Il n’est pas facile de définir la vieillesse, il n’est guère plus simple de déterminer à quel moment elle commence : la catégorie statistique des « personnes âgées » en fixe le seuil à 60 ans, mais bien des sexagénaires refuseraient un tel classement.
Au cours du XXème siècle, la vieillesse s’est profondément transformée. Tout d’abord elle est devenue une étape normale de l’existence, que chacun s’attend à vivre et que la majorité des individus connaissent. Par ailleurs, la mise en place des systèmes de sécurité sociale en a fait le temps de la retraite et cette période de la vie s’est considérablement allongée.
Ce type d’expérience m’a été enrichissant dans la mesure où j’ai pu prendre conscience de mes capacités dans ce domaine. De plus j’ai pu acquérir de nombreuses informations sur un sujet qui ne m’avait jamais interpellé jusque là et qui est pourtant intéressant, en fait nos aînés sont aussi responsables, dans une large mesure, contrairement aux idées reçues, du rôle et de la place qu’on leur attribue.
Je me suis rendu compte de la difficulté à rester neutre et à improviser dans ce genre de situation, donc de la difficulté, dans une certaine mesure, à être un bon psychologue.