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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

DPP en IME : La référence / non référence.

DPP en IME : La référence / non référence. Ayant bénéficié de l’allègement de formation, j’ai choisi d’effectuer ce 1er stage au sein de cet établissement car il s’inscrit dans la suite logique de mon parcours. Ayant déjà travaillé dans le secteur de la protection de l’enfance et du handicap, j’ai pu me rendre compte que le second était celui qui me correspondait le mieux. En effet, mon implication personnelle dans la prise en charge de ce public était beaucoup plus naturelle au sein du quotidien. De plus, mon projet professionnel de départ était d’être professeur d’EPS pour personnes sourdes et muettes. Ce choix venant du fait que mon attrait pour la langue des signes française n’ait été que grandissant, suite à diverses rencontres. Ce terrain de stage me permet donc à lui seul de répondre à toutes mes attentes. A travers ce dossier, je vais donc présenter la structure dans laquelle j’ai fait mon stage ainsi que le public accueilli. Dans un second temps, j’analyserai les pratiques éducatives puis ma place et fonction de stagiaire. Je présenterai, ensuite, un accompagnement éducatif puis je développerai un thème professionnel, à savoir celui de la référence/non référence.

Ce stage m’a permis de m’approprier un mode de communication autre que la parole. J’ai également pu façonner, affiner ma posture professionnelle au cours de ce stage, les résultats ayant été positifs, mes positions n’ont fait que se conforter. J’ai également pu réellement mettre à profit le travail en équipe, de part l’organisation de mon unité mais également du fait de la présence de nombreux paramédicaux. J’ai pu constater que celui-ci pouvait être simple comme compliqué et que la communication était le maître mot d’un bon fonctionnement.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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De l’informel dans la « structure »
Ce travail de recherche sur un objet du quotidien s’inscrit dans le processus de réflexion engagé par le séminaire sur le quotidien qui nous a été dispensé en première année de formation. Nous avons été invités à nous intéresser aux interrogations que pouvait soulever un objet, un temps, un espace familier à notre pratique professionnelle. Dans un premier temps je présenterai succinctement l’établissement dans lequel j’ai effectué mon premier stage de découverte ainsi ce qu’évoque le quotidien pour moi et expliquer le choix de mon objet.
Journal d’Étude Clinique dans un ITEP
Environ un mois après mon arrivé sur ce service, un nouvel éducateur à été embauché au sein de l’équipe éducative. Les premières semaines de travail avec cet éducateurs ont étés compliqués pour l’équipe éducative ainsi que pour les usagers. En effet, il ne participait pas activement a la dynamique au sein de l’équipe éducative, était autoritaire avec les jeunes et construisait des projets ou lui seul intervenait auprès des usagers. L’équipe à pu observer des attitudes ou des mots inadaptés de cette personne envers les jeunes ainsi que l’équipe et en à informer la chef de service. Malgré cela, la chef de service ne se rendait pas compte de l’importance de ce qui se jouait pour les jeunes accueillis au sein de la structure.
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

Du modelage, ou l'Esprit, ce géant aux pieds d'argile.

Le travail de l'argile est reconnu par beaucoup d'historiens comme étant le premier des artisanats. Les peintures rupestres et autres vestiges préhistoriques constituent assurément un patrimoine unique; c'est sur les parois des grottes que l'on peut admirer le premier usage de l'argile. Les sédiments argileux du sol ont d'abord été utilisés pour dessiner des bas-reliefs, les figurations animales et humaines, des signes et des tracés indéterminés marquant une évolution culturelle chez l'Homme des Cavernes. Plus tard, elle servira de matière première au service de la fabrication d'ustensiles de cuisine ou de transport de denrées, puis de briques, et enfin d'objets d'art divers. Nombre d'objets sont nés ou dérivés de ce matériau; pour preuve, elle entre également dans la composition des équipements urbains, et ce depuis des siècles. Elle provient des strates naturelles du sol, et est extraite dans des chantiers pour être par la suite décantée et purifiée.

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