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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

L'avance en age (uf1)

L'avance en age (uf1)

ON DIVISE LE VIEILLISSEMENT EN 2 PERIODE : La pré-sénescence entre 45 et 65 ans (après la crise du milieu de la vie) La sénescence à partir de 65 ans Selon 1 période on se confronte différemment au vieillissement, et à chaque âge nous sommes confrontés à des limitations, des renoncements nécessaires pour grandir dans la perte

CONCLUSION : Il s’agit d’accepter son imperfection, la réalité, de perdre ses illusions, investir l’inachevé. Le travail de vieillir comme l’activité psychique est d’accepter le risque permanent d’une séparation et la perspective de sa propre mort.

Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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SDF et aide sociale

Existe-t-il des éléments dans la vie des SDF (sans domicile fixe) qui conditionnent le refus d’une aide sociale ? Nous avons souhaiter traiter de ce thème en premier lieu par interêt pour une population qui serait en quelques sorte « le comble de l’exclusion ». En effet, les SDF n’ont pas de statut de part l’état, pas de protection... oubliés et pourtant bien présents. Mais qui sont-ils vraiment ? que pensent-ils ? Appelés autrefois clochards, vagabonds.. ils dérangent. On les dit plus nombreux, plus alcolisés, plus jeunes,plus dangeureux.. Qu'’est-il réellement ? Dans le soucis de nous éloigner des représentations sociales, nous avons cherché à comprendre le refus de certains sans-logis de se diriger vers des acteurs sociaux. Après de nombreuses recherches théoriques sur la vie des SDF, les études qui avaient été faites précédemment, les structures d’accueil et de réinsertion, nous avons élaboré plusieurs hypothèses, qui seraient ensuite infirmées ou confirmées. Les conditions de vie des SDF en CHRS (centre d’hébergement et de réadaptation sociale) sont-elles inadaptées ? Les SDF connaissent-ils les structures capables de les accueillir et de les aider ? Les travailleurs sociaux se rendent-ils disponibles à chacun ? conaissent-ils vraiment la population qu’ils aident ?, ils demandent peut-être trop vite aux accueillis de faire des démarches ; les jeunes doivent accepter plus facilement l’aide que les plus anciens SDF. Certaines hypothèses se sont centrées sur les SDF, leur passé, grâce auxquel nous essayeront d’établir un lien avec leur refus d’aide : Les SDF doivent être beaucoup et en permanence alcolisés. Ils doivent avoir perdu le contact avec la totalité de leur famille. Le shéma pour en arriver à cette situation doit être perte de travail, surendettement, perte de la famille, perte du logement, et donc rue. Ils ne doivent plus avoir de repères spatio-temporels. Ils sont surement désabusés de tout. Peut-être qu’ils seront agressifs envers nous ???

Culture générale professionnelle : Comment faire pour limiter les effets de la stigmatisation, envers les usagers ?

Le CHRS accueille vingt-cinq femmes ayant principalement des problématiques d'alcoolo dépendances. Lors de mon stage, j'ai pu observer que ces dames éprouvées des difficultés à parler de 1'endroit où elles étaient hébergées lors de leurs sorties extérieures au foyer. Par exemple lorsqu'elles devaient remplir des documents où l'on demandait leurs adresses, elles ne marquaient jamais le nom du foyer seulement son adresse.

De plus, lors de sorties, ou je les accompagnées, les dames me pressentaient comme une amie, et non comme une stagiaire éducatrice spécialisée. Ces différentes situations m'ont amenées à m'interroger sur la pratique éducative, est ce que notre pratique n'induirait pas des effets pervers sur nos usagers?

Notre accompagnement «censé aider» la personne accompagnée ne la mettrait-elle pas au contraire en difficulté? Notre action éducative aurait elle des effets stigmatisant pour les usagers que nous accompagnons?

L'ordonnance du 2 février 1945

Rompant avec le système juridique prévalant sous l’ancien régime, qui ne faisait aucune différence entre les adultes et les enfants concernant la responsabilité pénale, le Code Pénal de 1810 fixa la majorité pénale à 16 ans. Le juge chargé d’une affaire mettant en cause un mineur de moins de 16 ans se fondait alors sur le critère de discernement. S’il était établi que le mineur avait agi sans discernement, le juge prononçait un acquittement, mais le mineur devait être éloigné de la société et faisait l’objet d’un placement en maison de correction où il bénéficiait de mesures éducatives, pour une durée, qui ne pouvait aller au-delà de son vingtième anniversaire. En revanche, si le juge estimait que le mineur avait agi en pleine connaissance de cause, il bénéficiait d’une atténuation de peine, mais devait effectuer celle-ci dans les conditions de droit commun. Ce système fut critiqué car il favorisait la promiscuité et ne prenait pas suffisamment en compte les spécificités de la délinquance juvénile par rapport à la criminalité en général. Pour remédier à cette insuffisance, la loi du 5 avril 1850 instaura alors les colonies pénitentiaires de jeunes détenus, accueillant tous les mineurs délinquants quel qu’ait été leur niveau de discernement. Une loi du 12 avril 1906 porta la majorité pénale à 18 ans.

L’accueil d’une personne en EHPAD
J’ai effectué mon stage de première année auprès de personnes âgées. Mon questionnement de début de stage était le suivant : je me demandais comment les individus s’adaptaient à l’arrivée en institution. Il y avait, et il y a toujours, pour moi une absurdité dans cette réalité de la vie. Que ce soit une entrée en institution choisie ou contrainte (solitude, dépendance, précarité), les individus doivent s’adapter à des nouvelles règles de vie en collectivité. Cécile Delamarre parle dans cette situation d’une « autre planète »1 que la personne âgée fragilisée doit investir. D’une certaine façon, l’accueil en institution pourrait être considéré comme un dernier rite de passage de la personne. Dans ce stage, ces questions ont eu une influence sur ma pratique. J’ai notamment eu pour mission de passer du temps avec des personnes nouvellement entrées et de les aider à s’intégrer aux autres résidents pour leur épanouissement personnel. Je l’ai fait par de l’orientation, des dialogues, des créations d’activités. En marge de cela, j’ai voulu participer au moment de l’entrée en institution, l’admission. Je me suis présenté à trois admissions, ce qui sur l’ensemble du stage ne représente que peu de temps. A posteriori, je souhaitais étudier ces moments d’accueil, qui je pense sont des moments cruciaux pour la vie de l’établissement et de la personne accueillie.

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