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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

L'alimentation des usagers au sein d'un Service d'Accompagnement à la Vie Sociale

L'alimentation des usagers au sein d'un Service d'Accompagnement à la Vie Sociale De nos jours, on estime à 5,5 millions les personnes handicapées en France. 15 000 enfants naissent handicapés chaque année. Le handicap peut être physique ou mental, inné ou acquis durant la vie. Pour proposer aux personnes handicapées un accompagnement adapté à leur handicap, il a fallu mettre en place différentes structures. Cette étude et projet a été mené dans un Établissement et Services d’Aide par le Travail (ESAT) et plus précisément au Service d’Accompagnement à la Vie Sociale (SAVS) qui propose aux usagers vivant dans leur appartement, indépendant à la structure, un suivi régulier.

Une des capacités demandées lorsqu’un usager travaillant à l’ESAT, veut devenir externe (vivre en appartement autonome) est qu’il sache se nourrir. Le but étant d’exclure toute situation de mise en danger. Pour se nourrir, il faut savoir utiliser le matériel de base : four, plaques de cuisson ainsi que connaître les règles d’hygiène essentielles : savoir faire la vaisselle (eau chaude et savon), respecter les durées de conservations…L’acte de se nourrir pour certains peut se résumer à ouvrir des boites de conserves, à réchauffer des plats préparés au micro-onde, faire des pâtes, tout en conservant sa fonction de nutrition pour l’organisme.
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Documents associés

EP : les difficulté des jeunes a acceder au logement et a s'y maintenir
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune(squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études,d’une nette amélioration des relations parents-enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se debrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dûes à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les foyers des jeunes travailleurs.
Le tri des déchets dans un centre social.
Les hommes préhistoriques produisaient de petites quantités de déchets facilement recyclables : excréments, restes d’os, de peaux, de silex cassés, cendres de bois. Au Moyen-âge, les détritus étaient jetés dans la rue où flottait en permanence une odeur nauséabonde. Les risques d’épidémies (comme celle de la peste par exemple) s’en trouvaient multipliés. En 1884, le préfet de Paris, Eugène Poubelle, ordonna l’usage des poubelles : ce fut le début du traitement des déchets. La quantité et la nature des déchets ont ainsi évolué au cours des siècles.
Etude et projet "la mobilité des jeunes"
Alors que le taux de chômage avoisine la barre des 10% (9.3 à 10.1 d’avril à mai 06), les jeunes de moins de 25 ans restent les plus nombreux de ce pourcentage soit 20.8% (avril 2006). Ils sont donc les plus concernés par toute la difficulté qui consiste à s’insérer professionnellement. La difficulté est encore plus grande lorsque le jeune à moins de 25 ans et qu’il est sorti tôt du système scolaire. Ainsi en 2005, d’après l’INSEE, 49.2% des femmes de moins de 25 ans et 44.4% des hommes du même age n’ayant que le brevet ou étant sans diplôme, restent sans emploi dans les 4 ans suivant leur sortie d’école. Si un jeune n’a pas trouvé sa place à l’école, il aura toutes les difficultés à la trouver dans le monde du travail et par conséquent, à la trouver dans la société en général. En cette époque où l’argent à plus que jamais sa place, l’emploi est indispensable à une insertion sociale. Or comment accéder à l’emploi si l’on est trop jeune pour avoir de l’expérience, et trop loin du système scolaire pour acquérir des connaissances ?
EP: amener les mères d'un centre maternel vers une alimentation plus équilibrée.
S’alimenter est un besoin vital dont dépend notre santé. Cet acte est influencé par divers facteurs, qu’ils soient culturels, environnementaux ou financiers. Dans la France d’avant guerre, se nourrir était simple et peu onéreux car l’autoconsommation était la règle. Les aliments étaient des aliments de base, simples, peu variés mais cuisinés de différentes façons par la mère de famille. L’industrialisation et l’exode rural qui en a découlé ont mis fin à ce genre de pratiques. Le développement de l’urbanisation ne permet plus l’exploitation d’un petit potager. L’alimentation est désormais produite par des industries agricoles et commercialisée par de grands groupes alimentaires. L’offre des produits alimentaires s’est diversifiée. En effet, l’évolution des modes de conservation a permis la mise sur le marché d’une grande variété de produits déjà cuisinés. Le développement des transports a également apporté de nouveaux produits (exotiques, chinois…). De plus, le développement du travail de la femme a modifié les habitudes alimentaires familiales. La femme, socialement reconnue par son travail à l’extérieur du domicile, n’est plus uniquement considérée comme la mère nourricière. Même si parfois elle cuisine le week-end ou pour marquer des occasions familiales, elle passe de moins en moins de temps à la préparation des repas. Il est d’ailleurs intéressant de noter le fait que les industriels soulignent que leurs plats tout prêts sont faits « comme à la maison » ou suggèrent une manière d’apporter une petite touche personnelle.

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