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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Réorganisation d'une salle d'animation dans un EHPAD

Réorganisation d'une salle d'animation dans un EHPAD La part des personnes âgées augmente de façon significative depuis vingt ans1. La tendance ne cesse de se confirmer. Les projections démographiques publiées par l’INSEE2 en 2001 dessinent une évolution importante du nombre des personnes âgées pour les quarante années à venir. Ces tendances démographiques découlent de deux facteurs principaux : la baisse de la fécondité et la baisse de la mortalité des personnes les plus âgées (augmentation de l’espérance de vie).

Permettre la participation des résidents aux animations proposées par les animatrices de la maison de retraite, et ainsi leur apporter tous les bienfaits de ces activités dans le combat contre la perte d’autonomie, du repli sur soi, de la solitude et de la rupture des liens sociaux allant de paire avec la vieillesse. Il faut donc pour cela: - L’adapter au public - Le rendre attractif pour favoriser la participation aux animations - Mettre en place le mobilier, et des matériaux adaptés à l’environnement - Elaborer une signalisation pour pallier à la perte de repères des personnes âgées.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
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L'électricité, un produit de première nécessité
L’énergie est devenue un enjeu majeur dans nos sociétés. La plupart des énergies utilisées ne sont pas renouvelables (90% en France). Les ressources s’épuisent. Comme tous ce qui devient rare, le prix augmente. Or, l’électricité est la seule énergie capable de répondre à tous les besoins d’un logement. Besoin de confort (chauffage, éclairage), besoin de s’alimenter (conservation, cuisson, vaisselle) et besoin d’hygiène (de l’individu et des locaux). En tant qu’étudiante en Economie Sociale Familiale, j’ai été sensibilisé à ce problème. Je me suis donc demandée comment les personnes à faibles ressources pouvaient faire face à ces dépenses qui augmentent de façon importante. J’ai donc cherché à savoir quelle population a le plus de difficultés à honorer ses factures d’électricité. Le CCAS de Quimper gère un parc de logements destinés à un public en difficulté. C’est pourquoi j’ai rencontré la responsable du service logement du CCAS de Quimper. Elle m’a confirmé qu’il y avait un problème lié à l’électricité chez les locataires. En effet, beaucoup d’usagers se plaignent de factures d’électricité importantes par rapport à leurs revenus, à leurs appareils. Or les locataires du parc CCAS sont des personnes à faibles ressources. Ces factures grèvent leur budget. C’est un réel problème économique pour eux.
La securité alimentaire des personnes agées en collectivité
Dans les pays industrialisés, la sécurité alimentaire est considérée comme un thème prioritaire par les instances politiques et décisionnelles, pour des raisons sanitaires et économiques. Dans de nombreux pays, dont la France, des moyens importants sont mis en œuvre pour la surveillance, la prévention et le contrôle des maladies d’origine alimentaire. Les systèmes de surveillance permettent de suivre les tendances évolutives de ces maladies et de détecter les épidémies mais ils ne permettent pas de connaître le nombre total de personnes malades et le poids réel de ces maladies reste donc mal connu.
Le tabac pendant la grossesse = tolérance zéro
Le tabac est l’un des toxiques le plus présent dans notre société, responsables de 60 600 décès en 2000 et consommé par 27 % des femmes selon l’INPES. Malgré des législations entrées en vigueur telles que la loi Evin (10 janvier 1991) qui pose clairement le principe de l’interdiction de fumer dans les locaux à usage collectif, ou bien les phrases de mise en garde inscrites sur les paquets de tabac, on comptait environ 13 millions de fumeurs en 2006 (mutuelle de la santé et du social).
Etude et Projet : prévention routière auprès de jeune habitant en FJT
« On perd la plupart de notre jeunesse à coup de maladresses »* La prise de risque s’accompagne de plaisirs, elle comporte des aspects positifs et une utilité : un rôle de stimulation, une aide à l’autonomie et à la constitution d’une meilleure image de soi. La perspective du plaisir, notamment sensoriel, est plus immédiatement perceptible que d’éventuelles conséquences négatives. La prise de risque au volant des jeunes est importante. En effet, les jeunes de 15 à 24 ans représentent 13% de la population, mais 27,6% des tués sur la route. Près de 40% du total des pertes en années de vies humaines dues aux accidents de la circulation concernent cette classe d’âge. Les jeunes conducteurs traduisent généralement ces risques par une vitesse excessive, le non respect du code de la route, le non port de la ceinture de sécurité… Cette tentation aux risques peut être influencée par de multiples facteurs comme le groupe de pairs, l’inexpérience, certaines substances absorbées (drogue, alcool, médicament…)

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