LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Dossier réseau et partenariat dans une MECS

Dossier réseau et partenariat dans une MECS Le travail en partenariat et en réseau est un composant fondamental de la pratique quotidienne des éducateurs spécialisés. Il permet de mettre en place des actions variées en faisant appel à des ressources extérieures, cela apporte également une pluralité de regards, d'avis, d'opinions sur les propositions d'action menée en collective, et permet la continuité des actions par chacun des partenaires. De plus, la mutualisation des ressources entre les différents partenaires accède à la mise en place d'actions plus ambitieuses que si elles avaient étaient portaient par un seul acteur. Cependant, il peut montrer ses limites, notamment lorsque les objectifs de départs ne sont pas clairement définis et identiques pour les différents professionnels. C'est pourquoi, il est nécessaire de connaître les champs de compétences respectifs de chacun des partenaires ou membres du réseau afin de se donner des finalités réalistes et mettre en place des actions adaptées.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

La pluridisciplinarité à l'APUS, CSST à Lyon
oxicomanies, milieu carcéral, précarité, jeunesses errantes, désocialisation, prostitution, … Face à la complexité des situations rencontrées au cours de son histoire, l’Association des Praticiens de l’Urgence Sociale ( A.P.U.S.) a développé des compétences et une offre plurielle : elles peuvent être mobilisées collectivement ou individuellement, ponctuellement ou durablement, massivement ou partiellement. Aussi l’articulation des disciplines entre elles, autour de la personne, va-t-elle s’adapter à la situation, a la demande et aux possibilités fixées par le cadre institutionnel. Il m’a été difficile d’observer et d’isoler des prises en charge pluridisciplinaires " types " a l’APUS. Mais en discutant du sujet de ce devoir avec l’équipe de l’APUS, il ressortait que, en préambule à toute tentative d'analyse des formes de régulation du fonctionnement du service, deux thèmes permettraient de poser des regard intéressants sur la pluridisciplinarité : l’histoire de la structure et l’accueil qu’elle propose aux usagers.
Le lien social et l’exclusion
La formule de la fracture sociale, porteuse politiquement, ne s'embarrasse pas de définition. Or, il faut se méfier des effets de mode, des pièges de l'exclusion et des risques de confusion dans l'emploi des termes de pauvreté et d'exclusion et donc de lien social. Cependant, même si l'histoire montre que, de tout temps, des situations de pauvreté et d'exclusion ont existé, leur présence aujourd'hui, dans les sociétés d’abondance, oblige à comprendre les chemins qui conduisent à ces situations. Comprendre, c'est cerner, au-delà des situations particulières et individuelles, les parcours que R. CASTEL, nomme "désaffiliation" ou S. PAUGAM "disqualification", ou encore selon Y. DE GAULEJAC et I. TABOADA "désinsertion ‘’. Il faut donc dépasser les simples constats qui caractérisent les vécus et retracer les chemins qui conduisent à l'exclusion, c'est-à-dire à la rupture de filiation, de qualification, d’insertion.
Connaissance des handicaps et des inadaptations
Besoin Un besoin est une sensation qui se doit de disparaître pour le bien être du sujet qui l’a ressent. Un besoin peut-être de toutes sortes : vital (manger, boire ou dormir), affectif, économique… Dans le milieu de l’éducation spécialisé repérer les besoins des usagers est primordial afin d’adapter aux mieux l’accompagnement éducatif.
Les violences conjugales
« La violence faite aux femmes désigne tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin, causant ou susceptible de causer aux femmes des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, et comprenant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou la vie privée. » La violence conjugale est un processus de domination au cours duquel l’un des deux conjoints installe et exerce une emprise sur l’autre en usant : « … de tromperie, de séduction, de menaces, de contraintes ou de tout autre moyen à l’encontre de l’autre et ayant pour but et pour effet : - De l’intimider, de la punir, ou de l’humilier, - Ou de la maintenir dans des rôles stéréotypés liés à son sexe - Ou de lui refuser sa dignité humaine, son autonomie sexuelle, son intégrité physique, mentale ou morale, - Ou d’ébranler sa sécurité personnelle, son amour-propre, sa personnalité, - Ou de diminuer ses capacités physiques ou intellectuelles. » Processus de domination conjugale Il existe différentes violences : psychologique, physique, sexuelle, économique, verbale. L’humiliation détruit l’estime de soi. Lui refuser sa dignité humaine : atteinte au corps, obligation de nudité, interdiction de se laver, faire ses besoins dans un seau… Evaluer la dangerosité du conjoint : casiers judiciaires, armes, addiction, menaces, atmosphère de terreur. - Lors des entretiens : « qu’est ce qui vous fait le plus peur ? »

Chiffres violences couples - 115 femmes tuées par leur conjoint (ou ex-conjoint), et 7 par leur compagnon « non officiel ». Au moins 44 d’entre elles étaient victimes de violences antérieures connues. - 21 hommes ont été tués par leur partenaire de vie (dont un au sein d’un couple homosexuel). Au moins 8 d’entre eux étaient victimes de violences antérieures connues. - 40% des femmes et 8% des hommes qui ont tués leur conjoint(e) avaient antérieurement dénoncé des violences conjugales. - 36 enfants ont été tués dans le cadre de violences au sein du couple parental. 11 ont été tués par leur père en même temps que leur mère, et 25 sans que l’autre parent soit tué. - Dans 10 affaires les meurtres ont été commis devant les enfants, 55 enfants étaient présents au domicile au moment des faits (les enfants n’empêchent pas le meurtre). - 96 enfants sont devenus orphelins

Connexion

Educateur spécialisé

Abonnement

Recherche