LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Autre

CHE GUEVARA E., Ecrits sur la révolution, Bruxelles, Editions Aden

CHE GUEVARA E., Ecrits sur la révolution, Bruxelles, Editions Aden Cibler la pensée d’Ernesto Che Guevara n’est pas mince affaire. Celui que l’on dénommait le commandante, a jusqu’à sa mort laissé à d’autres le soin de le caractériser. Humaniste, communiste, socialiste, anti-impérialiste, révolutionnaire romantique et encore bien d’autres adjectifs tentent à l’heure actuelle de formuler une définition cohérente de ce personnage devenu mythique. Mais ce héros de la révolution cubaine, était-il si en phase avec l’étiquette que certains lui collent à l’heure actuelle? Quelles furent ces convictions qui l’amenèrent à quitter son Argentine d’origine pour entreprendre un voyage qui le conduisit à apporter son soutien à une révolution que peu de personnes auraient jugée envisageable?

Lorsqu’il cherche une définition adéquate à donner au parti marxiste-léniniste, Ernesto Guevara emprunte des morceaux de discours énoncés par Fidel Castro : « Des individus unis par une communauté d’idées qui se groupent pour donner vie aux conceptions marxistes, c’est-à-dire pour accomplir la mission historique de la classe ouvrière .». Il ajoute qu’un parti ne peut vivre éloigné de la masse populaire et doit en permanence se remettre en question. La construction du groupe ne peut se faire qu’avec des membres issus de la classe prolétaire. Il n’est, en effet, pas envisageable de créer un parti socialiste dont les cadres dirigeants seraient, eux-mêmes, des exploiteurs de la classe ouvrière.
Catégorie: Fiche de lecture
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Stigmatisation sociale - CROIZET & LEYENS
Dans leur livre intitulé Mauvaises réputations – Réalités et enjeux de la stigmatisation sociale paru en 2003, Jean-Claude CROIZET et Jacques-Philippe LEYENS nous dressent les dernières recherches menées en matière de stigmatisation. Bien que ce thème ait déjà été abordé de nombreuses fois par les experts de la sociologie et de la psychologie, l’originalité du travail des deux psychologues CROIZET et LEYENS, demeure dans le fait qu’ils recherchent le regard des stigmatisés face à leur propre situation, et non plus seulement celui de ceux qui créent, concourent et alimentent les situations de stigmatisation (les « dominants ») à l’égard des porteurs de stigmates visibles ou non.
PAROLES POUR ADOLESCENTS ou le complexe du homard : Françoise DOLTO
l’éducation, s’est occupé du bien être des tous petits. Née sous le nom de Françoise Marette le 6 novembre 1908, élevée dans la religion, très jeune, elle parle de devenir « médecin d'éducation », elle deviendra infirmière puis médecin. En1932, elle entreprend une psychanalyse qui durera trois ans avec le professeur Laforgue, un pionnier de la psychanalyse en France. En 1939, sur les conseils de Laforgue, elle devient membre adhérente de la Société psychanalytique de Paris.
La Société des Individus : Norbert Elias
Né en Allemagne dans une famille juive en 1897, mort aux Pays-Bas en 1990 à l’âge de 93 ans, Norbert Elias se forme à la sociologie après des études de médecine et de philosophie, puis il enseigne en Angleterre où, fuyant l'Allemagne nazie, il s'est réfugié avant la Seconde Guerre mondiale, après une vaine tentative d'installation en France. La réception de l'œuvre d'Elias fut brouillée par ces avatars de l'histoire : ce n'est qu'à partir de la fin des années soixante que ses ouvrages commencent à être traduits en français. Ils portent sur l'histoire de l'autocontrôle de la violence et l'intériorisation des émotions (dans des domaines aussi divers que les manières de table, le sport, la musique, les rapports entre les sexes ou la mort) ainsi que sur les conséquences d'une redéfinition des relations d'interdépendance (dans le rapport au temps, au groupe de référence ou à la situation) qui ouvre à une véritable “ révolution copernicienne” en sociologie
Traumatisme, traumatique, trauma de Thierry BOKANOWSKI
Pour rendre compte, aujourd’hui, de la théorie du traumatisme en psychanalyse, il est nécessaire de renverser la chronologie de son élaboration théorique, et de considérer deux paramètres : — le traumatisme, comme agent d’une déliaison pulsionnelle ; — les séquelles du traumatisme qui constituent et agissent comme une source pulsionnelle secondaire. Ainsi, lorsque l’on est conduit à parler du traumatisme l’on est tout autant conduit à évoquer l’histoire de la théorisation du concept, qu’à envisager ses implications théorico-cliniques et théorico-pratiques, elles-mêmes liées à l’évolution de la théorie et qui aboutissent à devoir penser le traumatisme en termes de bloc « défense/trauma ».

Connexion

Abonnement

Recherche