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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

« La trisomie n’est pas une tare, la trisomie, c’est juste quelque chose en plus, un chromosome »

« La trisomie n’est pas une tare, la trisomie, c’est juste quelque chose en plus, un chromosome » L’enfant doit se rendre compte que certains de ses comportements sont inacceptables et son susceptible de provoquer la réprobation de l’éducateur spécialisé. Limiter l’enfant, c’est le ramener à la valeur de la vie et donc à la socialisation. Enfin l’éducateur est responsable du projet scolaire et voir professionnel du jeune atteint de trisomie 21. Il veille à la cohérence de celui-ci en fonction de l’évolution de l’enfant. Reste à l’éducateur la lourde charge d’insérer cet enfant atteint de trisomie 21 dans une société qui souvent le refuse, mais cela est un autre sujet indépendant de l’enfant.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Schéma de la protection de l'enfance dans le 13
270 400 enfants ont été pris en charges par l’aide sociale à l’enfance en France en 2004, ce qui représente une augmentation d’environ 3 % sur un an : 51 % font l’objet d’une mesure de placement et 49 % sont bénéficiaires d’une mesure d’action éducative de milieu ouvert (administrative ou judiciaire). Parmi celle-ci, 73 % sont des mesures judiciaires, 27 % des mesures administratives. Le nombre d’enfants confiés à l’ASE au titre d’une mesure judiciaire augmente en France de près de 2 % par an depuis 2001 ; le nombre d’enfants bénéficiant d’une mesure administrative diminue d’environ 3 % par an.
La prise en charge des demandeurs d'asile

C’est à partir d’interrogations issues de mon second stage que je vais effectuer ma problématique. J’ai effectué mon stage dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (C.A.D.A « mozaik »).Le C.A.D.A accueille et héberge des personnes en situation administrative de demande d’asile. Le C.A.D.A est composé d’une équipe sociale comprenant deux éducateurs, un moniteur éducateur, trois assistants sociaux et d’un chef de service. La personne en demande d’asile est un individu qui fuit son pays afin de demander une protection. Le passé du demandeur d’asile, cause de l’arrivée en France, est un ensemble d’événements dans certains cas traumatisants, plaçant la personne dans la fuite laissant derrière elle sa culture, ses repères, sa famille…ce qui n’est pas sans répercussions sur la personne.

Dossier réseau partenariat en IR
Dans le cadre de « immersion dans les institutions », je vais vous parler de l'Institut Thérapeutique Éducatif et Pédagogique (ITEP) de la ville de Sevran. L'ITEP est un accueil de jour de pré-adolescent jusqu'aux jeunes adultes de moins de 21 ans résidant en Ile de France. Le public accueillit souffre de troubles du comportement et du caractère qui se manifeste par des difficultés d'adaptation scolaire et sociale. L'établissement ne se réclame d'aucune philosophie particulière. Malgré tout, d'après mes observations je trouve que l'établissement trouve pas mal de source dans la pédagogie institutionnelle. On peut sentir par moment un « enfermement » dans ce type d'établissement du médico-social car composé d'une équipe pluridisciplinaire, elle peut être vue par les partenaires extérieurs comme suffisante en soi. Dans ce travail nous allons nous intéresser à l'importance du partenariat et du réseau, qu'est ce qui existe et quels sont les difficultés rencontrées?
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

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