
C’est vrai que l’éducateur se doit d’être polyvalent mais la fonction de Dieu en fait-elle partie de son rôle ?
Devons-nous avoir des réponses pour tous, connaissons nous ce qui est bon pour l’humanité et pour les personnes déficientes intellectuelles, puisqu’il s’agit d’eux dans ce travail ?
J’en doute et ce doute il me semble, nous devons l’avoir ; laissons les certitudes à Dieu.
Nous ne voyons pas l’avenir, nous essayons juste d’aider les personnes que nous accompagnons à faire des choix, leur choix et pas le nôtre ; celui que nous pensions juste pour elles.
Dans un premier chapitre, nous avons tenté de donner une définition de la personne déficiente intellectuelle qui s’avère être une personne comme tout le monde.
En effet, loin des tests psychométriques et de l’apriori négatif, leur singularité ne tient qu’à un trait de caractère comme le soulignait Mr Van Brakel.
Nous avons pu aussi définir le centre de jour afin que l’environnement dans lequel évoluent ces personnes soit perçu de la manière la plus objective possible.
Cet environnement que nous avons pu rapprocher du concept de relation d’aide nous a montré combien il est important de le prendre en compte surtout dans le cadre de l’action éducative.