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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Rapport de stage en polyvalence de secteur

Rapport de stage en polyvalence de secteur Ce stage de deuxième année en polyvalence de secteur a été pour moi une étape évolutive de ma formation et dans ma pratique professionnelle. Mes deux référentes m’ont permis de visualiser deux façons différentes de pratique dans le travail social et cela m’a permis également d’avoir une adaptation à leur savoir faire. D’autre part, ce stage m’a permis de remettre en question la manière de poursuivre mon apprentissage, de faire évoluer mes représentations par rapport à la polyvalence de secteur. Avant mon entrée en stage, il est vrai que je considérais la polyvalence comme « une machine administrative très routinière » mais au fil de mon stage, j’ai pu m’apercevoir qu’il en était toute autre chose. La diversité d’action, la multitude de situation rencontrée ont fait émerger en moi un nouveau positionnement professionnel. Durant ces cinq mois, j’ai pu m’exercer aux divers domaines de compétences et à la pratique professionnelle. La prise en charge de situation a été déterminante dans mon évolution professionnelle.
Catégorie: Rapport de stage Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

Rapport de stage et projet dans une MFR
Durant ma période de stage, j’ai mis en place un projet auprès d’une classe de troisième. Mon projet a consisté à préparer un atelier de cuisine sur le thème de l’anti-gaspillage auprès d’un jeune public afin de l’initier aux gestes anti-gaspillage et à la réalisation de recettes sur ce même thème. Dans un premier temps j’ai fait une analyse des besoins de ce public en passant du temps auprès d’eux et en observant leurs facilités et difficultés dans leur quotidien. J’ai pu constater que les élèves de cette classe avaient quelques difficultés à appliquer des gestes contre le gaspillage alimentaire. Ils finissaient rarement leurs assiettes et jetaient énormément de nourriture. Les élèves de cette classe suivaient des cours de cuisine et des cours de biologie concernant les besoins nutritionnels chez l’adolescent. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre en lien leurs connaissances et leurs besoins en complétant les cours de biologie donnés par Melinda, formatrice à la MFR, sur les besoins nutritionnels. En partant de cela j’ai alors préparé un menu anti-gaspillage et équilibré, respectant ces besoins.

Les objectifs de mon projet qui était de faire découvrir à un jeune public ce qu’était l’anti-gaspillage, de l’initier à ses gestes ainsi qu’à une alimentation équilibré et de faire valoir le tri sélectif ont alors été atteints. Suite à ce projet, j’ai pu observer que la cuisine pédagogique avait besoin d’une organisation plus soutenue. C’est pourquoi je suis retournée dans la cuisine, j’ai rangée les placards de manière à ce que ce soit plus facile de retrouver les denrées, et ai fait le point sur les denrées restantes (et leurs quantités) en créant deux fiches, une sur les denrées disponibles dans les placards pour préparations sucrées, l’autre sur les denrées présentes dans les placards pour préparation salées. Sur ces fiches j’ai inscrits par des tirets les noms des denrées, ainsi qu’une photo de chacune d’entre elles.
UDAF - service de Tutelles Prestations Sociales

La France fait partie des pays développés. Une large majorité de la population a reçu une éducation scolaire, qui permet d’accéder à l’autonomie. L’autonomie est une valeur importante aux yeux de tous, mais c’est un vaste mot qu’il convient toujours de définir dans un cadre plus précis : autonomie financière, autonomie pour les déplacements dans les transports en commun... Ce terme d’autonomie nous renvoie aux problèmes de la dépendance et des incapacités, en somme, du handicap. Celui-ci peut apparaître sous trois formes : Physique, intellectuel ou social, et nécessite une prise en charge adaptée. A l’âge de la majorité, l’apprentissage de l’autonomie a normalement été suffisant pour que ce nouvel adulte s’assume. Toute personne majeure est en principe capable. Cependant, ce n’est pas toujours le cas. Une défaillance de l’autonomie apparaît comme un frein à la capacité à s’assumer seul. L’altération des facultés personnelles expose l’individu à ne plus pourvoir à ses intérêts. La prodigalité expose à tomber dans le besoin et à ne plus pouvoir exécuter ses obligations familiales. Aussi existe-t-il des lois pour pouvoir intervenir auprès de ces personnes qui se mettent en péril : - La loi de 1966, qui encadre les mesures de Tutelles aux Prestations Sociales, - La loi de 1968, qui encadre les mesures de Tutelles aux Majeurs Protégés. Il s’agit de deux mesures ayant des objectifs très différents. La tutelle aux majeurs protégés possède différents niveaux : la sauvegarde de justice, la curatelle et la tutelle; que l’on applique selon les capacités de l’individu et son besoin de protection. La tutelle aux prestations sociales a une visée éducative et doit permettre au majeur de développer son autonomie sociale et budgétaire. Dans une grande majorité des cas, la gestion des mesures de protections est confiée à la famille ou à un proche. Cependant, lorsque la famille en est incapable (en conflit avec le majeur, de moralité douteuse...), le juge décide de confier cette mission à des professionnels de la gestion de tutelle : personnes physiques ou morales (ces derniers nomment alors des délégués à la tutelle). L’UDAF est la plus grosse structure de gestion de tutelle de France. Cette mission lui incombe de par l’article 3 du code de la famille : “l’UDAF peut gérer tout service d’intérêt familial dont les pouvoirs publics estimeront devoir lui confier la charge.” Des services de travailleurs sociaux et juristes sont chargés de gérer les mesures de tutelles et d’accompagner les individus. Aussi, je présenterai en premier lieu l’UDAF, ses origines, ses missions, puis l’UDAF de la Haute Vienne en particulier. Il apparaît intéressant de se pencher par la suite sur les spécificités des interventions en Tutelles aux Prestations Sociales. Tantôt faire avec, tantôt faire pour, il est difficile de savoir se positionner dans l’exercice de la mesure : c’est là toute la complexité du travail du délégué à la tutelle. Ce point particulier me paraît indispensable à garder en filigrane au long de ce travail de rédaction. Enfin, ayant mené une action professionnelle, je présenterai la famille auprès de laquelle j’ai effectué mon intervention, les objectifs fixés et les résultats obtenus. Cette dernière partie apparaît comme un exemple d’intervention d’un délégué à la tutelle, où les notions d’assistanat et d’éducatif s’entrecroisent, comme inévitablement liées.

L’aide à la recherche de logement.
« L’année 2005 s’est terminée par des manifestations de profondes fractures d’une société française à la recherche de son unité dans l’égalité et la fraternité. Les interpellations des « laissés-pour-compte » sont souvent celles que les associations pour la promotion et l’insertion par le logement relaient depuis vingt ans » notait l’édito du Journal des Associations de la Fapil-12/2005. En effet, le logement est un besoin primaire de sécurité et de protection . Il est la condition première de l’intégration sociale et professionnelle. Etre logé est porteur d’identité, synonyme d’autonomie. En France, le logement est devenu depuis 1990 un droit pour tous. Le droit au logement suppose un domicile dans des conditions de décence et de salubrité compatibles au respect de l’humain. Et pourtant selon le dernier rapport de l’Abbé Pierre, 5 millions de personnes en France seraient mal logées. Le logement est devenu une priorité nationale au fur et à mesure des années avec les problématiques d’emploi et la carence de logements. La région Ile de France a, quant à elle, décrétée « le logement, une cause régionale ».
ISIC et ISAP dans une pension de famille
Il s’agit d’une structure faisant partie de l’association Habitat insertion (groupement d’associations favorisant l’intégration par l’emploi et le logement) qui repose sur la loi de programmation pour la cohésion sociale du 19/01/2005. Ce dispositif innovant, en tant qu’alternative de logement durable, sans limitation de durée, dans un cadre semi collectif, offre à 14 personnes en situation de précarité, un lieu de vie stable, où ils peuvent « poser leurs valises » et sortir de l’urgence quotidienne dans laquelle ils se trouvent souvent avant leur arrivée. Ce sont souvent les partenaires susceptibles d’orienter les personnes vers les « maisons relais » qui établissent les demandes d’entrées au sein de la structure.

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