LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Etude et Projet : prévention routière auprès de jeune habitant en FJT

Etude et Projet : prévention routière auprès de jeune habitant en FJT « On perd la plupart de notre jeunesse à coup de maladresses »* La prise de risque s’accompagne de plaisirs, elle comporte des aspects positifs et une utilité : un rôle de stimulation, une aide à l’autonomie et à la constitution d’une meilleure image de soi. La perspective du plaisir, notamment sensoriel, est plus immédiatement perceptible que d’éventuelles conséquences négatives. La prise de risque au volant des jeunes est importante. En effet, les jeunes de 15 à 24 ans représentent 13% de la population, mais 27,6% des tués sur la route. Près de 40% du total des pertes en années de vies humaines dues aux accidents de la circulation concernent cette classe d’âge. Les jeunes conducteurs traduisent généralement ces risques par une vitesse excessive, le non respect du code de la route, le non port de la ceinture de sécurité… Cette tentation aux risques peut être influencée par de multiples facteurs comme le groupe de pairs, l’inexpérience, certaines substances absorbées (drogue, alcool, médicament…)

Le risque est une exposition à un danger potentiel, inhérent à une situation ou à une activité. L’évaluation des risques est le facteur déterminant de toute prise de décision. La difficulté de l’évaluation du risque est le fait que la conséquence néfaste soit incertaine. L’expérimentation de ces risques conduit les jeunes à la construction du soi et à son intégration dans son groupe de pairs. Seulement, la prise de risque étant majeure pour cette catégorie de population, surtout au niveau routier, elle constitue un enjeu gouvernemental majeur qui met tout en œuvre pour lutter contre ce fléau (renforcement de la prévention et de la répression). Au sein du Foyer de Jeunes Travailleurs, j’ai recensé de nombreux besoins parmi les différents domaines d’intervention d’une Technicienne en Economie Sociale et Familiale, comme l’alimentation, l’hygiène du logement, le budget… Cependant, le besoin prépondérant était celui d’une prévention-santé en termes de sécurité routière.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Etude et projet "la mobilité des jeunes"
Alors que le taux de chômage avoisine la barre des 10% (9.3 à 10.1 d’avril à mai 06), les jeunes de moins de 25 ans restent les plus nombreux de ce pourcentage soit 20.8% (avril 2006). Ils sont donc les plus concernés par toute la difficulté qui consiste à s’insérer professionnellement. La difficulté est encore plus grande lorsque le jeune à moins de 25 ans et qu’il est sorti tôt du système scolaire. Ainsi en 2005, d’après l’INSEE, 49.2% des femmes de moins de 25 ans et 44.4% des hommes du même age n’ayant que le brevet ou étant sans diplôme, restent sans emploi dans les 4 ans suivant leur sortie d’école. Si un jeune n’a pas trouvé sa place à l’école, il aura toutes les difficultés à la trouver dans le monde du travail et par conséquent, à la trouver dans la société en général. En cette époque où l’argent à plus que jamais sa place, l’emploi est indispensable à une insertion sociale. Or comment accéder à l’emploi si l’on est trop jeune pour avoir de l’expérience, et trop loin du système scolaire pour acquérir des connaissances ?
EP en foyer logement
En France, en 2007, l'espérance de vie (l'âge moyen que les membres d'une société devraient atteindre) est de 77,5 ans pour les hommes et 84,4 ans pour les femmes, elle a augmenté, depuis le début du siècle, de plus de 35 ans. Bien que le vieillissement soit un processus de toute une vie et que ses effets varient d'un individu à l'autre, le début de la vieillesse coïncide avec l'âge de la retraite, entre 60 et 65 ans. En France, on parle de troisième âge de 65 à 80 ans, et de quatrième âge au-delà. Ces données chiffrées n'ont qu'une valeur relative, puisque les processus du vieillissement sont étroitement liés aux conditions psychosociales de chaque individu.
Les chutes chez les personnes âgées: une entrave au retour à domicile?

Afin de maintenir la personne âgée dans son cadre de vie habituel, et de limiter les investissements coûteux en hébergement collectif, le développement des services de maintien à domicile devient l’un des objectifs principaux de la politique en faveur des personnes âgées. En effet, le nombre de plus en plus important de personnes âgées et l’augmentation de l’espérance de vie ont conduit au développement d’une politique de maintien à domicile par les services publics : ceci afin de répondre à un besoin croissant au fil des années. C’est en 1960 que cette politique prendra naissance à la suite du Rapport Laroque qui en pose les fondements. A cette époque, les foyers logements constituaient une première structure du maintien à domicile. Mais il faudra plus de 10 ans pour que cette politique soit organisée et encore 10 années pour que les actions soient coordonnées. Cette politique a pris aujourd’hui des formes très variées avec en priorité le thème de l’autonomie. C’est d’ailleurs dans cet objectif que se caractérise la politique de maintien à domicile ¤ L’information sur les aides techniques ¤ L’aide à l’amélioration de l’habitat ¤ L’aide dans le cadre de consultations médicales ¤ La réalisation de bilan de capacités. Cependant on s’aperçoit que l’une des raisons principales empêchant le maintien à domicile est en rapport avec les chutes. En effet, près d’une chute sur deux se produit au domicile. On pourrait croire que la maison est l’endroit où l’on est le plus en sécurité. Pourtant, on recense chaque année, 4 millions d’accidents de la vie courante, et les chutes et chocs représentent à eux seuls plus de 3 accidents domestiques sur 4. Dans ces cas là, comment permettre à la personne âgée de retourner chez elle et de s’y maintenir dans les meilleures conditions de sécurité possibles ? En effet, les trois causes principales de chutes sont : des causes matérielles liées à l’habitat, des causes médicales et des causes sociales. Il apparaît donc que la conception et l’aménagement du logement peuvent être décisifs pour la sécurité des habitants. Ces chutes chez la personne âgée sont souvent associées à des mécanismes liés au vieillissement dont je parlerai dans la partie I : Les personnes âgées et le vieillissement puis dans la partie II : Les chutes, une conséquence du vieillissement ? Après avoir obtenu des données théoriques sur les chutes et le vieillissement, j’ai voulu rencontrer des professionnels du maintien à domicile pour connaître leur position par rapport à ce problème mais aussi pour qu’ils me guident dans mon travail de recherche. C’est la partie III : Recueil de données. Afin de me rendre compte du problème des chutes et de l’aménagement de l’habitat pour le retour et le maintien à domicile, j’ai réalisé un travail de terrain en mobilisant les connaissances théoriques que j’ai pu acquérir. J’ai développé mon analyse dans la partie IV : Le vécu et les conséquences de la chute. Suite à mes recherches documentaires, à mes entretiens avec les professionnels, et à mon étude de terrain, je me suis aperçue que la plupart des chutes étaient dues à l’environnement même de la personne âgée. Afin de favoriser leur maintien à domicile, des aménagements peuvent être réalisés dans leur lieu de vie en guise de prévention des chutes, mais aussi pour permettre un retour à domicile après une hospitalisation. Il existe aussi beaucoup de mesures en faveur du retour et du maintien à domicile. C’est ce que j’aborderai dans la partie V : Les solutions existantes pour favoriser le retour et le maintien à domicile. Une fois la partie étude terminée, j’ai commencé à mettre en place mon projet. Pour cela, il m’a fallu faire une analyse de la situation dans laquelle je me trouvais puis, à partir de cette situation, j’ai mis en place le moyen d’intervention qui répondait au mieux aux besoins et aux caractéristiques de la population.

Le tabac pendant la grossesse = tolérance zéro
Le tabac est l’un des toxiques le plus présent dans notre société, responsables de 60 600 décès en 2000 et consommé par 27 % des femmes selon l’INPES. Malgré des législations entrées en vigueur telles que la loi Evin (10 janvier 1991) qui pose clairement le principe de l’interdiction de fumer dans les locaux à usage collectif, ou bien les phrases de mise en garde inscrites sur les paquets de tabac, on comptait environ 13 millions de fumeurs en 2006 (mutuelle de la santé et du social).

Connexion

Conseiller en économie sociale et familiale

Abonnement

Recherche