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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Réaménagement d'un coin convivial au sein d'une épicerie sociale et solidaire

Réaménagement d'un coin convivial au sein d'une épicerie sociale et solidaire Cette étude a été très intéressante à différents niveaux. Tout d’abord sur le plan technique, elle m’a permis de me mettre en situation professionnelle et ainsi d’avoir un aperçu du métier de Technicienne en Economie Sociale et Familiale. J’ai trouvé très formateur de mettre en place un projet dans un contexte professionnel en tenant compte des exigences de l’association, et des besoins et attentes des usagers. Sur le plan relationnel, j’ai pu être en contact avec les usagers que j’ai ainsi pu découvrir. J’ai aussi beaucoup appris auprès de la CESF et des bénévoles que j’ai côtoyés lors de mes stages. J’ai vraiment apprécié l’accueil dont j’ai pu bénéficier, mais aussi des compétences de la CESF et de son implication qui m’ont aidés pour mon projet. Le travail en équipe est indispensable pour les travailleurs sociaux et en particulier pour une TESF, qui, dans l’exercice de ses fonctions, ne peut pas travailler en autonomie pour réaliser ses actions.
Catégorie: Rapport de stage Conseiller en économie sociale et familiale
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EP : Les usagers de l’association savent-ils coudre ?
Cependant, le vêtement, correspondant aux normes vestimentaires du moment, a un coût et n’est pas toujours accessible à tous. En effet, les vêtements achetés par un individu ne sont pas toujours parfaitement adaptés à sa taille et il arrive parfois qu’il soit nécessaire de faire un ourlet. De même, s’ils commencent à être usés ou bien si la fermeture à glissière ne fonctionne plus, il faut la changer et cet entretien a un coût élevé : entre sept et quinze euros pour faire un ourlet simple, entre huit et trente euros pour changer une fermeture à glissière2. Cela peut expliquer, en partie, pourquoi de nombreuses personnes préfèrent jeter leurs vêtements troués, abîmés plutôt que de dépenser de l’argent pour les réparer en pensant qu’ils n’ont plus aucune utilité. Si ces personnes agissent ainsi, n’est-ce pas plutôt parce qu’elles ne savent pas réparer leurs vêtements elles-mêmes ? Manquent-elles de connaissances dans ce domaine ? Auraient-elles besoin d’apprendre des techniques de couture ? Savent-elles qu’il est possible de réutiliser des vêtements abîmés pour en créer de nouveaux ? Tant de questions m’ont amené à réaliser une enquête auprès d’une association qui accueille des personnes en difficultés et qui les aide à se réinsérer socialement et dans laquelle on trouve un vestiaire social.
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Actuellement, plus de 700 000 personnes, soit plus de 1% de la population française, se trouve sous un régime de protection juridique. Le nombre de mesures prononcées, depuis plusieurs années, enregistre une croissance régulière et soutenue. A ce rythme, il devrait dépasser 1 million en 2010. Un chiffre qui interpelle, sachant que ces mesures sont privatives de libertés et restrictives de droits. Pourtant la France fait partie des pays développés et riches où l’éducation mène à la socialisation, à l’autonomie. A 18 ans, l’âge de la majorité, toute personne est reconnue capable, légalement, d’exercer tous ses droits civils. Cependant, ce n’est pas toujours le cas, ce qui nous renvoie aux problèmes de la dépendance et des incapacités, en somme du handicap.
Les processus d'insertion
Mais ce que je retiendrai du poste d’ALI est l’importance du travail en équipe et en partenariat qui permet de proposer des réponses adaptées aux bénéficiaires. En effet l’ALI n’est pas le seul à accompagner la personne dans son parcours d’insertion, d’autres partenaires sont présents tels que l’ANPE, le Point Accueil Emploi.... L’ALI coordonne tous ces acteurs et développe le travail en partenariat. Il essaye aussi de dynamiser le territoire en proposant des projets donc il a un rôle essentiel dans le développement de l’insertion au niveau local.

Mais en rencontrant les partenaires sur ce territoire je me suis posé certaines questions et une en particulier m’a fait réfléchir : Que proposer aux bénéficiaires éloignés de l’emploi avec des problèmes de santé ? Ils ne peuvent pas travailler en milieu ordinaire mais ne relèvent pas d’un milieu protégé (ESAT). Le chantier d’insertion est une orientation possible pendant un certain temps mais quel avenir après le chantier ? N’y a-t’- il pas un maillon manquant dans la chaîne des organismes d’insertion ?

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