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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Les Pauvres dans la France du XVIIIe siècle

Les Pauvres dans la France du XVIIIe siècle Le XVIIIe siècle, contrairement aux siècles précédents, a un caractère particulier. Il est appelé «siècle des lumières ». C’est une nouvelle ère, illuminée par les lumières de la raison, de l’esprit scientifique et du respect de l’humanité. Bien que marquée par une profonde évolution de la pensée, on retrouve au milieu de toute cette agitation une catégorie sociale : le pauvre, du latin « pauper », est une personne qui ne dispose pas de ressources matérielles suffisantes à sa subsistance.

Face à la présence inconditionnelle de la pauvreté, l’image du XVIIIe siècle en pleine expansion n’était que caricaturale, la crise de subsistance, malgré les progrès scientifiques et techniques, continue à frapper les couches les plus fragiles du royaume. Malgré l’inoculation et les premiers progrès de la médecine et de l’hygiène, on meurt parce qu’on ne peut pas résister à la fièvre, on meurt surtout d’épuisement et de nourriture insuffisante. On meurt parce qu’on ne peut ni financièrement et ni mentalement acheter sa guérison. Les progrès démographiques et économiques n’ont pas suffit, la récession agricole et industrielle s’est retournée contre la population elle-même et c’est encore le pauvre qui en pâti.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

L’entrée en relation avec l’Autre, différent de Soi.
« Dans son discours, l’éducateur éprouve beaucoup de mal à désigner la personne accompagnée dans une relation éducative ou de soin. Tour à tour, il utilise les termes de « clients », d’»usagers », de « résidants », d’ »handicapés »… En réalité cette pléthore de mots traduit le malaise que constitue la rencontre avec l’Autre, c’est à dire avec la différence. Au commencement de la relation éducative est l’Autre, l’éduqué, et non pas Soi, l’éducateur ; au commencement est ce presque rien et pourtant déjà tout qu’est l’individu en souffrance. L’Autre est le point d’ancrage à la relation ; il est la référence en tant que différence. » P. Gaberan. L’entrée en relation avec autrui peut paraître banale, mais lorsque l’on y réfléchit, cela ne représente pas qu’une simple interaction entre deux personnes, mais englobe bien une multitude de façon de penser et d’agir.

Ici, sera traitée la question de l’entrée dans la relation éducative, avec l’Autre, différent de soi. Nous verrons de quelle(s) manière(s) l’éducateur peut entrer en relation avec cet Autre qu’il accompagne et quels sont les enjeux pour chacun des protagonistes de cette relation ? Tout d’abord, il me semble important de définir les termes principaux de ce sujet : Comme il est indiqué dans la citation de Gaberan ci-dessus, l’Autre est « le point d’ancrage » de la relation. Mais qu’entend-t-on par ce mot ? En suivant toujours les idées de Gaberan, l’Autre est « un être réel, incarné par la chair et hanté par une histoire » il est composé d’orifices et « prend figure dans l’existence que si celui qui l’envisage a lui-même un visage » c’est à dire, que l’Autre est ainsi un être humain, et qu’il ne peut exister uniquement grâce aux relations sociales, car c’est un autre être humain, de part la parole, les gestes et le regard qu’il va poser sur lui, qui le fera exister.
La parole face à la violence
Pour définir le terme violence j’ai retenu les définitions de J. BERGERET et H. GARAT parce qu’elles ont été révélatrices pour moi. Auparavant, je prenais la violence comme souvent gratuite, en réponse à une provocation ou pour se confronter à l’autre. Aujourd’hui je me rends compte qu’elle a un sens, une symbolique, peut être en lien avec une souffrance, une difficulté d’expression verbale… C’est pourquoi je pense que la violence verbale et physique des jeunes en Mecs est une force de vie qui s’exprime en réponse au cadre que l’éducateur tente de mettre en place et qui représente une menace pour le jeune. La parole est quand à elle, non seulement un moyen de communiquer, d’échanger, mais offre également la possibilité d’exprimer et de verbaliser des ressentis, des pensées, d’expliquer des comportements. Ce qui lui donne sa valeur, c’est le sens qu’on lui donne, elle permet aux jeunes d’accéder à la symbolisation de leurs actes. Il est important que les jeunes puissent mentaliser leurs actes (violences physiques et verbales), pour réfléchir, s’interroger intérieurement, tenter de comprendre la cause de leur mal être et les conséquences de leurs comportements. La place de l’adulte est importante. L’éducateur doit instaurer des espaces de communication afin que les jeunes puissent exprimer leurs maux par des mots et surtout leurs permettre de donner du sens. Ce n’est que par le sens qu’on lui donne, que la parole a une valeur essentielle de contrôle des pulsions, de la violence, permettant ainsi l’accès à la socialisation.
La violence carcérale
Les violences en prison sont des faits suffisamment mal connus pour être régulièrement surestimés ou complètement ignorés. Indépendamment de la personne des condamnés, c'est l'institution avec ses pratiques d'exclusion qui semble devoir endosser une partie de ces faits. Toutes les études et recherches réalisées sur la violence en prison butent sur un même constat : la difficulté à aller au-delà de la face émergée de l'iceberg et la résistance de la vie carcérale à son dévoilement. Pourtant, la réglementation pénitentiaire française donne obligation de porter à la connaissance des autorités administratives et judiciaires tout « incident grave » intervenant dans les établissements. Mais elle ne définit clairement ni ce qu'est un « incident » ni à partir de quel seuil il peut être qualifié de « grave ». Le Code de procédure pénale précise néanmoins qu'il s'agit de « ce qui porte atteinte à l'ordre, à la discipline ou à la sécurité ». Comment ces faits sont-ils connus ?
Institut d'éducation motrice ( IEM)

Mission : prise en charge des enfants et adolescents qui nécessitent le recours à des moyens spécifiques par le suivi médical, l’éducation spécialisée, la formation scolaire et professionnelle et par la préparation à la vie sociale.

Cadre administratif et réglementaire : Loi 1975 annexe 24 bis et 24 ter, Loi octobre 1989, Loi 2002, Amendement Creton

Public accueilli : enfants, filles et garçons, de 3 à 20 ans ayant une déficience motrice ou pouvant être accueil en section autisme ou polyhandicap

Modalités d’accueil et de fonctionnement : L’admission des jeunes est consécutive à une notification de la Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées (CDAPH). Les enfants restent au sein de ce type de structure tout au long de leur scolarité. Il y a possibilités d’internat, de semi-internat et d’externat.

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