers différentes lois. Par exemple, celle du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale « marque la volonté explicite des pouvoirs publics de favoriser le développement des réseaux en leur accordant une légitimité accrue ». L’intérêt du réseau et des partenaires est donc à mon sens, facilement justifiable, néanmoins, il ne suffit pas de connaître ces potentiels bénéfices pour mettre en pratique ce travail ensemble. Il faut comprendre les dynamiques des relations entre les personnes ou les institutions afin d’être capable, par la suite, de s’adapter et d’être efficace avec les différents acteurs du territoire. En ce sens je débuterais mon travail en définissant ce qu'est un partenariat, ce qu'est un réseau, et mon lieu de stage de deuxième année. Ensuite, en m’appuyant sur des observations de cette expérience au Québec, j’analyserais un partenariat plus en détail afin d’étayer ma réflexion sur ce sujet. Enfin j'apporterais des propositions d'amélioration et d'évaluation liées à ce travail conjoint. L’accueil très hétérogène de l’organisme explique en grande partie la diversité du réseau et des partenaires. En effet, les partenaires seront différents entre un jeune qui rencontre des problèmes d’addictions et une mère de famille qui est suivie par la Direction de la Protection de la Jeunesse. De plus, cette diversité est induite par le fait que les acteurs du réseau peuvent devenir des partenaires et inversement selon les situations des jeunes accueillis. Par exemple, une crèche est dans le réseau car l'organisme a déjà travaillé avec elle et les deux institutions sont membres de la même table de concertation. Elle devient partenaire lorsqu'un des enfants du volet jeune parent y est inscrit et qu'il y a un besoin de suivi du développement de ce dernier ou de suivi de la relation mère-enfant. C'est d'ailleurs peut être cela qui peut expliquer la vision du réseau et du partenariat de mes collègues. En effet, ces notions ont engendré un échange intéressant entre les idées québécoises et françaises. Les membres de l'équipe que j'ai interrogé sur ce sujet m'ont renvoyé que la différenciation n'était pas présente au sein de l'organisme. Il est plutôt évoqué différents niveaux de réseau : l'un très large qui rassemble tous les organismes communautaires de l'île à qui on peut s'adresser en cas de besoin sans nécessairement les connaître. Le deuxième niveau de réseau selon eux, concerne les organismes avec lesquels les liens sont plus étroits, aussi les partenaires selon ma définition que les membres du réseau, sans différenciation. Ce travail ensemble est très présent dans le quotidien des professionnels de cet organisme, il est en effet rare qu’un jeune soit accompagné uniquement par nos services.

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