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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

La révolte des « vieilles » Les Panthères Grises toutes griffes dehors : GOSSARD Renate, HUGUENIN Jacques,

La révolte des « vieilles » Les Panthères Grises toutes griffes dehors : GOSSARD Renate, HUGUENIN Jacques,

En tant que futurs éducateurs spécialisés, nous travaillons autour des problématiques essentielles de ce métier. A savoir, l'accompagnement des individus fragilisés autour des notions de bienêtre, d'aides et d'autonomisations. La représentation de ce métier est celle d'une action qui vise une évolution de la personne. Celle-ci s'articule différemment selon le public concerné mais il va de soi que l'éducateur spécialisé permet à l'individu de prendre sa place dans un projet de vie et de le mener à bien. Depuis un certain temps, la question du vieillissement des personnes handicapées s'est posée. Cependant, les éducateurs spécialisés dans les structures accueillant ce type de population n'ont pas toujours fait partie des équipes.

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Je suis noir et je n’aime pas le manioc : Gaston Kelman

Dans une partie nommée « Pèle Mêle », sorte d’avant propos, l’auteur reprend le terme de multiraciale pour définir la France bien que selon lui elle ne veut l’accepter et tend plutôt à se définir comme multiculturelle, c'est-à-dire que la culture française serait une entité composée de diverses cultures. L’auteur présente également dans cette partie les différentes formes de racisme à savoir le racisme diabolique qui est un racisme direct, le racisme angélique qui consiste à s’apitoyer sur le sort des « pauvres noirs » et qui émane d’un sentiment de culpabilité, de compassion, et enfin le racisme de stigmatisation et d’essentialisation qui est fait d’idées reçues, de préjugés.

L’Ecole de Palo Alto

L’investigateur de ce travail et père fondateur de cette école n’est autre que le célèbre et renommé Gregory Bateson. Grégory Bateson est né en 1904 en Angleterre dans une famille de grande bourgeoisie, il entreprend un diplôme de zoologie suivi ensuite d’un diplôme en anthropologie pour ce différencier de son père. Il devient ensuite ethnologue et publie son premier ouvrage Naven qui relate la vie courante des tribus étudiées lors de son voyage à Bali. Après son mariage en 1936 avec Mead une anthropologue, ils recueilleront pendant deux ans à Bali non seulement des observations et des interviews mais également des films et des photos. Ils publieront ensemble en 1942 dans Balinese character : A photographic Analysis. Où il renouvelle les méthodes de terrain et se donne pour objet d’étudier la culture balinaise à travers une étude minutieuse et attentive des interactions entre individus, et apporte ainsi une approche originale des processus de socialisation.

« Corps, infirmes et société », de Henri-Jacques STIKER

Dans un premier temps l’auteur expose les difficultés qu’il y a à aborder l’infirmité. En effet, le fait de l’aborder implique un engagement et un questionnement personnel, qui nous touche de près ou de loin. De tout temps l’homme a eu du mal à se confronter à l’infirmité, à ce qu’il nomme la malformation, la débilité… Tous ces termes négatifs qui renvoient à des peurs et qui reflètent une gêne. L’infirmité, pour les personnes concernées, entraîne un bouleversement dans une vie, un changement des représentations, une désorganisation des valeurs et une culpabilité.

Le regard des autres, sur toutes déviances qu’elles soient d’ordre psychique, mental ou physique, conduit à une peur, à un rejet. Comme le pense l’auteur, l’infirmité représente une « a-normalité » qui permet de donner corps à la « normalité ». L’homme dans sa quête d’identité et de similitude, à besoin de voir « son opposé » pour se rassurer dans sa normalité. De fait le handicap est prit en compte dans notre société, mais pas complètement, ce qui occasionne une exclusion, que l’on retrouve dans le système économique, culturel… D’où le dilemme entre exclure et inclure.

« BLANC SUR NOIR » De Ruben Gonzales Gallego

Ce dernier est un auteur russe d'origine espagnole né en 1968. Petit-fils d’un grand dirigeant du parti communiste espagnol, donné pour mort après sa naissance à la clinique du Kremlin parce qu’infirme, Ruben Gonzalez a survécu à l’Union soviétique et aux institutions pour personnes handicapées qui n’avaient rien à envier au goulag, et a pu, grâce à un ordinateur spécialement adapté, écrire ce poignant récit autobiographique, salué en Russie (Booker Prize 2003) et partout où il a été traduit comme l’œuvre d’un grand écrivain, de l’envergure d’un Varlam Chalamov. Ruben atteint d'une paralysie cérébrale, il est enlevé à sa mère et placé dans divers foyers, institutions ou asiles. A l'âge de vingt-deux ans, profitant des désordres engendrés par la perestroïka, il s'enfuit. C'est la force et la bonté des enfants enfermés avec lui qu'il entend évoquer. «Evoquer» est le mot le plus approprié pour décrire la facture de cette trentaine de textes écrits avec beaucoup de brièveté.

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