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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

L'intimité dans les institutions

L'intimité dans les institutions Pour conclure je dirai que les lois en ce qui concerne le milieu ordinaire sont assez claires, en effet chacun vit sa vie sexuelle comme il l’entend, tant que cette liberté n’atteint pas celle des autres et surtout ne fait pas entrave a leur dignité et leur intimité. Mais quand je m’empare des lois concernant le milieu social ou médico-social, je vois depuis l’apparition des lois du 2 janvier 2002 et du 11 février 2005, que ces termes apparaissent comme des droits fondamentaux des usagers. Ces droits, il faut donc les respecter comme l’on respecte les usagers comme des personnes singulières, avec leur différence et avec leur particularité.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

JEC : l’organisation d’un temps du quotidien
Le journal d’étude clinique doit aborder un changement d’organisation qui va poser question aux différents membres de l’équipe pluri-professionnelle. Ce questionnement doit amener l’équipe à communiquer, ainsi dans cette situation nous devons rendre compte de la communication dans l’équipe ainsi que notre rôle dans cette dernière. La situation que j’ai choisi d’aborder remet en cause l’organisation d’un temps du quotidien à savoir le moment de la sieste pour les enfants. L’ensemble de l’équipe n’ayant pas le même point de vue, une communication doit s’établir afin que l’équipe et moi-même arrivions à un consensus.
Les violences conjugales
« La violence faite aux femmes désigne tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin, causant ou susceptible de causer aux femmes des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, et comprenant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou la vie privée. » La violence conjugale est un processus de domination au cours duquel l’un des deux conjoints installe et exerce une emprise sur l’autre en usant : « … de tromperie, de séduction, de menaces, de contraintes ou de tout autre moyen à l’encontre de l’autre et ayant pour but et pour effet : - De l’intimider, de la punir, ou de l’humilier, - Ou de la maintenir dans des rôles stéréotypés liés à son sexe - Ou de lui refuser sa dignité humaine, son autonomie sexuelle, son intégrité physique, mentale ou morale, - Ou d’ébranler sa sécurité personnelle, son amour-propre, sa personnalité, - Ou de diminuer ses capacités physiques ou intellectuelles. » Processus de domination conjugale Il existe différentes violences : psychologique, physique, sexuelle, économique, verbale. L’humiliation détruit l’estime de soi. Lui refuser sa dignité humaine : atteinte au corps, obligation de nudité, interdiction de se laver, faire ses besoins dans un seau… Evaluer la dangerosité du conjoint : casiers judiciaires, armes, addiction, menaces, atmosphère de terreur. - Lors des entretiens : « qu’est ce qui vous fait le plus peur ? »

Chiffres violences couples - 115 femmes tuées par leur conjoint (ou ex-conjoint), et 7 par leur compagnon « non officiel ». Au moins 44 d’entre elles étaient victimes de violences antérieures connues. - 21 hommes ont été tués par leur partenaire de vie (dont un au sein d’un couple homosexuel). Au moins 8 d’entre eux étaient victimes de violences antérieures connues. - 40% des femmes et 8% des hommes qui ont tués leur conjoint(e) avaient antérieurement dénoncé des violences conjugales. - 36 enfants ont été tués dans le cadre de violences au sein du couple parental. 11 ont été tués par leur père en même temps que leur mère, et 25 sans que l’autre parent soit tué. - Dans 10 affaires les meurtres ont été commis devant les enfants, 55 enfants étaient présents au domicile au moment des faits (les enfants n’empêchent pas le meurtre). - 96 enfants sont devenus orphelins
Dossier la maltraitance des enfants
Aujourd’hui, on cherche à protéger l’enfant en danger, avant le XXème siècle on se protégeait de l’enfant dangereux. Le concept de maltraitance se développe à partir du moment où l’on s’interroge sur les relations parents-enfants et leurs effets sur le développement. Hors, les relations entre les parents et leurs enfants ne peuvent être décrites comme « simples », donc une situation de maltraitance n’en est que plus complexe. Nous allons donc aborder dans ce dossier la maltraitance à l’égard des enfants. Nous verrons donc dans une première partie les généralités telles que les lois en rapport avec ce sujet, quelques données chiffrées et un historique. Puis, dans une seconde partie, nous aborderons quelques points de vue sociologiques et psychologiques. Enfin, nous tenterons d’exposer dans une troisième partie les actions intéressantes mises au point pour parer à ce fléau.
L'ordonnance du 2 février 1945

Rompant avec le système juridique prévalant sous l’ancien régime, qui ne faisait aucune différence entre les adultes et les enfants concernant la responsabilité pénale, le Code Pénal de 1810 fixa la majorité pénale à 16 ans. Le juge chargé d’une affaire mettant en cause un mineur de moins de 16 ans se fondait alors sur le critère de discernement. S’il était établi que le mineur avait agi sans discernement, le juge prononçait un acquittement, mais le mineur devait être éloigné de la société et faisait l’objet d’un placement en maison de correction où il bénéficiait de mesures éducatives, pour une durée, qui ne pouvait aller au-delà de son vingtième anniversaire. En revanche, si le juge estimait que le mineur avait agi en pleine connaissance de cause, il bénéficiait d’une atténuation de peine, mais devait effectuer celle-ci dans les conditions de droit commun. Ce système fut critiqué car il favorisait la promiscuité et ne prenait pas suffisamment en compte les spécificités de la délinquance juvénile par rapport à la criminalité en général. Pour remédier à cette insuffisance, la loi du 5 avril 1850 instaura alors les colonies pénitentiaires de jeunes détenus, accueillant tous les mineurs délinquants quel qu’ait été leur niveau de discernement. Une loi du 12 avril 1906 porta la majorité pénale à 18 ans.

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