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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

La prise en charge de personnes handicapées mentales vieillissantes en fin d'activité salariée en CA

La prise en charge de personnes handicapées mentales vieillissantes en fin d'activité salariée en CA La notion de handicap a subi une grande évolution principalement depuis le milieu du XXème siècle. En effet, jusqu’aux années 50, on emploie, pour caractériser ces populations, les qualificatifs suivants : «infirmes, invalides, paralysés, mutilés, débiles », termes à caractères péjoratifs et dévalorisants. Durant la deuxième moitié du XXème siècle, l’instauration de lois et la prise de conscience du handicap par l’opinion publique ont permis des avancées significatives. C’est la loi du 23/11/1957 qui permettra, entre autre, une avancée sur le regard de ce public en introduisant pour la première fois le terme de handicap, terminologie à caractère beaucoup moins lourd, qui va permettre une reconnaissance différente des personnes handicapées. Cette loi ne s’intéresse cependant qu’au handicap dans le cadre du travail. Elle expose différentes problématiques telles que la réadaptation de la personne handicapée au travail, la rémunération de ces travailleurs et enfin, une réglementation du travail protégé y est décrite et instaurée. Un tel développement va conduire à réviser de façon importante et plus large les concepts de santé, de soin, de médecine et la place du malade.

A l’issue de ce travail sur la prise en charge des personnes handicapées mentales vieillissantes, nous retenons la complexité des éléments pris en considération. Nous constatons que le cheminement entrepris n’en est qu’à ces débuts. Il n’existe en effet à ce jour qu’un seul service d’accompagnement (le SAPHMA) opérationnel à Paris. Il est primordial pour les professionnels accompagnants de mettre en place un suivi adapté aux capacités et au parcours de vie de chaque personne. Ceci tout en restant au plus près des désirs des personnes. Le travail en partenariat est capital. Nous retenons qu’il s’organise positivement dans le lien entre le lieu de travail (le CAT) et le service d’accompagnement. Mais, le travail avec les familles reste souvent problématique
Catégorie: Mémoire Conseiller en économie sociale et familiale
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Le surendettement des personnes âgées

Particulièrement touchée par le public des personnes âgées avec lequel je souhaiterais pouvoir travailler, et étant en contact régulier avec plusieurs maisons de retraite, le chapitre "entrée en institution" dans ces établissements m’a toujours interpellée, sans pour autant avoir pu m’attarder sur le sujet. C’est un moment particulier pour la personne qui emménage, ce qui m’a amené à poser la question suivante : « Pourquoi le choix de l’entrée en maison de retraite et quelles sont les difficultés qu’entraîne un placement en institution pour la personne âgée ? ».

Il m’a semblé que ce travail de recherche permettrait d’appréhender davantage la population des personnes âgées vivant en maison de retraite, afin de toujours pouvoir répondre au mieux à leurs besoins. En effet, les institutions elles-mêmes et leur public ne sont pas immuables, ils changent, s’adaptant à l’évolution de notre société.

Pour répondre à la question posée et poursuivre ma réflexion, je présenterai trois parties : après avoir expliqué les choix et transformations qu’implique une entrée en maison de retraite, j’analyserai leurs impacts pour aboutir à une problématique, puis à une hypothèse. Cette dernière sera alors confirmée ou infirmée dans une dernière partie, à travers différents témoignages.

Accès et maintien dans le logement autonome de personnes atteintes de troubles psychiques
« La maison est toujours plus qu’un logement, c’est une habitation et une complicité » . Par cette phrase, nous comprenons mieux la place essentielle que le logement représente dans la vie de chaque individu. Plus que jamais d’actualité, le logement est un repère pour les familles dans lequel elles souhaitent s’y sentir bien. « Avoir un toit » est leur préoccupation majeure et souvent, le logement représente le plus gros poste de dépense. Le droit au logement est un droit universel qui a été reconnu pour la première fois au niveau international dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Dans cette déclaration, les Etats ont proclamé que : « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux…» (Article 25). C’est grâce à ce droit fondamental que la loi sur le Droit au logement opposable a vu le jour le 5mars 2007. De plus, l’Organisation Mondiale de la Santé précise dans la charte d’Ottawa de 1986, que pour être en bonne santé, un individu « doit pouvoir se loger, accéder à l’éducation, se nourrir convenablement… » Le logement est donc une notion nécessaire pour le bien être de l’individu.
L'accompagnement des adultes illettrés dans une démarche de ré-apprentissage

La prise de conscience du phénomène de l’illettrisme, c’est à dire la prise de conscience que des personnes puissent toujours se trouver en grandes difficultés dans leur quotidien face à la lecture et/ou l’écriture et ceci malgré les évolutions du système scolaire, n’a débuté que dans les années 70. La politique de lutte contre l’illettrisme ne se met donc en place qu’à partir du milieu des années 80 par le biais de la création du Groupe Permanent de Lutte contre l’Illettrisme.

Droits et libertés de la personne âgée hébergée en EHPAD : réalités ou défis à relever ?
De façon générale, la démarche poursuivie par cette étude de terrain a été, d’une part, de connaître les conditions de vie des personnes âgées hébergées dans les EHPAD, mais aussi leurs sentiments face à ces conditions et leurs aspirations. Et d’autre part, j’ai cherché à mettre en relief les principales actions d’accompagnement et les services qui leur sont proposés : sous quelles formes, quelles sont les limites à cet accompagnement et quelles sont les sources de ces limites pouvant conduire au non respect des droits et libertés des personnes âgées hébergées ?

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