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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Fiche résumé les personnes agées

Fiche résumé les personnes agées Le Vieillissement : Phénomène naturel et inéluctable. Il peut se définir comme étant l’action du temps sur les êtres vivants. La Vieillesse : Elle constitue la dernière grande étape du cycle de vie après l’enfance et l’âge adulte. Elle s’interrompt avec la mort. La vieillesse est aussi un état d’esprit « se sentir vieux », se sentir moins dynamique. La dépendance : c’est avoir besoin d’une tierce personne pour les actes de vie quotidienne. L’autonomie : elle consiste à être capable de faire des choix seul. On peut tout à fait être dépendant (physiquement) et autonome.

Prévention, plan canicule, plan Alzheimer, journée de solidarité Convention tripartite : Confrontés au vieillissement de leurs résidants, les maisons de retraite et les logements foyers ont été amenés à créer des sections de cure médicale. Ces sections sont en cours de suppression. La médicalisation des établissements doit maintenant faire l’objet d’une convention tripartite : établissement, conseil général et état.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

EP: Prévention des chutes des personnes agées en EHPAD
La plupart des personnes glissent ou chutent, sans qu'il n'y ait de conséquences sérieuses, chez les personnes âgées, les chutes sont plus fréquentes plus graves tant au niveau physique que psychologique. Il s’avère qu’en moyenne en France, 23 millions de personnes de 65 ans et plus tombent chaque année, selon la Caisse nationale d’assurance-maladie et le Comité français d’éducation pour la santé. Les chutes constituent l’accident le plus fréquent chez cette population et sont l’une des premières cause de décès accidentel. On recense par an 40 000 cas de fractures du col du fémur dû aux chutes et 8 500 décès chez les plus de 65 ans. Une chute sur deux survient dans un établissement de soins ou dans une maison de retraite. Les chutes entraînent des coûts pour les personnes, et la communauté. Le système de soins et de santé comptabilise environ 91 000 séjours hospitaliers chaque année pour des fractures liées à des chutes chez les plus de 75 ans. De plus 4 séjours sur 5 donnent lieu à une intervention chirurgicale. Le coût total estimé des consommations de soins associés à une chute était d’environ 1 milliard d’euros en 1995.
EP en foyer logement
En France, en 2007, l'espérance de vie (l'âge moyen que les membres d'une société devraient atteindre) est de 77,5 ans pour les hommes et 84,4 ans pour les femmes, elle a augmenté, depuis le début du siècle, de plus de 35 ans. Bien que le vieillissement soit un processus de toute une vie et que ses effets varient d'un individu à l'autre, le début de la vieillesse coïncide avec l'âge de la retraite, entre 60 et 65 ans. En France, on parle de troisième âge de 65 à 80 ans, et de quatrième âge au-delà. Ces données chiffrées n'ont qu'une valeur relative, puisque les processus du vieillissement sont étroitement liés aux conditions psychosociales de chaque individu.
Les difficultés dans les pratiques du jeune actif en matière de recherche de logement.
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune (squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études, d’une nette amélioration des relations parents- enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se débrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dues à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les Foyers des Jeunes Travailleurs. Ceux-ci permettent aux jeunes de posséder un logement plus ou moins temporaire et des services à moindre coût. Ils permettent de marquer une période transitoire pour les jeunes dans l’attente de trouver un logement autonome. Avoir un « chez soi » représente une condition essentielle dans l’insertion sociale, tant sur le plan symbolique dans une démarche d’indépendance, que dans la réalisation de projets.
Comment banaliser la sexualité des personnes handicapées mentales en institution ?
Maintenant que la sexualité des personnes handicapées mentales est acquise, (d’un point de vue légal) le droit de la vivre est revendiqué comme quelque chose de naturel et d’évident. Il est fréquent d’entendre : « les personnes handicapées mentales ont droit de vivre leur sexualité comme tout le monde ». Cette proposition parait aller de soi dans un contexte social qui ne sait plus sur quoi se fondent ces interdits. Pourtant, elle est loin d’être simple et pose de multiples questions.

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