LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Autre

les bandes de jeunes

les bandes de jeunes

En guise de conclusion, on peut dire que la situation dans les banlieues est le résultat de processus dont certains ont une existence historique. Effectivement, à travers l'histoire on constate que le phénomène de bande n'est pas nouveau, par contre actuellement il y a une surenchère de la violence. Cette surenchère est certainement due à la raréfaction des moyens de manifester sont mécontentement, dans ce que l’on appelait les « banlieues rouges », il existait des formes d’entraide et d’organisation des familles ouvrières ; il y avait aussi des militants politiques, des syndicalistes et même des curés. La disparition de ses médiateurs sociaux a contribué à l’augmentation d’un sentiment d’abandon que l’on remarque dans ces quartiers. De plus, les problèmes sociaux comme le chômage, les emplois précaires et surtout l'échec scolaire, tous ces mécanismes négatifs contribuent à enfermer dans un cercle vicieux des jeunes qui par leurs réactions se marginalisent encore plus. Se sentant rejetés, ils adoptent des comportements qui les exclus encore davantage, décourageant du même coup les rares bonnes volontés qui se manifestent à leur égard. D’autre part, au lieu d’analyser les causes du problème et d’y apporter des réponses, les hommes politiques se livrent à une surenchère sécuritaire, stigmatisant encore plus des jeunes en quête de reconnaissance. Enfin, les médias ont leur part de responsabilité, ils érigent les faits divers en événements prétendus symptomatiques, sur fond de catastrophisme permanent.

Catégorie: Autre
Type de fichier: application/pdf
Historique du document:

0

Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Le sport comme processus d'intégration
Le sport est un outil récurrent dans les processus d’intégration à destination des personnes en marge de la société : les immigrés, les personnes incarcérées, les personnes délinquantes et même les personnes handicapées. Le DUT Carrières Sociales m’a donné la possibilité d’effectuer ce mémoire sur le sujet de recherche en sciences sociales de mon choix et mon sujet s’est porté sur la prise en compte de la différence et sur l’intégration sportive. Celui-ci me permettra d’approfondir mes connaissances et d’appréhender les enjeux du sport vis-à-vis du handicap afin de m’aider dans l’accomplissement de ma future pratique. Cette recherche part d’un constat que j’ai pu faire lors de mon expérience de stage au sein de l’Institut d’Education Motrice A., établissement social interne du Centre de K.. Le travail sportif des personnes handicapées m’a impressionné car leur handicap ne les empêche pas de se donner à fond pour réussir et se dépasser. J’ai également remarqué que le sport était très présent au sein de la structure et les professionnels encourageaient vivement les personnes en situation de handicap à pratiquer une activité sportive.
Activité musique auprès d'enfants autistes en IME
• La capacité d'écoute des enfants a remarquablement évolué sur le temps d'écoute de la musique du jour. En effet, nous avons observé un développement de l'écoute autonome des enfants (sans présence de l'adulte devant eux), qui a pu aller jusqu'à 8 minutes, 5 minutes étant la moyenne. • La capacité à produire des sons a également notablement évolué pour les deux enfants. • Les enfants ont pu développer leurs capacités d'expression, ce qui peut nous indiquer un développement de leur confiance en eux. En effet, chacun a de mieux en mieux accepté le temps de manipulation et de découverte des instruments, et a expérimenté des sons, des manières d'utiliser les instruments. Ils ont ainsi pleinement bénéficié de cet espace de liberté.
La dynamique des groupes :Roger Mucchielli
R.Mucchielli définit le groupe primaire comme un groupe limité par le nombre, où chaque personne connaît toutes les autres et partage des buts communs. Ce groupe suppose une « unité » psychologique spécifique défini par « nous » solidarisant les membres en fonction de l’environnement naturel ou social. Par opposition, on retrouve les groupes secondaires, appelés des organisations, dans lesquels les relations sont indirectes et la communication passe par un intermédiaire.
L’érotomanie
Avant d’entrer dans le vif du sujet, il nous parait important de parler de la psychose. On distingue la psychose de la névrose par le degré de conscience. La personne atteinte de névrose est consciente de l'irrationalité de ses pensées. Ce qui est différent dans la psychose c’est la relation à la réalité et à autrui. Il faut alors aborder l’enfance, et plus précisément la période du processus d’individuation, pour comprendre la psychose.

Connexion

Abonnement

Recherche