LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Autre

Les écrits de la protection de l'enfance

Les écrits de la protection de l'enfance Les lieux d'accueil sont amenés à produire différents types d'écrits: Le cahier de liaison: il sert à consigner ce qui s'est passé de significatif dans le groupe ou pour un jeune en particulier, les actions à mener, les points sur lesquels il faut rester attentif. La difficulté de cette rédaction tient au fait que lors de la rédaction le TS ne prend pas assez de recul ni de temps pour la réflexion. Un plan CISS serait adapté pour cet écrit. La note d'information/ d'incident: Elle a pour objectif d'informer le plus rapidement possible l'inspecteur ASE ou le juge des enfants, de faits qui se sont produits pendant la prise en charge: incidents, révélation, changement de situation, constat... Un plan CISS est adapté à la rédaction d'une note. Le rapport de situation: C'est l'observation du quotidien qui va alimenter le rapport de situation, d'où l'importance du recueil régulier d'éléments précis relatifs à l'enfant et à son évolution (faits, paroles, actions, attitudes, réactions...). La ligne directrice de la conception de ce rapport est de se demander ce qui a changé8 en plus ou moins bien pour le jeune: dans sa façon de dire les choses, d'être, de respecter une consigne, d'exprimer ses émotions, sa relation aux objets...
Catégorie: Fiche de lecture
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

L'échec de la protection de l'enfance en France : BERGER Maurice
Le dispositif de la protection de l’enfance coûte chaque année pas moins de cinq milliards d’euros aux contribuables français. On dénombre quelque 270 000 mineurs concernés par ce dispositif. Pourtant cet effort important consenti par les pouvoirs publics en faveur de la protection de l’enfance semble inefficace, puisqu’une multitude de rapports d’experts (une dizaine entre 2000 et 2006, dont 3 de l’IGAS) sont venus en pointer les dysfonctionnements, et partant en exacerber les critiques. Celles-ci concernent essentiellement la complexité de l’organisation du dispositif conjuguant des finalités parfois antithétiques, voire même inconciliables, savoir d’un côté la protection de l’enfance en danger, de l’autre, les droits des parents et le soutien à la parentalité. C’est dans cette perspective que s’inscrit l’ouvrage de Maurice BERGER, intitulé : l’échec de la protection de l’enfance, publié dans sa première édition en 2003. Sous la forme d’un véritable réquisitoire, Maurice BERGER dénonce, (outre l’inefficacité de ce dispositif, qu’il qualifie volontiers de « bateau ruineux à la dérive » et « d’irrémédiable gâchis »), la nuisance de celui-ci, non seulement, au regard de l’enfant qu’il ne protège guère, voire même dont il aggrave les déficiences, mais aussi au regard de la société, qui à terme, supportera la charge durable de ces «inadaptés en tout genre», qu’aura engendré un tel dispositif.
Des parents en quête de parentalité. Séverine Euillet Chantal Zaouche-Gaudron
Paru en Août 2008 dans la revue Sociétés et jeunesses en difficulté, l’article que nous étudierons ici, intitulé « Des parents en quête de parentalité. L’exemple des parents d’enfants accueillis à l’aide sociale à l’enfance » est avant tout un article visant à analyser la perception des parents dont un enfant est pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, la manière dont ils perçoivent la « nouvelle » parentalité que ce placement engendre, et les relations qu’ils peuvent entretenir avec les intervenants sociaux, thème qui nous intéressera davantage ici puisqu’en rapport direct avec mon sujet de TER. Néanmoins, notons que bien que soulevant des enjeux sociologiques majeurs, il semble important de souligner ici qu’aux vues des domaines de compétences des deux auteurs de cet article que nous présenterons par la suite, nous sommes davantage, avec cet article, dans une approche plus psychologique de la question du placement d’un enfant et de ces conséquences sur ses parents et sur les relations que ceux-ci sont amenés à entretenir avec les éducateurs.
Les approches constructivistes : BRUNER
L’œuvre de Bruner est choisie pour au moins deux raisons : - Il tente de dépasser les travaux de Piaget à travers l’apport de Vygotski, mais en développant des travaux empiriques de cette dernière approche, notamment pour la notion de ZPD ; - Il a traversé, au court de son œuvre, un ensemble important de paradigmes de la psychologie du développement.
La Société des Individus : Norbert Elias
Né en Allemagne dans une famille juive en 1897, mort aux Pays-Bas en 1990 à l’âge de 93 ans, Norbert Elias se forme à la sociologie après des études de médecine et de philosophie, puis il enseigne en Angleterre où, fuyant l'Allemagne nazie, il s'est réfugié avant la Seconde Guerre mondiale, après une vaine tentative d'installation en France. La réception de l'œuvre d'Elias fut brouillée par ces avatars de l'histoire : ce n'est qu'à partir de la fin des années soixante que ses ouvrages commencent à être traduits en français. Ils portent sur l'histoire de l'autocontrôle de la violence et l'intériorisation des émotions (dans des domaines aussi divers que les manières de table, le sport, la musique, les rapports entre les sexes ou la mort) ainsi que sur les conséquences d'une redéfinition des relations d'interdépendance (dans le rapport au temps, au groupe de référence ou à la situation) qui ouvre à une véritable “ révolution copernicienne” en sociologie

Connexion

Abonnement

Recherche