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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

La famille et la femme face au cancer : Une gestion du quotidien difficile

La famille et la femme face au cancer : Une gestion du quotidien difficile

Le cancer une réalité quotidienne tout autour de nous. Le 24 mars 2003, le Président de la République a présenté le Plan cancer 2003-2007, dont les propositions ont pour ambition de répondre aux besoins des patients, de leurs proches et des professionnels qui prennent en charge les personnes atteintes par cette maladie. Jean-François Mattei, en 2003, ministre de la Santé, de la Famille, et des Personnes Handicapées, avait justifié les trois objectifs du Plan cancer dont l’amélioration de la prévention et de la recherche et l’humanisation des soins par : "Le cancer, c’est d’abord une personne malade, c’est sa famille et ce sont ses proches, c’est une détresse physique, psychologique et sociale autour de laquelle le système de santé doit organiser la meilleure réponse possible ».

Alors qu’il y a 20 ans, les malades mettaient en avant les nausées, les vomissements et l’anxiété liée aux séances de traitement, les principales préoccupations concernent aujourd’hui la fatigue et le retentissement psychosocial. Les effets secondaires les plus sévèrement rapportés sont désormais : le retentissement sur la famille et le partenaire, la perte de cheveux, la fatigue permanente, les conséquences sur l’activité professionnelle ou familiale, les conséquences sur l’activité sociale et la perte d’intérêt pour la sexualité. Les travailleurs sociaux sont amenés dans leur exercice quotidien, à prévenir les exclusions, accompagner les malades et leur famille, contribuer à la prévention et ainsi participer en tant qu’acteurs de santé aux politiques de prévention et de soins.

Catégorie: Mémoire Conseiller en économie sociale et familiale
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Les violences conjugales
J’ai choisi de réaliser mon mémoire sur les femmes victimes de violences conjugales parce qu’aujourd’hui dans notre pays, une femme sur dix est victime de violences de la part de son conjoint ou de son ex-conjoint et selon les chiffres de l’Observatoire de la délinquance, une femme meurt tous les deux jours sous les coups de son compagnon ou ex-compagnon. En France, on estime que plus de deux millions de femmes sont victimes de violences conjugales. La prise de conscience de la gravité de ces comportements et de la nécessité de les sanctionner et de les prévenir est récente dans notre pays. La lutte contre les violences faites aux femmes a été érigée en "grande cause nationale" pour l'année 2010 ce qui est un avancement important pour celles-ci et notre société.
L'accompagnement des adultes illettrés dans une démarche de ré-apprentissage

La prise de conscience du phénomène de l’illettrisme, c’est à dire la prise de conscience que des personnes puissent toujours se trouver en grandes difficultés dans leur quotidien face à la lecture et/ou l’écriture et ceci malgré les évolutions du système scolaire, n’a débuté que dans les années 70. La politique de lutte contre l’illettrisme ne se met donc en place qu’à partir du milieu des années 80 par le biais de la création du Groupe Permanent de Lutte contre l’Illettrisme.

Entre domicile et institution, une alternative : la famille d'accueil
Envisager qu’un enfant puisse grandir ailleurs que dans sa famille va à l’encontre du discours qui domine actuellement. Certaines pratiques professionnelles tendent à opposer la logique de la protection de l’enfance et la logique d’aide à la famille dans laquelle s’inscrit désormais l’action sociale. Dans certaines situations pourtant, la séparation, outre qu’elle représente une mesure de protection, peut aussi être un moyen de développement de la qualité des liens entre un enfant et ses parents. «Depuis belle lurette, les sociétés doivent s’occuper de leurs membres les plus démunis. Les maillons les plus vulnérables sont les enfants. L’organisation des services d’aide à l’enfance nous ramène aussi loin que Saint Vincent de Paul qui, à son époque, cherchait à secourir les enfants abandonnés» . En France, c’est l’Aide Sociale à l’Enfance qui chapeaute le dispositif du placement familial au sein du Conseil Général.
L’après prison : réinsertion et liens sociaux
« Prison », « milieu carcéral », « détenu », « sortant de prison », « violence », « crime »… Voilà autant de termes trop souvent utilisés, stigmatisés et souvent incompris pour la plus part des individus. Le « prisonnier » est réduit à l’objet de son délit (vol, meurtre…) et se trouve dénué de toute incarnation humaine. La prison est banalement connue comme le lieu de détention ayant pour objectif de punir et de faire payer un fait commis et reconnu comme crime ou délit dans une société donnée par un individu. Le but de cette punition, est d’isoler l’individu dans une cellule, et lui interdire certains types de libertés pendant la durée de sa peine, afin qu’il « règle sa dette envers la société». La définition des délits et des crimes évolue dans le temps et selon les sociétés. Les sanctions sont dépendantes de ces évolutions, des droits des individus (âge de la majorité, droits à être défendu, droits des femmes, lutte contre les discriminations, informatique et liberté…) et des lois qui en découlent. La prison (l’isolement) apparaît donc comme le seul moyen trouvé par une société pour exclure des personnes en marge, susceptibles de mettre en danger autrui, eux-mêmes ou bien de nuire au bon fonctionnement social et légal, susceptibles encore de porter atteinte aux libertés ou aux jouissances individuelles et communes. Le grand public ignore les évolutions des conditions de détention ou des droits des détenus, par suite ignore aussi ce qu’il advient des individus à leur sortie de prison.

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