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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

L'alimentation des usagers au sein d'un Service d'Accompagnement à la Vie Sociale

L'alimentation des usagers au sein d'un Service d'Accompagnement à la Vie Sociale De nos jours, on estime à 5,5 millions les personnes handicapées en France. 15 000 enfants naissent handicapés chaque année. Le handicap peut être physique ou mental, inné ou acquis durant la vie. Pour proposer aux personnes handicapées un accompagnement adapté à leur handicap, il a fallu mettre en place différentes structures. Cette étude et projet a été mené dans un Établissement et Services d’Aide par le Travail (ESAT) et plus précisément au Service d’Accompagnement à la Vie Sociale (SAVS) qui propose aux usagers vivant dans leur appartement, indépendant à la structure, un suivi régulier.

Une des capacités demandées lorsqu’un usager travaillant à l’ESAT, veut devenir externe (vivre en appartement autonome) est qu’il sache se nourrir. Le but étant d’exclure toute situation de mise en danger. Pour se nourrir, il faut savoir utiliser le matériel de base : four, plaques de cuisson ainsi que connaître les règles d’hygiène essentielles : savoir faire la vaisselle (eau chaude et savon), respecter les durées de conservations…L’acte de se nourrir pour certains peut se résumer à ouvrir des boites de conserves, à réchauffer des plats préparés au micro-onde, faire des pâtes, tout en conservant sa fonction de nutrition pour l’organisme.
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Documents associés

Formation et information des aides à domicile
En France, en 2006, l’espérance de vie atteint plus de 80 ans1 (84 ans pour les femmes et 77 ans pour les hommes). Cet allongement de la vie résulte essentiellement des progrès médicaux et sanitaires. Bien que de plus en plus d’individus « vieillissent en bonne santé », la vieillesse entraîne malgré tout une fragilité physique et fonctionnelle, pouvant mener à des accidents domestiques dont les conséquences physiques, sociales et psychologiques sont particulièrement préoccupantes pour les personnes âgées. Ainsi, ces dernières présentent un risque accru de perte d’autonomie.
Les chutes chez les personnes âgées: une entrave au retour à domicile?

Afin de maintenir la personne âgée dans son cadre de vie habituel, et de limiter les investissements coûteux en hébergement collectif, le développement des services de maintien à domicile devient l’un des objectifs principaux de la politique en faveur des personnes âgées. En effet, le nombre de plus en plus important de personnes âgées et l’augmentation de l’espérance de vie ont conduit au développement d’une politique de maintien à domicile par les services publics : ceci afin de répondre à un besoin croissant au fil des années. C’est en 1960 que cette politique prendra naissance à la suite du Rapport Laroque qui en pose les fondements. A cette époque, les foyers logements constituaient une première structure du maintien à domicile. Mais il faudra plus de 10 ans pour que cette politique soit organisée et encore 10 années pour que les actions soient coordonnées. Cette politique a pris aujourd’hui des formes très variées avec en priorité le thème de l’autonomie. C’est d’ailleurs dans cet objectif que se caractérise la politique de maintien à domicile ¤ L’information sur les aides techniques ¤ L’aide à l’amélioration de l’habitat ¤ L’aide dans le cadre de consultations médicales ¤ La réalisation de bilan de capacités. Cependant on s’aperçoit que l’une des raisons principales empêchant le maintien à domicile est en rapport avec les chutes. En effet, près d’une chute sur deux se produit au domicile. On pourrait croire que la maison est l’endroit où l’on est le plus en sécurité. Pourtant, on recense chaque année, 4 millions d’accidents de la vie courante, et les chutes et chocs représentent à eux seuls plus de 3 accidents domestiques sur 4. Dans ces cas là, comment permettre à la personne âgée de retourner chez elle et de s’y maintenir dans les meilleures conditions de sécurité possibles ? En effet, les trois causes principales de chutes sont : des causes matérielles liées à l’habitat, des causes médicales et des causes sociales. Il apparaît donc que la conception et l’aménagement du logement peuvent être décisifs pour la sécurité des habitants. Ces chutes chez la personne âgée sont souvent associées à des mécanismes liés au vieillissement dont je parlerai dans la partie I : Les personnes âgées et le vieillissement puis dans la partie II : Les chutes, une conséquence du vieillissement ? Après avoir obtenu des données théoriques sur les chutes et le vieillissement, j’ai voulu rencontrer des professionnels du maintien à domicile pour connaître leur position par rapport à ce problème mais aussi pour qu’ils me guident dans mon travail de recherche. C’est la partie III : Recueil de données. Afin de me rendre compte du problème des chutes et de l’aménagement de l’habitat pour le retour et le maintien à domicile, j’ai réalisé un travail de terrain en mobilisant les connaissances théoriques que j’ai pu acquérir. J’ai développé mon analyse dans la partie IV : Le vécu et les conséquences de la chute. Suite à mes recherches documentaires, à mes entretiens avec les professionnels, et à mon étude de terrain, je me suis aperçue que la plupart des chutes étaient dues à l’environnement même de la personne âgée. Afin de favoriser leur maintien à domicile, des aménagements peuvent être réalisés dans leur lieu de vie en guise de prévention des chutes, mais aussi pour permettre un retour à domicile après une hospitalisation. Il existe aussi beaucoup de mesures en faveur du retour et du maintien à domicile. C’est ce que j’aborderai dans la partie V : Les solutions existantes pour favoriser le retour et le maintien à domicile. Une fois la partie étude terminée, j’ai commencé à mettre en place mon projet. Pour cela, il m’a fallu faire une analyse de la situation dans laquelle je me trouvais puis, à partir de cette situation, j’ai mis en place le moyen d’intervention qui répondait au mieux aux besoins et aux caractéristiques de la population.

La prévention de la déshydratation des personnes âgées à leur domicile

Les personnes âgées sont pour chacun de nous le miroir de notre futur, avec ses craintes et ses bienfaits. Dans cette perspective que je suis venue faire mon premier stage d’observation, en juin 2004, au sein d’un service d’aide à domicile pour les personnes âgées. Je voulais comprendre comment les travailleurs sociaux et les autres intervenants arrivent à maintenir la dignité des personnes du quatrième âge et leur autonomie.

EP: Prévention des chutes des personnes agées en EHPAD
La plupart des personnes glissent ou chutent, sans qu'il n'y ait de conséquences sérieuses, chez les personnes âgées, les chutes sont plus fréquentes plus graves tant au niveau physique que psychologique. Il s’avère qu’en moyenne en France, 23 millions de personnes de 65 ans et plus tombent chaque année, selon la Caisse nationale d’assurance-maladie et le Comité français d’éducation pour la santé. Les chutes constituent l’accident le plus fréquent chez cette population et sont l’une des premières cause de décès accidentel. On recense par an 40 000 cas de fractures du col du fémur dû aux chutes et 8 500 décès chez les plus de 65 ans. Une chute sur deux survient dans un établissement de soins ou dans une maison de retraite. Les chutes entraînent des coûts pour les personnes, et la communauté. Le système de soins et de santé comptabilise environ 91 000 séjours hospitaliers chaque année pour des fractures liées à des chutes chez les plus de 75 ans. De plus 4 séjours sur 5 donnent lieu à une intervention chirurgicale. Le coût total estimé des consommations de soins associés à une chute était d’environ 1 milliard d’euros en 1995.

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