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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Erving Goffman, Stigmate,les usages sociaux des handicaps

Erving Goffman, Stigmate,les usages sociaux des handicaps

Dans cet ouvrage théorique, E. Goffman étudie un concept qu’il nomme "stigmate". A l’origine, ce terme renvoyait aux marques laissées sur le corps, aujourd’hui, il désigne les marques physiques ou les caractéristiques négatives d’un individu. Pour Goffman, c’est "la situation de l’individu que quelque chose disqualifie et empêche d’être pleinement accepté par la société".

Erving Goffman est né au Canada en 1922 (mort en 1982). Il étudie la sociologie à l’école de Chicago. Il suivra notamment les cours de E. Hughes mais prendra ses distances pour élaborer une sociologie plus atypique ou, plus exactement, plus "goffmanienne". Il se situe dans la mouvance du courant sociologique interactionniste porté par H. Becker, E. Freidson, E. Lemert ou A Strauss dans les années 60/80.

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Documents associés

Regards sur le handicap

Cet ouvrage comporte 281 pages. Cet ouvrage cite 164 références bibliographiques. Ces références sont classées par ordre alphabétique. Il n’existe pas d’index thématique, ni d’index des auteurs, ni de glossaire. J’ai trouvé cet ouvrage dans la bibliothèque pédagogique du foyer de vie « le Grand Chêne » à IZEAUX qui était mon lieu de stage de découverte n°1.

Libre enfants de Summerhill : Alexandre Sutherland NEILL

Summerhill a débuté un peu comme une expérience, avec pour vision fondamentale: « celle d’une école qui serve les besoins de l’enfant ». Personne avant Neill n’avait créé une école basée sur de tels principes. Alexander Sutherland Neill croyait en une école libre où l’enfant aurait droit au bonheur. Sa réflexion fit grand bruit. Il développa une méthode d’enseignement novatrice, mise en pratique dans son école installée dans l’est de l’Angleterre. Cette école fondée contre l’école traditionnelle reposait sur deux notions fondamentales : la liberté des élèves ainsi que l’auto responsabilité. En 1955, l’école de Summerhill bénéficia d’un rapport d’inspection qui validait l’efficacité de la méthode : il y avait bien liberté et non pas anarchie

Il y a quelqu’un là dedans ? Howard Buten

Howard Buten énonce plusieurs cas, dont celui de Martin, un jeune enfant autiste. Ce dernier fait les même gestes stéréotypés toutes la journée, il fait des imitations en modulant sa voix, il peut en quelques minutes imiter ses parents, le psychiatre etc.…mais lorsqu’il parle en son nom, il parle avec une toute petite voix. Lors des crises, il pleure et sourit aussi, mais c’est un sourire en coin sous les larmes comme si Martin avait un double visage (Martin 1 et Martin 2). Martin veut également savoir où vont les choses, par exemple où va l’eau qui coule du robinet, ou vont les nuages, le ciel et Dieu ou est il ? Alors pour savoir, il jette ses chaussures chez le voisin, les assiettes sur sa mère pour voir et comprendre où vont touts ces objets.

Le bonheur désespérement

Ce livre est la transcription d’une conférence-débat du 18 octobre 1999. La question du bonheur est centrale à la philosophie, en ce sens que la philosophie a pour but la sagesse, et que la sagesse est le bonheur dans la lucidité. Ainsi, la philosophie servirait à être heureux. André Comte-Sponville renoue avec la tradition des philosophes grecs pour qui cette question était essentielle. Etymologiquement, la philosophie, c’est l’amour de la sagesse. La sagesse est une pratique humaine : connaître la vérité pour agir bien. Le bonheur s’obtiendrait donc dans un certain rapport à la vérité. Il s’agit alors de penser non pas pour être heureux, mais de penser une idée parce qu’elle paraît vraie. En ce sens, le bonheur est le but de la philosophie, et la vérité en est sa norme.

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