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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Famille, qu'apportes-tu à l'enfant?

Famille, qu'apportes-tu à l'enfant?

Michel Lemay axe aussi sa réflexion autour des concepts d'appartenance, de filiation. C'est une notion récurrente dans le livre que l'on peut assimiler à celle développée par Boris Cyrulnik qui se résume par la célèbre phrase « on sait où on va quand on sait d'où l'on vient ».

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Documents associés

« Corps, infirmes et société », de Henri-Jacques STIKER

Dans un premier temps l’auteur expose les difficultés qu’il y a à aborder l’infirmité. En effet, le fait de l’aborder implique un engagement et un questionnement personnel, qui nous touche de près ou de loin. De tout temps l’homme a eu du mal à se confronter à l’infirmité, à ce qu’il nomme la malformation, la débilité… Tous ces termes négatifs qui renvoient à des peurs et qui reflètent une gêne. L’infirmité, pour les personnes concernées, entraîne un bouleversement dans une vie, un changement des représentations, une désorganisation des valeurs et une culpabilité.

Le regard des autres, sur toutes déviances qu’elles soient d’ordre psychique, mental ou physique, conduit à une peur, à un rejet. Comme le pense l’auteur, l’infirmité représente une « a-normalité » qui permet de donner corps à la « normalité ». L’homme dans sa quête d’identité et de similitude, à besoin de voir « son opposé » pour se rassurer dans sa normalité. De fait le handicap est prit en compte dans notre société, mais pas complètement, ce qui occasionne une exclusion, que l’on retrouve dans le système économique, culturel… D’où le dilemme entre exclure et inclure.

Jeu et réalité : Donald Wood WINNICOTT

D.W. Winnicott est un pédiatre, psychiatre et psychanalyste britannique né en 1896 à Plymouth et décédé en 1971 à Londres. Il a travaillé pendant une quarantaine d’années, à partir de 1923, comme chef de service de l’hôpital pour enfants Paddigton Green : il acquiert alors une grande expérience de la pédiatrie. Cet intérêt pour la pédiatrie et la lecture d’un livre de Freud lui font commencer une longue analyse personnelle qui durera de nombreuses années. Il devint en 1935 membre de la société britannique de psychanalyse dont il fut le président de 1956 à 1959 puis de 1965 à 1968.

L'adolescent est une personne.... normale : Michel Fize

Après vingt cinq années d’observation et d’entretien réalisé au cours de multiples enquêtes auprès de centaines d’adolescents « des villes et des champs », des milieux aisés ou défavorisés, Michèle Fize nous en expose les constats. Il met en avant dans cet ouvrage une autre manière de percevoir et d’accompagner l’adolescent. Le sens ultime de ce livre étant de trouver matière à la réflexion et de réconcilier les parents et/ou éducateurs avec les adolescents.

Le bonheur désespérement

Ce livre est la transcription d’une conférence-débat du 18 octobre 1999. La question du bonheur est centrale à la philosophie, en ce sens que la philosophie a pour but la sagesse, et que la sagesse est le bonheur dans la lucidité. Ainsi, la philosophie servirait à être heureux. André Comte-Sponville renoue avec la tradition des philosophes grecs pour qui cette question était essentielle. Etymologiquement, la philosophie, c’est l’amour de la sagesse. La sagesse est une pratique humaine : connaître la vérité pour agir bien. Le bonheur s’obtiendrait donc dans un certain rapport à la vérité. Il s’agit alors de penser non pas pour être heureux, mais de penser une idée parce qu’elle paraît vraie. En ce sens, le bonheur est le but de la philosophie, et la vérité en est sa norme.

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