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Ton ciel n'est pas bleu : Jean- Luc BENOIT

Ton ciel n'est pas bleu : Jean- Luc BENOIT

Au fil de ce témoignage nous avons pu rencontrer sept histoires de vies différentes. A chaque fois l’accident aurait pu être évité, et pourtant, c’est arrivé et maintenant il faut accepter et apprendre à vivre avec son nouveau corps. C’est là le travail de l’éducateur en centre de rééducation. Accepter son handicap est un grand cap à franchir. Ici Jean-Luc utilisait beaucoup la musique comme médiation.

Chaque personnalité peut utiliser une médiation différente qui l’aidera à entrer en relation avec l’autre. L’autre point très important de la prise en charge d’une personne en situation de handicap est la prise en compte de son orientation. Nus avons pu voir ici que dans les sept histoires l’auteur en tenait compte l’avenir des résidents. A chaque fois une orientation différente mais qui préoccupe autant la personne elle-même que son entourage, le souci du « que vais-je devenir ». Pour une meilleure orientation potentielle faut-il y songer dès l’arriver en centre ?

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
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Accepter le terme et la condition

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Epidémiologie de la consommation de cannabis parmi les adolescents en France. - Pendant des années, les drogues dites dures et leurs effets ravageurs ont focalisé l’attention des professionnels. Les autres dites douces reléguées au rang de produit récréatif ne suscitaient pas trop d’inquiétude. Aujourd’hui la consommation de ces drogues douces a considérablement augmenté, faisant quasiment du cannabis un produit de consommation de masse. On commence ainsi à mesurer combien cette relative banalisation en a masqué certains effets qui suscitent à présent une préoccupation grandissante.

Repenser l’Etat-providence - Pierre Rosanvallon

La nouvelle question sociale, de Pierre Rosanvallon, est un essai sur le thème de l’Etat-providence écrit en 1995.Dans cet ouvrage, l’auteur tente d’analyser la société, à travers un historique de l’intervention étatique dans les domaines de l’économique et du social. C’est le contrat social dans son ensemble que Rosanvallon propose de repenser, dans le sens d’une énonciation d’un droit à l’insertion. Aussi allons-nous effectuer un travail de synthèse, afin d’en dégager les points essentiels. Tout d’abord, nous pourrons étudier le cheminement de l’Etat-providence dans l’optique assurancielle. Ce premier aspect nous amènera ensuite à constater les failles de l’Etat-providence tel qu’il existe actuellement et à étudier les solutions proposées par Pierre Rosanvallon afin d’y remédier.

La mal-mesure de l'homme de Stephen Jay Gould

Stephen JAY GOULD, petit-fils d'immigrants juifs de l'Europe de l'Est né en 1941 à New York, est un célèbre paléontologue. Spécialiste des crustacés autant que des dinosaures, il est un grand vulgarisateur des sciences de la vie enseignant à l'université de Harvard depuis 1967. Fan inconditionnel de Charles DARWIN, il a lui même développé au début des années 70, un modèle original de l'évolution : Le modèle des "équilibres ponctués". - Avec La mal-mesure de l'homme, GOULD donne un coup de pied dans la fourmilière scientifique en s'attaquant aux théories sur l'intelligence qui sont à l'origine (ou en conséquence ?) d'un grand nombre de préjugés raciaux.

Le second chapitre de La mal-mesure de l'homme, la mesure des têtes, commence par cette citation de T.H.HUXLEY : "Aucun homme doué de raison, instruit des faits, ne croit que le noir moyen est l'égal de l'homme blanc moyen, encore moins son supérieur". Le décor est posé. A cette époque, on ne doutait en rien de l'infériorité biologique des noirs. Rappelons que c'était la pleine époque de l'esclavage et de la colonisation, par conséquent croire en la supériorité de l'homme blanc permettait de sauvegarder la morale de l'homme bon et très pieu qu'était le blanc. De toute façon, cette infériorité biologique était flagrante, il n'y avait qu'à regarder le physique de ces races pour s'apercevoir qu'elles présentaient de nombreux signes simiesques. Un singe n'était pas intelligent, or la forme du crâne des noirs avoisinée celle des singes, les noirs ne pouvaient donc être guère plus intelligents que ces animaux.

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Le dernier rapport de l’Observatoire International des Prisons dénonce les conditions de détention déplorables ou encore le manque cruel d’accompagnement social pendant et après la détention. Stagiaire dans un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale qui accueille des hommes de 23 à 35 ans sortants de détention, je me suis intéressé à cet ouvrage-référence dans le secteur pour avoir une meilleure connaissance du public que j’accompagne et au-delà de mon stage, je m’interroge sur ma véritable place en tant que travailleur social. Sommes-nous des travailleurs sociaux porteurs de valeurs inhérentes à notre profession qui accompagnent autrui en difficulté face à l’environnement ? Ou sommes-nous simplement des agents de la « paix sociale » missionnés par l’Etat, assurant du contrôle social ?

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