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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Approche Anthropologie et Structurelle des Situations Difficiles des Populations Exclues

Approche Anthropologie et Structurelle des Situations Difficiles des Populations Exclues Conditions réelles des personnes ?, Qui sont-elles ?, Quelle est leur histoire ?, Leur culture ?, leur fonctionnement ?, leur place au sein de la société ? Entre les individus, il y a des passerelles, la société les quantifient et les incluent dans un groupe (Rmiste,…) ; en les évaluant économiquement (faible, sans rien, modéré,…) également du point de vue humain (tant de femmes, d’hommes, de célibataires, …), donnant lieu ainsi à des statistiques : photographie floue de la société. La société met des portes, des sas, permettant ainsi de savoir si un individu peut passer d’exclu au statut de salarié inséré dans la société. Ce qui ferait de ce même individu, une personne normalisé/normative/socialisé. L’anthropologie, ne veut les considérer comme des individus seuls, mais les intégrer dans un groupe, défini par un aspect humain, la rue, normaliste, addiction ; les situer dans un territoire. Réfléchir à l’exclusion, c’est réfléchir à la géographie, ces personnes s’approprient des espaces, des lieux qui « provoquent », des lieux qui font porter l’attention sur eux. A souligner le combat qui existe entre les territoires, même au sein de la rue il existe des territoires, qu’importe ne peut s’y installer. La pauvreté avant était folklorisée, « le clochard poète, qui a un grain de folie » - cf. .Erasme « Eloge de le Folie » XIIIème siècle

Ethnie : Les gens sont inscrits dans un dispositif (SDF/RMI) secte/communauté, en France le terme sera Groupe Humain -Qu’est-ce qui caractérise ce Groupe Humain ? -Précarité -Pauvreté -L’exclusion -Système de croyance : Aujourd’hui, on parle de 7 millions de personnes vivant dans la précarité, ces groupes sont agrégés à des systèmes religieux, d’autres sont des passes muraux, ou encore n’ont aucunes croyances, ils sortent de leurs systèmes ancestraux et traditionnels pour aller vers le néant. Dans les sans groupes, il croit en la solidarité de leur groupe. Il croit qu’en leur propre relation, l’autre l’ayant abandonné, ils sont très pragmatique –croyance du jour. -La culture : Il ne s’agit pas de la culture urbaine, anciennement des banlieues, sous culture (Argots/Graff/Slam) crée dans les milieux de la pauvreté. Aujourd’hui Récupérer, les producteurs ont été désappropriés, celui qui n’est pas dans ce mouvement urbain est en marge, même phénomène que le Jazz – culture branchée, aujourd’hui, c’est une culture d’Elite.
Catégorie: Etude psycho-pédagogique Educateur spécialisé
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Projet d’atelier : Autour de la voix et des rythmes

A l’origine de ce projet se trouve le constat suivant : l’enfant est d’abord un être qui entre en relation avec les personnes et les objets par l’intermédiaire d’actes essentiellement créatifs. Appuyant ma démarche sur cette notion essentielle, j’ai voulu offrir aux enfants de la C.L.I.S. un espace et un lieu qui favorisent l’expression de cette créativité commune à tout être humain, qu’il souffre ou pas d’un handicap. La démarche créatrice ne cherche pas à rétablir une norme, à transformer l’individu ou à signaler une trajectoire allant d’un point à un autre et qu’il faut respecter. La réussite vient à en perdre son caractère obligatoire. En ce sens, l’activité créatrice est un espace de liberté qui permet la reconnaissance de soi et de l’autre pour ce qu’ils sont.

La résilience
Dans le cadre de ma formation, il m’a été demandé de travailler sur un concept. Notre groupe a beaucoup réfléchi sur la question du stigmate, du traumatisme et de ses conséquences ainsi que de l’exclusion. La question de la résilience s’est ensuite posée à savoir si cela n’était qu’un concept ou si une personne traumatisée pouvait devenir résiliente. Il nous a été très difficile de définir ce mot. Et finalement beaucoup connaissait ce concept mais peu arrivaient à le décrire réellement. De plus, depuis plusieurs années, j’entends parler de résilience et c’est un concept qui me questionne beaucoup. J’ai voulu en faisant cet écrit réussir à définir la résilience et à y mettre mes propres mots. Je voulais aussi comprendre comment ce concept est arrivé dans les discours psychologiques alors qu’il ne s’agissait auparavant que de métallurgie.
Violences sexuelles et pédophilie

CONCLUSION. Si le corps n'est pas respecté, il s'insurge et lutte pour rester seul maître à bord. L'élévation vers la sagesse, le désintéressement et l'oubli de soi-même peuvent constituer un idéal louable. C'est souvent la méthode employée, le mépris de la vraie structure du psychique humain qui est en question. Enfermement à vie ? Peines de mort ? Libérations avec l'innocente illusion de la thérapie ? Vu son d'infantilisme, il oublie vite la prison, une fois sortie. Son irréalisme aura vite fait de le ramener à ses rêves criminels. Il est évident qu'il faut s'occuper des enfants et que ceux qui les maltraitent doivent être poursuivis et condamnés. Mais en être à ce point obsédé prouve que nous doutons d'y parvenir. Une éducation plus saine, plus libre, plus vrai, moins angélique, diminuerait grandement le nombre et la gravité de toutes sortes de déviances dont bien sûr, la pédophilie. A l'opposé des thèses les plus extrémistes, tout optimisme autour de la guérison ne doit pas contribuer à la nouvelle mystification que la médecine et la science sont capable aujourd'hui de prévenir, et les crimes, et les récidives. Marie-France Botte militante belge de la lutte contre les sectes et la pédophilie intervenait en faveur ‹‹ d'une politique relative à l'égard des agresseurs ›› traduit par une ‹‹ obligation de prise en charge médicale et pluridisciplinaire pour les délinquants sexuels en milieu carcéral. ›› L'obligation de prise en charge médicale conduit à une nouvelle pression des milieux politiques et de l'opinion publique sur les thérapeutes et exclut toute la dimension individuelle, personnelle et volontaire de la démarche du sujet. Comment concevoir la psychothérapie comme une peine, alors que son principe premier suppose l'adhésion ? Comment, transformé le détenu en patient ? C'est bien toute l'ambiguïté du projet risquant de suggérer que ‹‹ la médecine ou les techniques psychothérapeutiques sont à même de contrôler les récidives ››, instituant la science en panacée de la violence. Souvenons-nous du film de Stanley Kubrick, " Orange mécanique ", le monument à la mémoire de la dérive possible de toute société civilisée qui se doit, en vertu de son histoire, de punir les crimes dans le respect d'une étique humaine et morale et de stopper une escalade de violence qui ne différencie plus le juge du condamné, le bien du mal. La résistance comme l'ont témoigné les femmes algériennes réside parfois dans le principe de permanence de la vie quotidienne. Il peut rendre plus fort, plus solidaire et plus efficace pour lutter contre le traumatisme et les appétences de mort

Analyse d’une situation éducative

La situation que j’ai retenue émane en effet d’un appel téléphonique d’une éducatrice travaillant dans une association d’accueil de jour pour personnes sans domicile fixe, en difficulté et/ou en situation de précarité. Basée dans l’Est des PO, dans une région qui regroupe une importante population de marginaux, cette association ne pratique qu’un hébergement de fortune, avec une capacité d’accueil très réduite ( trois lits ). Elle ne peut, ce 8 avril 1997, répondre à la demande de protection et d’hébergement d’une jeune femme de 26 ans violentée par son compagnon.

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