LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

L'accompagnement budgétaire d'une C.ESF au sein d'une Unité Territoriale

L'accompagnement budgétaire d'une C.ESF au sein d'une Unité Territoriale Cette dernière année de formation et de professionnalisation m’a amené à m’interroger plus profondément sur le sens que je souhaitais donner à mon travail en tant que future Conseillère en Economie Sociale Familiale : Avec qui travailler ? Comment ? Où ? M’intéressant aux réalités et à l’actualité de notre société, j’ai pu soulever une problématique croissante. L’endettement voire le surendettement, avec la facilité d’accéder aux crédits à la consommation, sont des phénomènes de société inquiétants. L’évolution de notre société a fait émerger des catégories sociales de plus en plus fragilisées comme l’atteste la loi Borloo du 1er août 2003. Ainsi, à travers le choix de mon lieu de stage j’ai souhaité confirmer mon projet professionnel : accompagner des personnes et/ou familles en difficulté dans le domaine budgétaire. C’est pourquoi, j’ai effectué mon stage au sein du Conseil Général de la Nièvre et plus particulièrement au sein de l’Unité Territoriale d’Action Médico-Sociale sur le site de Cosne-sur-Loire. Le Conseil Général s’est révélé être une structure intéressante par la spécificité de la Conseillère en ESF : accompagnement budgétaire des personnes et/ou familles en difficulté.

Je considère maintenant que le budget est une porte d’entrée au sein des familles: c’est au travers des chiffres que se reflète le comportement des consommateurs, les priorités choisies, les modes de vie familiaux… Le budget est en quelque sorte le miroir d’une vie personnelle. Néanmoins, l’accompagnement budgétaire est un accompagnement trop restrictif si uniquement le budget est pris en considération, si tous les actes de la vie sont ramenés au calcul d’un budget. L’accompagnement social global a un regard large sur une situation (le budget mais aussi la vie familiale, l’enfance, la vie professionnelle,…) et ne se focalise pas sur un unique volet de vie. En tant que future professionnelle je trouve cela très intéressant.
Catégorie: Rapport de stage Conseiller en économie sociale et familiale
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

UDAF - service de Tutelles Prestations Sociales

La France fait partie des pays développés. Une large majorité de la population a reçu une éducation scolaire, qui permet d’accéder à l’autonomie. L’autonomie est une valeur importante aux yeux de tous, mais c’est un vaste mot qu’il convient toujours de définir dans un cadre plus précis : autonomie financière, autonomie pour les déplacements dans les transports en commun... Ce terme d’autonomie nous renvoie aux problèmes de la dépendance et des incapacités, en somme, du handicap. Celui-ci peut apparaître sous trois formes : Physique, intellectuel ou social, et nécessite une prise en charge adaptée. A l’âge de la majorité, l’apprentissage de l’autonomie a normalement été suffisant pour que ce nouvel adulte s’assume. Toute personne majeure est en principe capable. Cependant, ce n’est pas toujours le cas. Une défaillance de l’autonomie apparaît comme un frein à la capacité à s’assumer seul. L’altération des facultés personnelles expose l’individu à ne plus pourvoir à ses intérêts. La prodigalité expose à tomber dans le besoin et à ne plus pouvoir exécuter ses obligations familiales. Aussi existe-t-il des lois pour pouvoir intervenir auprès de ces personnes qui se mettent en péril : - La loi de 1966, qui encadre les mesures de Tutelles aux Prestations Sociales, - La loi de 1968, qui encadre les mesures de Tutelles aux Majeurs Protégés. Il s’agit de deux mesures ayant des objectifs très différents. La tutelle aux majeurs protégés possède différents niveaux : la sauvegarde de justice, la curatelle et la tutelle; que l’on applique selon les capacités de l’individu et son besoin de protection. La tutelle aux prestations sociales a une visée éducative et doit permettre au majeur de développer son autonomie sociale et budgétaire. Dans une grande majorité des cas, la gestion des mesures de protections est confiée à la famille ou à un proche. Cependant, lorsque la famille en est incapable (en conflit avec le majeur, de moralité douteuse...), le juge décide de confier cette mission à des professionnels de la gestion de tutelle : personnes physiques ou morales (ces derniers nomment alors des délégués à la tutelle). L’UDAF est la plus grosse structure de gestion de tutelle de France. Cette mission lui incombe de par l’article 3 du code de la famille : “l’UDAF peut gérer tout service d’intérêt familial dont les pouvoirs publics estimeront devoir lui confier la charge.” Des services de travailleurs sociaux et juristes sont chargés de gérer les mesures de tutelles et d’accompagner les individus. Aussi, je présenterai en premier lieu l’UDAF, ses origines, ses missions, puis l’UDAF de la Haute Vienne en particulier. Il apparaît intéressant de se pencher par la suite sur les spécificités des interventions en Tutelles aux Prestations Sociales. Tantôt faire avec, tantôt faire pour, il est difficile de savoir se positionner dans l’exercice de la mesure : c’est là toute la complexité du travail du délégué à la tutelle. Ce point particulier me paraît indispensable à garder en filigrane au long de ce travail de rédaction. Enfin, ayant mené une action professionnelle, je présenterai la famille auprès de laquelle j’ai effectué mon intervention, les objectifs fixés et les résultats obtenus. Cette dernière partie apparaît comme un exemple d’intervention d’un délégué à la tutelle, où les notions d’assistanat et d’éducatif s’entrecroisent, comme inévitablement liées.

EP : Les accidents domestiques chez les personnes âgées
Pour effectuer mes stages j’ai choisi la structure du Centre Communal d’ Action Sociale (C.C.A.S.) de la ville de F. Le CCAS accueille un public varié, c'est ce qui m'a orienté vers celleci. Le C.C.A.S a des missions d'accompagnement et d'information. Cette ville offre une infrastructure médicale comportant un hôpital avec de nombreux spécialistes et un matériel performant pour affronter les problèmes de santé qui peuvent tous nous toucher un jour ou l'autre. Pour les personnes âgées de la ville, il existe une maison de retraite, une maison de cure médicale et un foyer logement. Le centre Communal gère ce dernier pour accueillir les personnes âgées. Les personnes de plus de soixante cinq ans sont les plus touchées par les accidents domestiques. Les accidents domestiques ne concernent que les accidents qui se sont passé au domicile ou à ses abords. Les chutes sont au nombre de 3 000 000 par an et représentent 9000 décès par an chez la personne âgée de plus de 65 ans selon l' I.N.P.E.S. De plus 81 % des chutes arrivent à domicile.
Le travail social en antenne CAF

Dans le cadre de la préparation au Diplôme d’Etat de Conseillère en Economie Sociale et Familiale, j’ai effectué mon stage au sein de l’antenne sociale de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF ) à F. Par le biais de cette institution, mes objectifs étaient : • D’identifier et d’analyser l’institution ; • De découvrir le métier de Conseillère en Economie Sociale et Familiale au sein d’une CAF ; • De rencontrer et de travailler auprès d’une population diversifiée, tant par la culture que par les besoins ; • De rencontrer les institutions partenaires et d’appréhender leur travail.

Demandeur d'asile : entre adaptation et insertion
L'Asile est un droit reconnu par la Convention de Genève du 28 Juillet 1951 à toute personne qui, " craignant avec raison d'être persécutée du fait de sa race, de sa religion de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors de son pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays."

Connexion

Conseiller en économie sociale et familiale

Abonnement

Recherche