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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

BEATEP: option : 'Animateur de quartier, pour la promotion sociale et culturelle '.

BEATEP: option :  'Animateur de quartier, pour la promotion sociale et culturelle '. Le bilan de cette année de formation est dans son ensemble très positif. Le plus important sans doute a été la valorisation de mon activité. A travers l'effort de professionnalisation du secteur animation, je trouve une réelle reconnaissance de mon métier, dans un domaine où des gens riches d'années d'expériences ont pourtant parfois du mal à se situer, à qualifier leur activité professionnelle. Cette entrée en formation m'a aussi donné envie de poursuivre dans cette voie pour obtenir finalement plus de compétences dans le but de prétendre à des postes plus qualifiés, plus valorisants, pouvoir faire profiter de mes expériences, accéder moi aussi à une certaine promotion sociale et culturelle, dans une activité professionnelle qui me convient parfaitement, et dans laquelle je ne cesse de m'épanouir.
Catégorie: Livret V.A.E. Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

Rapport de stage AVS dans un EHPAD
Toute la durée de mon stage s'est effectuée au 3è étage de la maison de retraite. Une semaine sur 2, j'ai travaillé le matin . Ma tutrice était cadre de santé et j'ai intégré l'équipe des aides-soignantes, Parmi les résidents, il y avait des personnes autonomes et assez jeunes (65 ans), des personnes diabétiques à mobilité réduite, marchant avec un déambulateur ou en fauteuil roulant et des personnes « Alzheimer ». Nous nous occupions des levers, toilettes, habillages, service du repas le midi et vaisselle. L'après-midi nous rempotions le chariot pour l'équipe du lendemain, nous préparions le goûter, nous répondons aux besoins des résidents (changes, rangements vêtements, transferts, manutention) puis service repas et coucher. A la fin de chaque journée de travail nous faisions les transmissions.
Les besoins des personnes âgées
Compte tenu de l’évolution démographique, les problèmes liés à la population vieillissante deviennent une préoccupation majeure des prochaines années. Le nombre de personnes de plus de soixante ans s’élève aujourd’hui à 10.3 millions en France . Plus particulièrement, en 2006, 313 037 personnes étaient âgées de 60 ans et plus en Bourgogne . Elles représentent 19.3% de la population totale. En 2015, la Bourgogne devrait compter plus de 400 000 personnes âgées de 60 ans et plus.
La réinsertion professionnelle des travailleurs handicapés
Les attentes de l’entreprise au regard de la population de travailleurs handicapés psychiques sont la performance et leur capacité à entretenir un relationnel adapté. Il est évident que ces personnes risquent de se trouver en difficulté face à ces exigences mais la possibilité donnée aux ESAT de proposer des mises à disposition peut permettre une adaptation progressive. Le détachement en entreprise des travailleurs handicapés est un moyen qui permet de faire évoluer positivement les représentations de l’entreprise sur le milieu protégé et également sur le handicap psychique. La fonction d’un chargé d’insertion dans les ESAT est une fonction en voie de développement, du moins sous cet intitulé et avec cette mission. Nous sommes loin de constituer une population homogène, chaque structure fait selon ses moyens et son projet d’établissement, même si les lois de 2001, instituant un projet individualisé pour chaque usager, et de 2005, pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées, ont réaffirmé la vocation médico-sociale et favoriser les passerelles entre le travail protégé et le milieu ordinaire. Privilégier l’insertion suppose une démarche particulière qui complète le travail déjà réalisé en ESAT. En faire une spécificité, c’est une façon de rappeler que l’insertion ne se décrète pas, mais qu’elle s’organise, et doit se faire avec des moyens et le concours des personnes concernées. Les actions de certains établissements du milieu protégé apportent la preuve que l’insertion des travailleurs en situation de handicap psychique est possible. Il existe néanmoins une autre alternative à la réinsertion que le milieu ordinaire ou le milieu protégé, celle du soutien individualisé au travail (IPS, Individual Placement and Support) qui a été développé dans le monde anglo-saxon. Bien qu’il ait largement fait les preuves de son efficacité, supérieur aux autres pratiques, en termes de réinsertion professionnelle durable, il reste très méconnu en France. Alors que nos modèles classiques inversent le principe, c'est-à-dire qu’il s’agit d’insérer au plus vite en milieu ordinaire de travail les personnes, sans étapes préparatoires qui ne font que différer le retour au travail en milieu ordinaire. L’originalité de cette pratique repose sur l’importance donnée au soutien dans le travail. Ce soutien est apporté par un job-coach qui est défini comme un formateur et reste un intervenant externe à l’entreprise. Cependant, le soutien dans l’emploi n’est pas la solution à tous les problèmes d’insertion professionnelle. Il est nécessaire de s’appuyer sur d’autres offres de services afin d’analyser les besoins et faire un travail d’orientation car certains métiers s’apprennent. Ainsi le travail en réseau avec les partenaires sociaux est essentiel pour la complémentarité des actions.
Rapport de stage dans une communauté urbaine
Les médiateurs participent au renforcement de la présence humaine sur les quartiers en assurant une première prise de contact avec le public des cités. Les premières rencontres se font en général lors des « maraudes » faites sur les quartiers. L’équipe de médiation rencontre les jeunes qui sont en groupe et qui occupent l’espace public et/ou les halls d’immeuble. Les médiateurs doivent favoriser chez les jeunes, à travers le groupe, le développement de leurs capacités à progresser vers l’autonomie, la citoyenneté et le « bien vivre ensemble ». En travaillant avec le groupe, une relation de confiance va se développer entre les jeunes et les médiateurs. Les médiateurs, en étant proches des jeunes et en ayant instauré un lien de confiance favorisent des dialogues qui s'installent afin de les diriger de nouveau dans le système scolaire ou vers une formation. Le plus souvent, ils ne veulent pas retourner sur "les bancs de l'école" en mettant en avant que l'école n'est pas adaptée pour eux ou qu'ils en ont été exclus. Ce qu'ils souhaitent avant tout, c'est trouver du travail afin de gagner de l'argent pour sortir de la "Galère". C'est à ce moment là, au moment où les jeunes expriment leurs envies que les médiateurs apprécient le processus de réflexion et qu'ils doivent mettre en place les conditions vers une reprise de lien entre les jeunes et les institutions. Le manque de confiance en eux et le manque d'estime deviennent un frein à leur intégration. Les médiateurs commencent toujours par un accompagnement, pour emmener les jeunes vers l'autonomie. Le premiers pas vers certaines institutions reste compliqués mais à force de pugnacité, les jeunes s'accrochent et réussissent certaines fois à s'en sortir. L'immédiateté, "le tout, tout de suite" est une des caractéristiques de ce public qui est en marge. Les médiateurs sont certaines fois une passerelle incontournable vers l'accès aux droits communs (Pôle emploi ou la mission locale, etc.).

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