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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Compte rendu de la semaine des techniques éducative

Compte rendu de la semaine des techniques éducative

Dans le cadre de la semaine des techniques éducatives nous avons pus découvrir diverses activités relevant des arts actuels. En effet, nous avons pu participer à des ateliers de danse hip hop, danse contemporaine, théâtre masqué, rap, et devenir spectateur par une pièce de théâtre, du cinéma et des visites de galeries. Ces différentes activités se sont déroulées à l’IRTS, la Battucada et au centre ville de Metz. C’est par petits groupes d’une quinzaine de personnes que nous avons effectués et visiter des activités artistiques différentes les unes des autres, qui sont exposées a travers ce planning.

Pour conclure, je dirai que cette semaine m’a été très enrichissante aussi bien d’un point de vue personnel que pour mon futur milieu professionnel. En effet j’ai découvert différentes techniques artistiques que je pourrai utiliser auprès de différents publics. Il me semble important de pratiquer un « art », que se soit de la peinture, du chant, de la danse, ou d’être spectateur. Cela permet de s’ouvrir et d’apprendre énormément de l’environnement qui nous entoure. Ainsi, mon objectif sera d’inclure les arts dans mon activité au sein du monde social afin de pouvoir extérioriser les sentiments et émotions du public encadré.

Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Dossier santé
J’ai choisi d'aborder le thème relatif à la notion d'énurésie.Dans un premier temps, je définirai le terme d'énurésie à l'aide de bases théoriques. Puis, dans un second temps, je présenterai Jeanne, la jeune fille qui présente cette énurésie.
La protection de l'enfance et les conséquences du placement chez l’enfant
Ce dossier « thématique » a été préalablement travaillé à partir d’un travail de groupe. Ce travail de groupe concernait le domaine professionnel de la protection de l’enfance où nous avons davantage fait le lien avec la notion de famille. N’ayant aucune pratique professionnelle au sein de la protection de l’enfance, il me semblait intéressant de pouvoir prendre connaissance de certaines notions de ce secteur professionnel. En effet, étant amenée à pouvoir travailler dans le cadre de la protection de l’enfance, il m’apparaît nécessaire de m’informer et de tenter de répondre à certaines de mes interrogations. Ce travail individuel m’a laissé l’opportunité de pouvoir tenter de répondre à un questionnement en particulier, celui du placement et de pouvoir faire des recherches en lien avec ce thème. Ce qui m’interrogeait principalement, était les effets de la séparation sur l’enfant placé, sur les parents et le travail effectué en tant que moniteur éducateur dans le cadre de l’ASE.
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

Observation de groupe en Institut d'éducation motrice
Le choix du lieu et du moment de l’observation de groupe m’ont demandé un certain moment de réflexion. Après avoir bien saisi les attendus de cette évaluation, j’ai décidé de réaliser ce travail sur mon lieu d’apprentissage, le Centre Hélio Marin, Institut de Rééducation et d’Education Motrice (I.R.E.M). Le CHM accueille des enfants et adolescents présentant des affections motrices transitoires ou définitives. Afin de vous permettre de mieux visualiser la population concernée, je vais vous présenter succinctement les jeunes présents sur le groupe ou je travaille.

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