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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

EP 2008 : l'accès au logement social des personnes en situation de handicap moteur.

EP 2008 : l'accès au logement social des personnes en situation de handicap moteur. Actuellement en France, il est difficile de trouver un logement tant dans le secteur privé que public et que ce soit pour devenir propriétaire ou locataire. L’agglomération étudiée ici n’est pas épargnée par cette tendance. Cependant, se loger reste un besoin primaire qui intègre les fonctions de protection et de sécurité. Il permet aux individus une autonomie personnelle ainsi que l’intégration à la vie sociale et professionnelle.

Il est possible de résumer la problématique en une phrase. Ce qui constitue en réalité le handicap en lui-même, c’est l’inadéquation entre la personne atteinte de pathologie et d’incapacité physique et son environnement. Cette formule illustre parfaitement l’idée suivante : c’est l’environnement qui doit être adapté à la personne et non pas l’inverse. Par ailleurs, nous avons pu nous rendre compte, lors de ce travail, que la problématique de l’accès au logement social des personnes en situation de handicap doit être abordée à différents niveaux. En effet, l’insuffisance de connaissances sur les demandeurs en situation de handicap et sur l’existence de logements adaptés est en cause dans l’inadéquation de l’offre et de la demande.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
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EP: Prévention des chutes des personnes agées en EHPAD
La plupart des personnes glissent ou chutent, sans qu'il n'y ait de conséquences sérieuses, chez les personnes âgées, les chutes sont plus fréquentes plus graves tant au niveau physique que psychologique. Il s’avère qu’en moyenne en France, 23 millions de personnes de 65 ans et plus tombent chaque année, selon la Caisse nationale d’assurance-maladie et le Comité français d’éducation pour la santé. Les chutes constituent l’accident le plus fréquent chez cette population et sont l’une des premières cause de décès accidentel. On recense par an 40 000 cas de fractures du col du fémur dû aux chutes et 8 500 décès chez les plus de 65 ans. Une chute sur deux survient dans un établissement de soins ou dans une maison de retraite. Les chutes entraînent des coûts pour les personnes, et la communauté. Le système de soins et de santé comptabilise environ 91 000 séjours hospitaliers chaque année pour des fractures liées à des chutes chez les plus de 75 ans. De plus 4 séjours sur 5 donnent lieu à une intervention chirurgicale. Le coût total estimé des consommations de soins associés à une chute était d’environ 1 milliard d’euros en 1995.
Fiche de révision "La crise du logement"
Le logement est bien de première nécessité pour l’homme car il représente un abri qui protége les biens et la famille des agressions extérieures. Il permet de répondre aux besoins fondamentaux (pyramide de Maslow). Il assure l’intimité et la sécurité.
Les difficultés dans les pratiques du jeune actif en matière de recherche de logement.
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune (squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études, d’une nette amélioration des relations parents- enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se débrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dues à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les Foyers des Jeunes Travailleurs. Ceux-ci permettent aux jeunes de posséder un logement plus ou moins temporaire et des services à moindre coût. Ils permettent de marquer une période transitoire pour les jeunes dans l’attente de trouver un logement autonome. Avoir un « chez soi » représente une condition essentielle dans l’insertion sociale, tant sur le plan symbolique dans une démarche d’indépendance, que dans la réalisation de projets.
Prévenir les chutes des personnes âgées pour bien vivre à domicile
Face au vieillissement de la population, le Gouvernement a décidé de mettre en œuvre de nouvelles mesures en matière d’accompagnement des personnes âgées. Le Plan Solidarité Grand Age, présenté le 27 juin 2006, prévoit le maintien à domicile des personnes âgées. Indépendamment des politiques sociales, une raison subsiste qui entrave le maintien à domicile des personnes âgées, il s'agit des chutes. La chute correspond à l’action de tomber au sol indépendamment de sa volonté. Principale cause de décès par accident chez les sujets âgés, les chutes entraînent une mortalité importante chez ces personnes.

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