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Je demande à être aimé infirme

Je demande à être aimé infirme

1 LA SEXUALITE Qu’est-ce que c’est ? C’est l’ensemble des phénomènes relatifs à l’instinct sexuel. Mais dans cette définition, où est la notion de plaisir évoquée par Freud, qui lui élargit la sexualité à toutes formes d’excitations et d’activités dès l’enfance, procurant un plaisir inéluctable à l’assouvissement d’un besoin physiologique fondamental. Pour lui la sexualité est une pulsion profonde, et qui n’a d’autre but que de se satisfaire totalement.

L’homosexualité est encore un sujet plus tabou dans les institutions. C’est une pratique sexuelle considérée comme déviante et quelques fois encore comme un trouble mental, alors qu’elle n’est plus classée comme telle depuis 1973. Il faut savoir que l’homosexualité n’est pas illégale en France, sa pratique est tolérée entre personnes qui ont atteint la majorité sexuelle (16 ans). L’homosexualité existe dans les institutions, entre handicapés, entre adolescents ou adolescentes, mais bien souvent les éducateurs ont tendance à nier la dimension homosexuelle que pourrait avoir l’orientation affective d’une jeune (confusion possible entre amitié passionnée et désir homosexuel).

Catégorie: Travaux U.F.
Type de fichier: application/pdf
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Le Conseiller en Insertion Professionnelle
Contrairement aux professions sociales axées sur l’assistance, l’éducation ou l’animation, constituant la pierre angulaire du travail social, l’insertion est une catégorie qui a émergé plus récemment (vers la fin des années 1970) « légitimée » par l’apparition d’un nouveau paysage social marqué par la crise. En effet, les personnes et l’Etat qui les représente alors sont confrontés à de nouvelles problématiques sociales telle que la massification du chômage dans une période d’essoufflement du marché de l’emploi.
Des chercheurs d'emplois en quête de remotivation
Par un contexte de crise économique, les conseiller emplois ont pu remarquer qu’il y avait peu d’offres des entreprises, c’est de par ce constat que mes missions se sont donc dirigées pour développer la relation entreprise au sein des trois PAE. Cependant, au-delà d’être dans la création d’actions autour de cette problématique, j’ai souhaité être en relation avec le public afin de le découvrir et d’établir ma recherche action dans le cadre de l’UEF3 à travers ce que j’aurais pu analyser. J’ai donc observé, écouté, échangé puis accompagné des personnes dans leur recherche d’emploi et/ou de projet professionnel. J’ai pu remarquer que bon nombres d’entre eux se démotivaient, certains se dévalorisant sans cesse. Le travail étant une valeur et surtout une place très importante dans notre société, lorsque l’on perd celui-ci ou lorsque l’on est en recherche d’emploi depuis un certain temps ou en inactivité importante, certaines difficultés peuvent apparaître : perte de confiance en soi, difficulté de présentation, besoin de reconnaissance, dé-motivation….
Dossier sur les représentations sociales et dynamiques de groupe
En effet, en tant qu’éducatrice spécialisée les notions de représentations sociales et de dynamique de groupes ont une résonnance toute particulière. Cependant je n’ai jamais eu l’occasion ou je ne l’ai jamais saisie, au-delà de quelques définitions vues en école d’éducateur, de comprendre ce qu’est la psychologie sociale et comment cette discipline peut amener à une meilleure compréhension de nos conduites humaines. Notre regard, nos jugements, nos préjugés, nos relations sociales, sont autant éléments mouvants qui dépendent du contexte dans lequel on a grandit, dans lequel on vit et dans celui que nous allons connaître après. La psychologie sociale nous amène à évoluer en tenant compte de ce qui nous entoure et de sa réalité particulière. Elle ne se situe pas dans un champ de savoirs absolus, elle soumet son savoir à une propre autocritique en fonction des évolutions.

La place de nos représentations sociales, et leurs incidences sur nos vies, notre société, voilà un thème que je souhaiterai approfondir. Car au fil des cours de ce semestre je me suis rendu compte de son importance et de l’impact que cela pouvait avoir sur ma vie professionnelle et privée. Ces premiers éléments de connaissance mon permis à la hauteur de mon niveau d’interpréter certaines situations et d’essayer de modifier mon comportement face à celles-ci. Dans le cadre de ce travail, j’ai essayé au mieux de synthétiser l’ensemble des cours en y intégrant ce qui pour moi relevait de l’essentiel dans le domaine de cette unité d’enseignement. J’ai intégré des exemples différents du cours, pour étayer ce résumé théorique.
Surdoués et échec scolaire
Etant étudiantes en troisième année de Licence Sciences de l’Education, il nous a semblé enrichissant d'étudier le problème des enfants surdoués dans la mesure où, en tant que futures professionnelles de l'éducation, il est probable que nous soyons confrontées à ce type d'élèves. De plus, lors de nos stages, l’une d’entre-nous a rencontré un enfant surdoué se trouvant en classe de CE2. Cet élève se trouvait en échec depuis la classe de CP. Au début suivi par une autre enseignante, celle-ci ne s’est jamais vraiment questionnée sur ses difficultés. Elle en est restée au stade de l’échec purement scolaire. Passant en classe de CE2, le jeune garçon a changé d’institutrice. Cette dernière s’est réellement interrogée sur la situation. En effet, l’élève avait des résultats plus que satisfaisants en lecture et en poésie (domaines qui lui tenait à cœur) mais échouait totalement dans tout autre exercice purement disciplinaire. L’enseignante lui a alors proposé des travaux de différents niveaux, certains faciles et d’autres davantage complexes. Réussissant ceux non adaptés à son niveau d’étude, l’institutrice a fait appel aux parents afin qu’il passe différents tests pour estimer son niveau intellectuel. Il s’est alors avéré que l’élève en question avait un quotient intellectuel supérieur à la moyenne et qu’il était ainsi considéré comme surdoué.

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