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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

La surconsommation de sel

La surconsommation de sel On remarque aussi que l'ajout de sel est principalement fait sur les plats maisons et non pas sur les plats cuisinés. Peut être parce que les plats cuisinés ont déjà une forte teneur en sel. Les plats cuisinés sont achetés pour leur rapidité à la consommation, le temps de préparation est nul ce qui est utile quand on n’a pas le temps de se préparer un repas. J'ai donc pu apprécier que les plats cuisinés étaient trop souvent apportés lors des repas et qu'il y avait une utilisation pratiquement systématique de la salière en ce qui concerne les plats préparés à la maison.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

Les difficultés dans les pratiques du jeune actif en matière de recherche de logement.
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune (squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études, d’une nette amélioration des relations parents- enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se débrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dues à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les Foyers des Jeunes Travailleurs. Ceux-ci permettent aux jeunes de posséder un logement plus ou moins temporaire et des services à moindre coût. Ils permettent de marquer une période transitoire pour les jeunes dans l’attente de trouver un logement autonome. Avoir un « chez soi » représente une condition essentielle dans l’insertion sociale, tant sur le plan symbolique dans une démarche d’indépendance, que dans la réalisation de projets.
L'électricité, un produit de première nécessité
L’énergie est devenue un enjeu majeur dans nos sociétés. La plupart des énergies utilisées ne sont pas renouvelables (90% en France). Les ressources s’épuisent. Comme tous ce qui devient rare, le prix augmente. Or, l’électricité est la seule énergie capable de répondre à tous les besoins d’un logement. Besoin de confort (chauffage, éclairage), besoin de s’alimenter (conservation, cuisson, vaisselle) et besoin d’hygiène (de l’individu et des locaux). En tant qu’étudiante en Economie Sociale Familiale, j’ai été sensibilisé à ce problème. Je me suis donc demandée comment les personnes à faibles ressources pouvaient faire face à ces dépenses qui augmentent de façon importante. J’ai donc cherché à savoir quelle population a le plus de difficultés à honorer ses factures d’électricité. Le CCAS de Quimper gère un parc de logements destinés à un public en difficulté. C’est pourquoi j’ai rencontré la responsable du service logement du CCAS de Quimper. Elle m’a confirmé qu’il y avait un problème lié à l’électricité chez les locataires. En effet, beaucoup d’usagers se plaignent de factures d’électricité importantes par rapport à leurs revenus, à leurs appareils. Or les locataires du parc CCAS sont des personnes à faibles ressources. Ces factures grèvent leur budget. C’est un réel problème économique pour eux.
EP : aménagement d'espace de relaxation
J’ai pu participer aux différentes activités ; je me suis alors intéressée à l’une d’elles en particulier : la relaxation. J’ai constaté que c’était une activité intéressante et nécessaire aux participants. Mais ils ne semblaient pas à leur aise lors de ces séances. C’est à la suite de ce constat que j’ai proposé à l’association, d’entreprendre une étude et suivant les besoins décelés je leur proposerai des solutions. J’ai travaillé sur ce projet en tant que future technicienne supérieure en économie sociale familiale, en essayant d’utiliser des outils adaptés pour établir un diagnostic puis proposer des solutions. Après réflexion, une d’entre elles m’a semblé la plus appropriée. Par la suite, j’ai essayé de la mettre en place tout en respectant les contraintes de fonctionnement de l’association.
Les chutes chez les personnes âgées: une entrave au retour à domicile?

Afin de maintenir la personne âgée dans son cadre de vie habituel, et de limiter les investissements coûteux en hébergement collectif, le développement des services de maintien à domicile devient l’un des objectifs principaux de la politique en faveur des personnes âgées. En effet, le nombre de plus en plus important de personnes âgées et l’augmentation de l’espérance de vie ont conduit au développement d’une politique de maintien à domicile par les services publics : ceci afin de répondre à un besoin croissant au fil des années. C’est en 1960 que cette politique prendra naissance à la suite du Rapport Laroque qui en pose les fondements. A cette époque, les foyers logements constituaient une première structure du maintien à domicile. Mais il faudra plus de 10 ans pour que cette politique soit organisée et encore 10 années pour que les actions soient coordonnées. Cette politique a pris aujourd’hui des formes très variées avec en priorité le thème de l’autonomie. C’est d’ailleurs dans cet objectif que se caractérise la politique de maintien à domicile ¤ L’information sur les aides techniques ¤ L’aide à l’amélioration de l’habitat ¤ L’aide dans le cadre de consultations médicales ¤ La réalisation de bilan de capacités. Cependant on s’aperçoit que l’une des raisons principales empêchant le maintien à domicile est en rapport avec les chutes. En effet, près d’une chute sur deux se produit au domicile. On pourrait croire que la maison est l’endroit où l’on est le plus en sécurité. Pourtant, on recense chaque année, 4 millions d’accidents de la vie courante, et les chutes et chocs représentent à eux seuls plus de 3 accidents domestiques sur 4. Dans ces cas là, comment permettre à la personne âgée de retourner chez elle et de s’y maintenir dans les meilleures conditions de sécurité possibles ? En effet, les trois causes principales de chutes sont : des causes matérielles liées à l’habitat, des causes médicales et des causes sociales. Il apparaît donc que la conception et l’aménagement du logement peuvent être décisifs pour la sécurité des habitants. Ces chutes chez la personne âgée sont souvent associées à des mécanismes liés au vieillissement dont je parlerai dans la partie I : Les personnes âgées et le vieillissement puis dans la partie II : Les chutes, une conséquence du vieillissement ? Après avoir obtenu des données théoriques sur les chutes et le vieillissement, j’ai voulu rencontrer des professionnels du maintien à domicile pour connaître leur position par rapport à ce problème mais aussi pour qu’ils me guident dans mon travail de recherche. C’est la partie III : Recueil de données. Afin de me rendre compte du problème des chutes et de l’aménagement de l’habitat pour le retour et le maintien à domicile, j’ai réalisé un travail de terrain en mobilisant les connaissances théoriques que j’ai pu acquérir. J’ai développé mon analyse dans la partie IV : Le vécu et les conséquences de la chute. Suite à mes recherches documentaires, à mes entretiens avec les professionnels, et à mon étude de terrain, je me suis aperçue que la plupart des chutes étaient dues à l’environnement même de la personne âgée. Afin de favoriser leur maintien à domicile, des aménagements peuvent être réalisés dans leur lieu de vie en guise de prévention des chutes, mais aussi pour permettre un retour à domicile après une hospitalisation. Il existe aussi beaucoup de mesures en faveur du retour et du maintien à domicile. C’est ce que j’aborderai dans la partie V : Les solutions existantes pour favoriser le retour et le maintien à domicile. Une fois la partie étude terminée, j’ai commencé à mettre en place mon projet. Pour cela, il m’a fallu faire une analyse de la situation dans laquelle je me trouvais puis, à partir de cette situation, j’ai mis en place le moyen d’intervention qui répondait au mieux aux besoins et aux caractéristiques de la population.

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