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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

EP: l'alimentation de personnes handicapées mentales vivant en semi autonomie.

EP: l'alimentation de personnes handicapées mentales vivant en semi autonomie. Aujourd’hui le statut de la personne handicapée est revalorisé. Les différentes lois mises en place visent à considérer la personne en situation de handicap comme un citoyen à part entière. A cette fin, l’ADAPEI accompagne les personnes handicapées mentales afin qu’elles puissent développer leurs projets de vie autonome. A travers cet accompagnement, l’intégration aux jardins d’Aquitaine leur permet de vivre pleinement leur citoyenneté et leur intégration dans la société (loisirs, travail…). Je me suis attachée à étudier les différentes solutions pouvant leur permettre d’être plus autonomes en matière d’alimentation. Ces actions visent à aider les usagers à s’approprier les informations misent en place actuellement par le programme de santé public (manger bouger). A travers cette étude et projet, j’ai acquis une démarche méthodologique qui m’a permis d’analyser une situation et d’y apporter une solution adaptée. De plus, le projet s’inscrit parfaitement dans la fonction d’animation/formation de la technicienne en économie sociale et familiale, par le fait d’animer une réunion et de transmettre des informations aux résidantes. Mais aussi en les accompagnant dans un atelier cuisine.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
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Etude et Projet : prévention routière auprès de jeune habitant en FJT
« On perd la plupart de notre jeunesse à coup de maladresses »* La prise de risque s’accompagne de plaisirs, elle comporte des aspects positifs et une utilité : un rôle de stimulation, une aide à l’autonomie et à la constitution d’une meilleure image de soi. La perspective du plaisir, notamment sensoriel, est plus immédiatement perceptible que d’éventuelles conséquences négatives. La prise de risque au volant des jeunes est importante. En effet, les jeunes de 15 à 24 ans représentent 13% de la population, mais 27,6% des tués sur la route. Près de 40% du total des pertes en années de vies humaines dues aux accidents de la circulation concernent cette classe d’âge. Les jeunes conducteurs traduisent généralement ces risques par une vitesse excessive, le non respect du code de la route, le non port de la ceinture de sécurité… Cette tentation aux risques peut être influencée par de multiples facteurs comme le groupe de pairs, l’inexpérience, certaines substances absorbées (drogue, alcool, médicament…)
Fiche de révision "La crise du logement"
Le logement est bien de première nécessité pour l’homme car il représente un abri qui protége les biens et la famille des agressions extérieures. Il permet de répondre aux besoins fondamentaux (pyramide de Maslow). Il assure l’intimité et la sécurité.
EP : les difficulté des jeunes a acceder au logement et a s'y maintenir
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune(squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études,d’une nette amélioration des relations parents-enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se debrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dûes à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les foyers des jeunes travailleurs.
Alimentation des personnes handicapées vivant en semi autonomie
L’éducateur a noté que les résidentes avaient peu de notions de cuisine. De ce fait, certaines fois, elles mangent des plats tout prêts en conserves ou surgelés (cassoulet, raviolis, paêla). Lorsqu’elles cuisinent elles même, la présentation des plats est peu soignée, ce qui ne met pas en appétit, et l’assaisonnement est quasi inexistant. Cela déplait à l’une d’elle qui préfère parfois se contenter du repas du midi servi au travail, et se passe de dîner.

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