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La Formation Continue

La Formation Continue L’idée qu’une formation peut être efficace si elle est adaptée au public auquel elle s’adresse a amené les organismes de formation à modifier leurs façons de faire. Ils ont dû par ailleurs, élargir leurs compétences afin de mieux répondre aux besoins. Les transformations économiques et sociales des deux dernières décennies ont transformé, le rôle de l’Etat, des régions, partenaires sociaux, qui financent et prescrivent de plus en plus de formations. Ainsi chaque année, 600000 chômeurs et 350000 jeunes ont participé à une formation post-scolaire pour une meilleure insertion dans l’emploi.
Catégorie: Rapport de stage
Type de fichier: application/pdf
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Documents associés

PROJET de mise en place d’un site de production pour personnes présentant un handicap psychique et d’un Atelier Thérapeutique
En reconnaissant les troubles psychiques comme pouvant constituer la cause d’un handicap, la loi du 11 février 2005 ouvre aux malades mentaux stabilisés l’accès aux ESAT. Mais l’offre de services existante, développée initialement pour un public de personnes présentant une déficience intellectuelle, est inadaptée aux attentes et aux besoins des personnes handicapées psychiques. Le souhait de « normalité », revendiqué par ces personnes souffrant de troubles psychiques, nous oblige à mettre en place des activités plus proches du milieu ordinaire avec un soutien psychologique et psychiatrique. Il ressort aussi des difficultés des professionnels quant à la gestion des crises et la complexité de cet handicap pour lequel ils ne sont pas forcément formés et préparés. Cette évolution interroge tout particulièrement les professionnels sur : - le sens de leurs pratiques, - les adaptations nécessaires à mettre en œuvre.

En effet, nombre d’accompagnements semblent régulièrement être mis en échec notamment de par la complexité et la sévérité des troubles observés. De sorte qu’il est à craindre que la perception de l’usager par son environnement ne se réduise progressivement qu’à son symptôme et au statut de « mauvais objet », avec à la clé le risque d’être exclu des dispositifs d’accompagnement. Il faut donc tenter de comprendre les « fonctionnements mentaux spécifiques », car c’est de cette compréhension posée comme un préalable que peuvent se déduire les positionnements éducatifs, les démarches à entreprendre, les conduites à tenir. La difficulté actuelle la plus aiguë tient probablement à la raréfaction des psychiatres dans le champ médico-social ; peut-être aussi à la place très secondaire donnée à la psychopathologie dans la formation des acteurs médico-sociaux. Comment adapter l’accueil et l’accompagnement de personnes handicapées psychiques au sein des ESAT « Rive Gauche » et « Les Ecluses » ? L’accueil de cette nouvelle population interroge légitimement les équipes sur un certain nombre de points : - Quelles activités proposées ? - Quel plateau technique mettre en place ? Avec quel partenariat ? - Quel support éducatif, pédagogique développer ? - Quel rythme, quelle durée de travail ?
Mémoire de recherche : Le locataire face à l’impayé de loyer : de l’expulsion à l’exclusion
Depuis dix ans, le nombre de décisions de justice prononçant l’expulsion locative est en augmentation. Celles-ci étaient de 37 % fin 2012. 120 363 décisions ont été rendues dont 115 086 pour impayés de loyers. À l’heure où les phénomènes conjugués de hausse du coût du logement (loyers et surtout les charges) et de tassement ou fragilisation du pouvoir d’achat frappent fort sur les familles aux budgets serrés. Chaque année des milliers de familles sont expulsées de leur logement et doivent quitter leur logement sous la contrainte. A la fin de chaque trêve hivernale fixée au 30 mars, les médias retracent les parcours de ces personnes. L’expulsion locative est un événement traumatisant pour la famille ou l’individu qui la vit. La Loi n° 98-657 du 29 juillet 1998 d'orientation relative à la lutte contre les exclusions a introduit une nouvelle logique dans la prise en charge des expulsions, substituant une approche de sécurité publique à une logique de prévention. Mais bien avant, la Loi n° 90-449 du 31 mai 1990 visant à la mise en oeuvre du droit au logement a inscrit la problématique du logement des personnes défavorisées dans le paysage politique. « Toute personne ou famille éprouvant des difficultés particulières en raison notamment de l’inadaptation de ses ressources ou de ses conditions d’existence, a droit à une aide de la collectivité, dans des conditions fixées par la présente loi, pour accéder à un logement décent et indépendant, ou s’y maintenir. » (Article 1er) Cette loi organise un volet social des politiques du logement. Avec cette loi la question de l’expulsion locative est prise en compte pour la première fois sous l’angle des difficultés de maintien. Elle vise aussi le maintien dans les lieux et l’accès au logement par l’intermédiaire de dispositifs spécifiques et des aides financières. Il a fallu attendre 1998 pour une prise en charge au titre de la prévention, et voir apparaître les Plans Départementaux d’Actions pour le Logement des Personnes Défavorisées (PDALPD) avec un volet financier assuré par les Fonds de Solidarité Logement (FSL). Par ce dispositif, les politiques tentent d’adapter leur politique publique aux besoins et problèmes des bénéficiaires. La loi du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre les expulsions modifie dans son volet logement, la procédure des expulsions en l’inscrivant dans une logique de prévention. Cette logique permettant de trouver des solutions avant une résiliation du bail par voie judiciaire. Le logement conditionne les chances de ne pas basculer dans l’exclusion. La loi Besson de 1990 affirme dans son article 1er : « garantir le droit au logement constitue un devoir de solidarité pour l’ensemble de la nation »5. Face aux nombres de procédure d’expulsions sur le territoire du Roannais et le nombre de nonréponse aux différents courriers de mise à disposition, je me suis posée la question suivante : « Pourquoi, malgré les dispositifs d’aides et de prévention existants certaines personnes sont encore expulsées ? » Cela m’amène à d’autres questions : Quel est le parcours des personnes en impayés de loyers ? A quel moment réagissent-elles ? Pourquoi ne réagissentelles pas ? Quel est le parcours locatif/résidentiel des personnes en impayés ? Est-ce le premier impayé ? L’accompagnement social peut-il éviter l’expulsion ? Selon les statistiques du Conseil général de la Loire, les chiffres des expulsions locatives restent stables sur le département avec en moyenne 600 commandements de quitter les lieux.6 Ces chiffres restent malgré tout inquiétants.
Comment Remédier à une chute importante d’effectif ?
Il est maintenant temps de conclure ce mémoire. Je porterai l’accent sur les évolutions de la MFR qui anticipe les orientations politiques ministérielles. Lorsque l’on se penche sur les unités stratégiques de la Maison Familiale Rurale de BIAS, il est intéressant de s’intéresser au potentiel d’évolution de celle-ci. La filière 4ème – 3ème , comme nous l’avons vu, avec l’apparition des classes alternées de l’Education Nationale risque de baisser sensiblement en terme d e part de marché. Si cette baisse des effectifs est compensée par une hausse des filières techniques agroalimentaires, comme il est raisonnable de le prévoir, cela devrait engendrer une augmentation de la plus value dans la mesure ou les classes techniques ( BEPA et Bac Professionnel ) sont davantage subventionnées par le Ministère de l’Agriculture. Par ailleurs, le public des jeunes qui compose les classes de 4ème et de 3ème est beaucoup plus difficile ( jeunes en situation de déracinement familial et social pour la plupart ) et participe à l’augmentation du stress de l’équipe pédagogique.
Qualité de vie en ESAT et activités physiques
L’enquête de G.Bui-Xuan, F.Brunet et O.Dejean, réalisée en 1995, avait pour but d’établir les relations entre le niveau d’activité physique et les paramètres de santé et de qualité de vie des personnes en situation de handicap mental. Les résultats ont été comparés avec ceux d’une autre étude, établie sur un échantillon de la population globale (enquête « sport et santé », rapport de recherche n°95-31, Centre d’études et de recherche de médecine aérospatiale). La comparaison était rendue abordable étant donné que les deux études utilisaient des questionnaires similaires dans leur protocole. (le « Nottingham Health Profile » et le questionnaire de Baecke » et un autre relatif à l’évaluation de l’état de santé et de la consommation médicale).

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