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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Travail en partenariat et en réseau dans une MECS

Travail en partenariat et en réseau dans une MECS Ainsi le travail en partenariat et en réseau est-il une composante fondamentale de la pratique quotidienne des éducateurs spécialisés notamment à la MECS. Il permet de mettre en place des actions variées en faisant appel à des ressources extérieures, cela apporte également une pluralité de regards sur ce qui est fait, et permet la continuité des actions par chacun des partenaires. De plus la mutualisation des ressources entre les différents partenaires autorise la mise en place d'actions plus ambitieuse que si elles avaient été portées par un seul acteur.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Travail de réflexion sur la loi Sarkozy sur la sécurité intérieure

Jeudi 13 février 2003, le Parlement a définitivement adopté le projet de loi sur la sécurité intérieure. La loi Sarkozy sur la sécurité intérieure a été publiée le 19 mars 2003 dans le journal officiel, signifiant qu’elle est devenue immédiatement applicable hormis pour quelques articles nécessitant encore des décrets d’application. La nouvelle loi, qui compte 143 articles, a été promulguée le 18 mars 2003 par le président Jacques Chirac et signée par le Premier ministre et quatorze de ses ministres. Elle créait toute une série de nouveaux délits et de nouvelles sanctions concernant la mendicité, les gens du voyage, les rassemblements dans les halls d’immeubles, les menaces, le hooliganisme, l’homophobie ou le commerce des armes… Elle confère par ailleurs de nouveaux pouvoirs aux forces de l’ordre (fichiers élargis, conditions de garde à vue modifiée, etc) et de nouveaux droits aux victimes (dépistage des Maladies Sexuellement Transmissibles sur les personnes accusées de viol par exemple). Nous aborderons dans un premier temps les aspects principaux de cette loi, puis, dans un deuxième temps, ses enjeux et enfin, nous nous pencherons sur le point de vue du travail social.

En quoi les phénomènes de rupture favorisent t-ils l’exclusion ou l’intégration des jeunes de 16 à 21 ans ?

Nous tirons de notre expérience que les actes de violence posés par les adolescents que nous accompagnons au quotidien, les amènent à être en rupture avec les autres mais aussi avec les institutions dont ils sont exclus.

Nous allons tout d’abord donner deux définitions concernant le mot « rupture », trouvées dans le dictionnaire « Le petit Robert » :

La rupture : Fait de casser, de rompre sous l’effet d’un choc, cessation brute, opposition entre des choses qui se suivent, fait d’interrompre des relations.

En rupture avec : en opposition affirmée, annulation d’un engagement, séparation plus ou moins brusque de personnes.

On peut donc dire que lorsque l’on évoque la rupture, cela fait écho à des liens qui sont rompus. Or, qu’est ce que le lien ?

Ce ciment, que l’on appelle souvent « lien social » et qui produit de la solidarité entre les membres d’une société, ne naît pas spontanément.

Il est le résultat de ce qu’on appelle l’intégration qui peut être définie comme le processus qui permet aux membres d’une société de se reconnaître comme équipiers d’un même bateau, si l’on peut faire cette comparaison, c'est-à-dire solidaires les uns des autres, ayant chacun vis-à-vis des autres des obligations mais aussi des droits.

Le cahier de liaison, organe vital pour une cohérence de travail

J’ai choisi de présenter dans cette situation, la place de l’écrit  dans l’annexe ou je travaille .Comment écrivons nous ,pourquoi,pour qui ? Je décrirais plus particulièrement l’utilité du cahier de liaison dans cet appartement ou nous travaillons en soirée, le plus souvent seul comme éducateur.

Bien que nous sommes depuis plus de cinq ans en réorganisation, le cahier de liaison dans lequel nous écrivons ( nous,l’équipe d’éducateurs) reste toujours un des outils essentiel pour construire notre pratique professionnelle au quotidien,dans le fonctionnel,mais aussi dans la mise en place de projets.Le noyau de l’équipe,constitué des trois intervenants sociaux (ES,ME,AMP) a su adapter l’outil « cahier de liaison »,au fur et à mesure des changements internes,des modifications du projet institutionnel,dans l’annexe ***.

Maintenant les contraintes d’organisations et réglementaires, l’obligation de traçabilité à travers le dossier du bénéficiaire, nous font revoir et adapter nos outils.Le cahier de liaison n’à pas de construction figée.La forme et le fond sont modelés en fonction de ce qui est demandé.Les écrits doivent êtres pratiques et utiles à la consultation. 

La loi 2-2002 réformant le code de l’action sociale et des familles, remet le bénéficiaire au cœur du dispositif, il redevient gestionnaire de sa vie. Les professionnels intervenants sociaux doivent se doter de démarches et d’outils qui garantissent la continuité et la sécurité de « sa prise en charge ».Ceci  implique d’avoir davantage de  rigueur et de cibler les éléments que chaque éducateur travaillant dans l’équipe pourra, ou non, écrire sur le cahier de liaison, en fonction de sa mission, des principes éthiques et déontologiques, et de ce dont il lui sera nécessaire dans l’accompagnement du bénéficiaire.

Projet d'animation en CHRS
Avant leur arrivée au CHRS, la plupart des hommes ont connu des parcours d'errance, ils dormaient tantôt dans les centres d'accueil d'urgence tantôt dans la rue. Etaient associées à ces conditions de vie, la violence, l'humiliation, la peur. Il était impossible pour ces hommes de se projeter dans l'avenir, les jours étaient des combats perpétuels pour savoir où, quand et comment ils allaient pouvoir dormir, manger... Concernant le sentiment d'appartenance, ces hommes bien qu'isolés se retrouvaient côte à côte d'autres personnes aux conditions de vie similaires, et aux vécus douloureux. Ils appartenaient alors à ce groupe en marge de la société. Dans la rue, les résidents étaient confrontés au regard de la société. Ce regard était souvent vécu comme disqualifiant quand il existait. Un autre sentiment était aussi parfois ressenti, celui de ne plus exister au regard de la société, du monde qui les entoure. En effet, certains résidents expriment le fait que dans la rue ils n'étaient parfois qu'un décor devant lequel les gens passent, ne s'arrêtent pas , les évitent, ne les regardent surtout pas.

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