Conseiller en économie sociale et familiale
Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.
Dossier : Le suicide chez les jeunes
Pourquoi des jeunes qui ont toute la vie devant eux sont-ils si désespérés au point de mettre fin à leurs jours ?
Il existe des événements ou des éléments importants qu’on rencontre en nombre plus important chez les suicidaires, ce sont les facteurs de risques.
Les éléments ne sont pas sur le même plan : certains concernent la personne au moment où on la voit, d’autres sont plutôt reliés à son passé, d’autres encore à son environnement.
Les facteurs de risques sont dits primaires quand on ne peut pas agir sur eux et qu’ils ont une valeur d’alerte (maladies mentales), secondaires si on ne peut agir que faiblement sur eux et qu’ils ont une faible valeur prédictive (adoption, maltraitance), tertiaires quand on ne peut pas agir sur eux et qu’ils n’ont aucune valeur prédictive (le sexe, l’âge).
Dans le cas le plus fréquent, les idées suicidaires apparaissent progressivement, au fur et à mesure des difficultés perçues comme insupportables. Le suicide est le moyen le plus sûre et rapide pour échapper à des souffrances, à un tourment devenu intolérable. L’idée de vouloir se supprimer est grave, le fait d’essayer de le faire l’est encore plus. Les facteurs de risques sont importants à savoir car les moyens de prévention sont peu développés, pourtant le suicide est très important. En connaissant ces facteurs et les états par lesquels le suicidaire passe, vous pouvez intervenir et aider une personne à se remettre sur le droit chemin.
| Catégorie: | Travaux U.F. Conseiller en économie sociale et familiale |
| Type de fichier: | application/pdf |
| Historique du document: | 0 |
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ISAP dans un CCAS
Comment accompagner une personne âgée en perte d’autonomie, qui a toujours été l’aidant de son enfant handicapé, à lâcher prise et à accepter un placement en institution de ce dernier ?
En effet, le travailleur social ne doit pas se contenter de proposer des réponses expresses aux demandes de la personne. Il doit permettre à celle-ci, d’acquérir une certaine compréhension, prise de conscience, afin d’accéder à une réelle stabilisation de sa situation. Cette démarche peut s’avérer difficile pour l’usager qui va devoir réaliser certains aspects de sa personnalité moins valorisante. Cela peut être parfois le reflet de difficultés parfois plus complexes.
En effet, le travailleur social ne doit pas se contenter de proposer des réponses expresses aux demandes de la personne. Il doit permettre à celle-ci, d’acquérir une certaine compréhension, prise de conscience, afin d’accéder à une réelle stabilisation de sa situation. Cette démarche peut s’avérer difficile pour l’usager qui va devoir réaliser certains aspects de sa personnalité moins valorisante. Cela peut être parfois le reflet de difficultés parfois plus complexes.
ISIC : La place de la négociation au sein d’un partenariat
Durant cette ISIC, j’ai été force de proposition dans la construction de réponses institutionnelles dans tous les domaines de la vie quotidienne et l’entretien peut tout aussi bien se trouver dans le domaine du logement que dans celui de l’hygiène.
De manière indirecte cela a aussi touché le domaine du budget car au-delà de l’entretien, il me semblait important d’adapter mon action aux ressources des habitants. Même si j’étais porteuse du projet, j’ai veillé à rester ouvert. Le travail d’équipe est essentiel car il empêche le favoritisme au profit de la création d’une autorité commune.
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Ce dossier d’information est composé de deux parties, la première comporte des informations scientifiques et techniques concernant la Santé reproductive et indique les différents interlocuteurs à qui il est possible de s’adresser pour un complément d’information.
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Accompagnement individuel d’une famille en difficultés financières
Toutes ces attentions, font partie du premier contact avec la personne accompagnée qui va lui permettre à elle aussi de ne pas se sentir jugée mais de se sentir aider. Je l’invite à entrer dans mon bureau et lui tend la main pour lui dire bonjour. Par ce geste d’accueil, je reconnais la personne en difficulté comme individu à part entière et pas seulement un dossier.
Je lui propose ensuite de s’assoir et avant de commencer, je vais m’assoir de l’autre côté du bureau afin de me retrouver à la même hauteur que madame. Je ne souhaite pas me mettre en position supérieur par rapport à madame. Je suis accompagnante et non « sauveur ». C’est pourquoi, je commence mon entretien en lui demandant : « Qu’est ce que je peux faire pour vous ? ». Je centre mon entretien sur les solutions et non l’ensemble des problèmes afin de rassurer et la mettre en confiance.
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