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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

La valorisation des potentiels

La valorisation des potentiels

INTRODUCTION …………………………………………………………………pages 1 et 2 I) Les représentations de soi .…………………………………………………...pages 3 à 12 A)Les représentations de soi. Le narcissisme. ….……………………….....pages 3 à 6 Œ Définition du narcissisme ……………………………………...…………...pages 3 et 4 ? Handicap physique et représentation de soi- L’atteinte narcissique. …...…..pages 5 et 6 B) L’image de soi comme véhicule de la relation à l’autre ……………....pages 7 à 11 Œ Le corps est l’expression de nos émotions……………………….…….…...…….page 8 ? Le corps est l'expression de notre personne toute entière………………..….pages 8 et 9 Ž Le schéma corporel ..………………………………………………..…..….pages 9 à 11 II) La relation éducative. L'importance de l'image de soi dans I’élaboration d'une relation éducative avec une personne handicapée …………..…………...pages 12 à 20 A) La relation éducative…………………………………...…………......pages 12 à 15 Œ Définition de l’action éducative….………………………………...……..pages 12 à 14 ? La situation d’éducation.…………………………………...…………....pages 14 et 15 B) L’élaboration de la relation éducative….……………………………..pages 15 à 20 Œ Les difficultés propres à l’élaboration de toute relation éducative…..……pages 16 à 18 ? Les difficultés spécifiques à l'éducateur …………………..………...……pages 19 à 20 III) Spécificité de la relation éducative avec une personne handicapée; la valorisation des potentiels. .…………………….…………………………...…………...pages 21 à 39 A) L’accompagnement au quotidien ……………………...…………......pages 22 à 29 B) Les activités spécifiques .………….………….……...………...…......pages 29 à 34 C) Un exemple concret à part : la vidéo …….…………….…………......pages 34 à 39 CONCLUSION ….…………………………………………….………...…………......page 40

Catégorie: Mémoire Educateur spécialisé
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Documents associés

Le polyhandicap : de la découverte à la qualité de vie

Aborder la problématique du polyhandicap et ce, dans le cadre d’un développement de qualité de vie peut paraitre ambitieux. En effet, il s’agit d’abord de prendre conscience de la connaissance de soi-même, de ses limites, pour aborder une relation d’aide, adéquate à la personne polyhandicapée. Ensuite, partir à la découverte de l’autre, considérer l’autre avec ses différences, ni plus, ni moins que soi-même. Voilà la base pour développer tous les outils qui sont à notre portée.

« Vous n'avez pas besoin d'être handicapé pour être différent, car nous sommes tous différents. »Là réside la finesse dans l’accompagnement  de l’éducateur : observer, prendre en considération les différents besoins, les capacités possibles et personnelles de chacun en partant des besoins individuels pour en faire un épanouissement, et développer celui-ci, si possible dans le quotidien. 

Quels sont les outils que l’éducateur spécialisé peut mettre en place afin d’améliorer la qualité de vie des personnes polyhandicapées en fonction de leurs capacités et de leurs besoins ?

L'internat pour jeunes sourds : un lieu pour s'entendre ?

C’est tout naturellement que je suis entrée en formation d’éducateur spécialisé. Mes activités d’enfant et d’adolescente, l’éducation que j’ai reçue m’y ont conduite avec évidence. Ma famille m’a transmis une ouverture d’esprit certaine et surtout une grande curiosité du monde qui nous entoure et des gens qui y vivent. De nombreux voyages et des relations multi-culturelles m’ont amenée à appréhender naturellement la différence, à l’accepter et à m’en enrichir. C’est, sans aucun doute, cet aspect de mon éducation qui m’a donné l’envie de m’orienter vers une profession sociale. Le fait d’avoir beaucoup travaillé en colonie de vacances et d’avoir eu l’occasion d’encadrer des enfants atteints de maladies ou de handicaps mentaux (dans le cadre d’une activité équestre) et, de ce fait, de côtoyer des éducateurs spécialisés, m’a fait choisir, plus particulièrement, ce métier. Avant d’entrer à l’IRTESS de Dijon, je m’étais fixé un parcours de formation.

Je souhaitais tout d’abord travailler auprès d’adultes atteints de handicap mental (pour avoir déjà côtoyé des enfants déficients mentaux, je m’interrogeais sur ce que leur proposaient les services médico-sociaux lorsqu’ils devenaient adultes). Ensuite, j’étais attirée par la communauté sourde que je connaissais déjà pour pratiquer la Langue des Signes Française (LSF) en association, depuis plusieurs années. Touchée par la problématique des enfants handicapés en général, et des sourds en particulier, ce n’est pas par hasard que je m’étais fixé comme objectif de travailler dans une institution pour jeunes sourds lors du stage long. Outre ma connaissance de leur langue et de leur communauté, je souhaitais mieux connaître le parcours de vie (et de développement) des personnes sourdes que je ne côtoyais qu’adultes.

Réflexion autour du concept d'autorité

Dans le cadre de ma licence, l'opportunité m'est offerte de traiter l'un des sujets qui depuis toujours a été pour moi source de questionnement, pour ne pas dire de mystère. En effet, la question de l'autorité, sous toutes ces formes, collective, mais également individuelle revêt à mon sens un caractère égnimatique : Pourquoi obéit-on ?

La démocratisation culturelle : une utopie inachevée

Ce mémoire traite des problématiques relatives à la démocratisation culturelle dans notre pays. Initié de longue date sous l’Ancien Régime, le protectorat des arts et des artistes est une longue tradition qui va transcender l’épisode révolutionnaire. Néanmoins, l’aspiration démocratique, dont témoigne les élites socialistes et libérales, va trouver écho progressivement pour aboutir à un engagement de l’Etat dés l’après guerre de 1945, qui ne se démentira jamais. Des pionniers artistiques, Jean VILAR ou Charles DULLIN, aux pionniers de l’appareil public, André MALRAUX ou Jeanne LAURENT, tous partent dans une croisade pour la démocratisation de la culture avec, comme instrument privilégié, la décentralisation.

Pilotée par l’Etat jusque dans les années quatre-vingt, cet élan est relayé par des dispositions significatives en direction des arts et des publics de la culture. La grande décentralisation de l’Etat à partir de 1982, va permettre, sous l’impulsion du ministre de la Culture Jack LANG, une implication plus forte des collectivités territoriales dans l’action culturelle. Mais, sensée rapprocher les centres de décisions du citoyen, cette phase de décentralisation ne porte pas ses fruits comme on put l’espérer. La crise économique, l’avènement des nouvelles technologies d’accès au savoir et la radicalisation des politiques locales, n’influent pas en faveur de l’accès à la culture pour tous. L’accroissement des inégalités et le repli identitaire n’épargnent pas la culture, qui souffre de ne pas renouveler de nouveaux publics. Toutefois, un art comme le théâtre renoue avec sa tradition d’art citoyen entre tous, et parvient à réinventer de nouvelles formes d’interpellation artistique dont les Institutions doivent désormais comprendre l’enjeu.

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