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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Être jeune majeur et en projet...

Être jeune majeur et en projet...

Sortir de l'adolescence pour entrer dans l'âge adulte est une étape difficile souvent jalonnée de crises. Cette période est souvent source d'angoisse importante et la projection vers l'avenir est difficile. Les jeunes majeurs en contrat APJM, ont d'autant plus de difficultés qu'ils ont vécu des histoires difficiles dans leur enfance, qu'ils ont été confrontés à des situations de carences affectives ou éducatives. Celles-ci se retrouvent aujourd'hui dans leurs attitudes et comportements, dans les relations conflictuelles avec les autres, dans le non respect des normes et des lois et surtout dans un manque d'estime de soi.

Catégorie: Mémoire Educateur spécialisé
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Travailler avec les familles en MECS
Différentes questions quant à la pratique de l’éducateur au sein de la MECS ont traversé mon esprit mais c’est bien cette idée de travail de collaboration et de partenariat qui a orienté mon choix d’étude et mes recherches. Le travail éducatif est un travail avant tout de rencontres avec l’autre, tout d’abord avec des personnes en difficulté, ce qui nécessite un travail d’accompagnement et de soutien autour d’une relation d’aide mais également avec différents partenaires de corps de métiers identiques ou non, relevant ici d’un travail de collaboration et de coopération. De nombreux individus peuvent ainsi se retrouver en lien les uns avec les autres au travers d’une situation en tout premier lieu empreinte de souffrance, avec une problématique à définir de façon à pouvoir apporter différentes solutions éducatives.
Les champs du possible
Ce monde « parallèle » dont parle grand corps malade dans ce texte, lui est apparu sous un autre angle dés lors qu’il en est devenu membre. Sa nouvelle condition physique(son handicap), fût pour lui, la seule et unique raison d’aller à la rencontre de ce nouveau monde, qui l’autorise aujourd’hui, voire même l’incite à en redéfinir les contours au travers de son art. C’est dans cette même perspective que je conduirai ici mon propos. Dans une intention d’information, de sensibilisation et de rapprochement de « mondes » qui ne se rencontrent pas par hasard. Pour ma part, c’est la spécificité de mon statut qui m’y aura conduite. Car, à mon sens, la spécificité de l’éducateur spécialisé se place dans sa généralité, dans la pluralité des publics qu’il accompagne et des situations qu’il rencontre. De fait, l’éducateur en formation se doit d’aller à la découverte des deux champs dans lesquels il intervient : social et médico-social.
A la rencontre des usagers de drogues

Mais comment amorcer un tel dialogue ? Autrement dit, quelle stratégie éducative peut-on mettre en place pour créer du lien avec les usagers de drogue ? Pour répondre à ces questions, nous nous interrogerons tout d’abord sur l’usager de drogue (comment est il perçu par les spécialistes et les médecins ? quels impacts la consommation a-t-elle sur ses relations sociales ? comment est il accompagné dans sa dépendance ?), puis nous évoquerons les CAARUD, un type de structure d’accueil tourné vers l’accueil à bas seuil d’exigence, qui s’inscrit dans une politique globale de réduction des risques et qui fut cette année le lieu privilégié de mes observations.

La démocratisation culturelle : une utopie inachevée

Ce mémoire traite des problématiques relatives à la démocratisation culturelle dans notre pays. Initié de longue date sous l’Ancien Régime, le protectorat des arts et des artistes est une longue tradition qui va transcender l’épisode révolutionnaire. Néanmoins, l’aspiration démocratique, dont témoigne les élites socialistes et libérales, va trouver écho progressivement pour aboutir à un engagement de l’Etat dés l’après guerre de 1945, qui ne se démentira jamais. Des pionniers artistiques, Jean VILAR ou Charles DULLIN, aux pionniers de l’appareil public, André MALRAUX ou Jeanne LAURENT, tous partent dans une croisade pour la démocratisation de la culture avec, comme instrument privilégié, la décentralisation.

Pilotée par l’Etat jusque dans les années quatre-vingt, cet élan est relayé par des dispositions significatives en direction des arts et des publics de la culture. La grande décentralisation de l’Etat à partir de 1982, va permettre, sous l’impulsion du ministre de la Culture Jack LANG, une implication plus forte des collectivités territoriales dans l’action culturelle. Mais, sensée rapprocher les centres de décisions du citoyen, cette phase de décentralisation ne porte pas ses fruits comme on put l’espérer. La crise économique, l’avènement des nouvelles technologies d’accès au savoir et la radicalisation des politiques locales, n’influent pas en faveur de l’accès à la culture pour tous. L’accroissement des inégalités et le repli identitaire n’épargnent pas la culture, qui souffre de ne pas renouveler de nouveaux publics. Toutefois, un art comme le théâtre renoue avec sa tradition d’art citoyen entre tous, et parvient à réinventer de nouvelles formes d’interpellation artistique dont les Institutions doivent désormais comprendre l’enjeu.

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