LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Autre

La dynamique des groupes :Roger Mucchielli

La dynamique des groupes :Roger Mucchielli R.Mucchielli définit le groupe primaire comme un groupe limité par le nombre, où chaque personne connaît toutes les autres et partage des buts communs. Ce groupe suppose une « unité » psychologique spécifique défini par « nous » solidarisant les membres en fonction de l’environnement naturel ou social. Par opposition, on retrouve les groupes secondaires, appelés des organisations, dans lesquels les relations sont indirectes et la communication passe par un intermédiaire.

Cela permet à certaines personnes plus ou moins inhibées de prendre conscience qu’elles peuvent donner leurs avis et participer un peu plus. Donc d’un point de vue personnel, ces changements permettent de prendre conscience de ses propres sentiments et réactions, mais aussi de ceux des autres, de changer d’attitude envers soi-même et envers les autres et le groupe, et d’acquérir un savoir faire dans le maniement des relations humaines pour établir des relations plus efficaces. Pour utiliser au mieux la dynamique de groupe, l’animateur devra toujours avoir une idée claire du type de réunion à conduire, faire progresser le groupe vers sa maturité en l’aidant à traverser les étapes de son évolution et à régler les problèmes rencontrés.
Catégorie: Fiche de lecture
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Ce que parler veut dire de Pierre BOURDIEU
Pierre Bourdieu constate l’insuffisance du modèle linguistique proposé par de Saussure, en tant que code à la fois législatif et communicatif qui existe et subsiste en dehors de ses utilisateurs (« sujets parlants ») et de ses utilisations (« parole »), tout comme l’incomplétude du modèle proposé par Noam Chomsky en tant que compétence liée aux dispositions génératrices ; ni l’un ni l’autre ne peuvent en effet rendre compte de la langue comme réalité sociale tant qu’ils n’envisagent pas ses conditions sociales de production, de reproduction et d’utilisation.
Lettre au père : F. Kafka
Cette lettre est bien plus qu’une lettre puisqu’elle tient à peu près sur 73 pages (en allemand comme en français) et qu’elle a une valeur littéraire, à la fois parce que son auteur est un écrivain et parce qu’elle a un véritable contenu sociologique et philosophique. Cette lettre est un long monologue où F. Kafka expose ses sentiments à son père, sentiments qu’il ne peut garder pour lui, mais qu’il ne parviendra pas pour autant à lui dire.
S.BEAUD, M.PIALOUX : « Violences urbaines, violences sociales, genèse des nouvelles classes dangereuses »
Le point de départ du livre est la suite d’émeutes qui a eu lieu à Montbéliard, ville industrielle de Franche-Comté, à la suite d’interpellations de jeunes en juillet 2000. Les émeutes, selon Stéphane BEAUD et Michel PIALOUX, ne sont que le symptôme d’une lente et longue dégradation des conditions de vie des habitants du quartier de la Petite Hollande, classé zone urbaine prioritaire dans le cadre de la politique de la ville. L’originalité de cet ouvrage tient en ce que les auteurs expliquent les émeutes d’un point de vue sociologique mais aussi économique, en prenant notamment appui sur les transformations des conditions de travail et d’emploi dans la région. Cet angle d’approche a déjà été mis en évidence dans un ouvrage précédent des mêmes auteurs « Retour sur la condition ouvrière » - déjà situé à Montbéliard….
Les usages sociaux des handicaps : GOFFMAN
< /u>Stigmate vient de stigma en grec qui signifie marque physique d'infamie. Les conceptualisations récentes sont assez éloignées de cette définition, et l'un des objets de ce livre est de recenser les différentes acceptions sociologiques de ce terme. Lors de nos rencontres routinières, nous avons tendance à répartir les individus en catégories. Mais celles-ci ne sont pas données de prime abord, et lors d'une première entrevue avec un inconnu c'est plutôt l'identité sociale apparente qui structure nos interactions (une identité sociale d'abord virtuelle, puis réelle). < br>< br>< u>

Connexion

Abonnement

Recherche