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La réinsertion sociale et professionnelle après une vie carcérale

La réinsertion sociale et professionnelle après une vie carcérale La réinsertion suppose l’idée de « réinsérer, réintroduire à nouveau quelqu’un dans la société ou dans un groupe afin de reprendre une vie dite normale ». Dans notre actualité, de nombreux sujets portent sur cette vie carcérale et notamment les conditions d’incarcération, l’effectif et la surpopulation des prisons, la réinsertion après une vie carcérale…

Malgré l’ensemble de ces aides et cette solidarité, des facteurs défavorables à la réinsertion subsistent vouant cette dernière à l’échec. Des organismes tels que « l’observatoire national de prison » et « le conseil économique et social » ont constaté ces facteurs d’échec de la réinsertion (des conditions de vie carcérale dégradantes, des inégalités dans le système pénitentiaire, la surpopulation carcérale…) entraînant un taux de récidive et un taux de suicide alarmant.
Catégorie: Rapport de stage
Type de fichier: application/pdf
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Tout au long de sa vie individu, peut avoir accès à la formation dans le cadre de l'éducation permanente. Issue du mouvement d'éducation populaire, le terme d' «éducation permanente» apparaît pour la première fois à la fin des années 1950, dans un contexte où se manifeste une demande croissante de loisirs, de culture et de formation. Les initiatives se multiplient, notamment sous l'influence de B. Schwartz, P. Legrand, J. Dumazedier. Elle cherche à favoriser la participation sociale et l'auto formation à tous les âges de la vie. Elle est mise en oeuvre par toutes sortes d'institutions sociales: associations, entreprises, syndicats... qui complètent l'action de l'école par divers moyens.
Rapport de stage en centre d 'hébergement pour personnes âgées dépendantes

Mes appréhensions étaient plutôt liées, à mon manque d'expérience quant à la prise en charge d'un public âgé, à des représentations inconscientes liées à la vieillesse, par extension à la mort, à la maladie, à la dépendance, à la folie et à l'enfermement, je n 'avais du reste qu'une vague approximation en ce qui concerne la pathologie de la maladie d 'Alzheimer, si ce n 'est l 'idée que je m'en faisais. J 'ai eu la chance d 'être aux cotés d'une aide soignante qualifiée et passionnée qui travaille dans l 'équipe et avec qui j 'ai pu partagé des moments clefs d 'accompagnements, elle me permettra de comprendre la difficulté de cette maladie, notamment le fait qu'elle puisse présenter de l'agressivité, voir de la violence et de l 'opposition ce dont je n'avais absolument pas conscience auparavant et que j 'ai rapidement pu constater.

les CCAS/CIAS et la décentralisation de l'aide et l'action sociale
Les Centres communaux et intercommunaux d’action sociale (CCAS/CIAS) sont des établissements publics dotés de la personnalité juridique et de l’autonomie financière. A ce titre, ils disposent d’un Conseil d’administration, dont le Maire est président de droit. Bien que relevant du Conseil municipal qui décide de les créer ou non (en vertu de ses compétences générales qui lui permettent de régler, par délibération, toutes les affaires de la commune), les CCAS/CIAS ne sont pas à proprement parler des services municipaux, mais bien des entités distinctes. Les CCAS/CIAS ont pour mission d’assurer une analyse des besoins sociaux de la population locale et d’animer une action générale de prévention et de développement social dans la commune. Les CCAS/CIAS ne sont pas nés non plus avec la création de la Sécurité sociale en 1945. Contrairement aux organismes de sécurité sociale, dont l’organisation relève du régime des assurances, et qui suppose la contribution préalable de ses adhérents à l’ouverture des droits médicaux et sociaux (maladie, chômage, vieillesse, etc.), les CCAS/CIAS relèvent du régime de l’Assistance, qui exclut toute contribution préalable des bénéficiaires, qui par définition sont privés de ressources. Autrement dit, les CCAS/CIAS sont des instances parmi d’autres, qui participent, à l’échelle communale, à la mise en œuvre du principe de solidarité nationale, lequel principe est garanti par les pouvoirs publics afin de maintenir un minimum de cohésion sociale.
Mémoire IFSI : Intérêt des soins à domicile pour une personne souffrant de psychose chronique
Au cours de mes divers stages effectués tout au long de ma formation, ainsi que de mes lectures et rencontres, j’ai pu constater qu’en santé mentale les hospitalisations se prolongeaient, se répétaient et que le retour à la vie « normale » pour ces patients semblait utopique. Il me semble que lors de ces hospitalisations, ces individus sont en perte de contact avec la réalité ; malheureusement cela génère une perte de capacité à vivre en société. Ce qui m’interroge ici est de savoir comment pallier à cette « désocialisation », sachant qu’elle peut être également partie intégrante de la pathologie. Je me place ici dans une structure extra hospitalière de soins à domicile. Ma question de départ est de savoir si le développement des soins ambulatoires ou soins à domicile en santé mentale peut pallier à la désocialisation, ou si celle-ci est déjà effective, en quoi ses soins peuvent-ils aider le patient à un retour à une vie sociale.

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