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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

l' Accompagnement en association intermédiaire

l' Accompagnement  en association intermédiaire Dans le cadre du module « L’intervention auprès des personnes », j’ai choisi de présenter 2 situations d’accompagnement qui se sont déroulées pendant la même période. Les 2 personnes, aux personnalités très différentes, avaient au départ sensiblement le même projet professionnel mais d’après moi, un potentiel différent pour le mener à bien. Ces situations m’ont interpellée sur plusieurs points et m’ont conduite à réfléchir sur ma façon de travailler avec le public que je reçois. Voici certains thèmes qui seront abordés : Sur quels critères ai-je décidé d’inscrire une personne en association intermédiaire ? La posture de l’accompagnement : identification, transfert… ? L’importance de la demande exprimée au départ et l’adhésion à un cadre, à une démarche d’accompagnement. - Les « outils » : la nécessité de s’adapter à chacun - Recadrer un accompagnement, renégocier des objectifs… - Les limites de l’accompagnement - La gestion des conflits

Ce module m’a permis de mieux saisir la spécificité de la relation d’aide dans l’accompagnement socio-professionnel et de me situer quant à mon rôle et à la responsabilité partagée du devenir des personnes. Voici les idées clés qui m’ont le plus interpellée au long de ce module. - La notion de médiation a toute sa place dans l’accompagnement qui vise à l’autonomie des personnes : en faisant avec l’autre et non à sa place, je lui permets de s’approprier une méthode, des réussites et des échecs.
Catégorie: Mémoire Conseiller en économie sociale et familiale
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Le jeu partage la vie de tous mais il s’avère que pour certaines personnes le jeu devient une obsession. L’envie de jouer se transforme progressivement en une nécessité de jouer, puis cette nécessité devient plus forte que tout et le jeu cesse d’être un divertissement. Alors le jeu est une dépendance au détriment de tous les investissements affectifs et sociaux. Cette dépendance, dite jeu pathologique, est une nouvelle forme d’addiction. C’est une « addiction sans drogue »1 comme celle appelée la cyberdépendance (dépendance aux jeux vidéo) ou le « workaholisme » (dépendance au travail). Qu’est ce que le jeu pathologique ? Quelle définition peut-on en donner ? Qui sont les joueurs pathologiques et combien sont-ils en France? Quelles structures traitent cette pathologie ? Autant de questions que vous pouvez vous poser et pour lesquelles il est encore difficile de trouver des réponses.
L'impact de l'image de soi des adultes sourds profonds prélinguaux sur leur processus d'autonomisation

La population sourde est peu nombreuse, elle se concentre en général au cœur des grandes villes où les institutions et associations de sourds sont existantes. Elle concerne le public de cette recherche que nous avons appréhendé à travers les conséquences psychologiques et sociales engendrées par la surdité. Nous avons soulevé l’altération de la communication orale et écrite qui nuit à la construction de liens avec les personnes entendantes. Celle ci contribue à un isolement social, culturel et médiatique plus ou moins lourd de la personne sourde. De ce fait, elle entrave ses possibilités d’insertion et d’intégration dans la société et rend problématique son autonomisation. La phase exploratoire nous a éclairé sur l’importance de l’autonomie dans la perspective de développement, d'amélioration des conditions de vie de l’individu et de son environnement. La conquête de celle ci fait l’objet d’un apprentissage des maîtrises des moyens, et dépend de notre désir et des interactions avec notre environnement. Elle s’appuie sur une forme de dépendance incontournable et contraignante mais en opposition à la sujétion à autrui représentée par l’assistanat.

Entre domicile et institution, une alternative : la famille d'accueil
Envisager qu’un enfant puisse grandir ailleurs que dans sa famille va à l’encontre du discours qui domine actuellement. Certaines pratiques professionnelles tendent à opposer la logique de la protection de l’enfance et la logique d’aide à la famille dans laquelle s’inscrit désormais l’action sociale. Dans certaines situations pourtant, la séparation, outre qu’elle représente une mesure de protection, peut aussi être un moyen de développement de la qualité des liens entre un enfant et ses parents. «Depuis belle lurette, les sociétés doivent s’occuper de leurs membres les plus démunis. Les maillons les plus vulnérables sont les enfants. L’organisation des services d’aide à l’enfance nous ramène aussi loin que Saint Vincent de Paul qui, à son époque, cherchait à secourir les enfants abandonnés» . En France, c’est l’Aide Sociale à l’Enfance qui chapeaute le dispositif du placement familial au sein du Conseil Général.
Sortir de la rue quand on est sans-abri
Silhouettes isolées, groupes compacts, les média n’en parlent quasiment qu’à l’arrivée, chaque année, des premières nuits de gel et que le premier mort est retrouvé dans la rue. Pourtant ils sont de plus en plus nombreux, jour après jour, semaine après semaine, à hanter les rues de Paris. Et comme le rappelle Fabien Tuleu1, Délégué Général d’Emmaüs France : « On ne meurt pas de froid, on meurt de pauvreté ». Certains ont choisi ce mode de vie, trouvant dans cette errance l’expression de leur liberté, faisant ainsi perdurer la lignée des vagabonds d’autrefois, mais ce n’est pas la majorité. Pour la plupart, c’est en effet, une rupture, un enchaînement d’événements, une suite de problèmes économiques, familiaux, de santé, liés ou non à une faiblesse psychologique qui les a projetés dans la rue. On constate que la fracture est souvent brutale et qu’une sorte de point de non retour est facilement franchi.

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