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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Accès aux soins et à la santé des demandeurs d'asile

Accès aux soins et à la santé des demandeurs d'asile Aujourd’hui, le peuple français est une population multiculturelle. En effet, les politiques d’immigration de la France ont conduit présentement à l’émergence d’individus français issus d’origines étrangères diverses. Ces migrants sont issus principalement des vagues d’immigration entre 1870 et 1970 dans le but de venir contribuer au développement économique du pays. Quelles que soient les causes ou les différentes politiques mises en place, nous ne pouvons plus revenir en arrière, cette situation est un état de fait et personne ne peut la changer. Le peuple français a considérablement évolué ces dernières années notamment du point de vue de ses caractéristiques. Mais cette évolution n’est pas terminée, car elle est en constante mutation selon de multiples facteurs variables tels que les différentes positions et textes de lois établis par le gouvernement concernant ce domaine.

Réfugiés, demandeurs d’asile, étrangers malades, mineurs étrangers isolés et autres migrants/étrangers en situation précaire, les exilés se situent dans une population de près d’un million de personnes vulnérables sur le plan de la santé comme nous avons pu l’étudier tout au long de ce mémoire. Il est clair que cette catégorie de la population cumule les handicaps que cela soit au niveau de leur intégration, leur accès au logement, à l’emploi, mais aussi et surtout à la santé. Ces obstacles ont pour principalement pour origine la politique restrictive de la France en matière d’immigration ainsi que les phénomènes de discriminations persistants à destination de ce public.
Catégorie: Mémoire Conseiller en économie sociale et familiale
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« En quoi le logement est-il un moyen d’insertion pour les travailleurs pauvres ? »
Parallèlement, j’ai entendu à plusieurs reprises les termes de « travailleurs pauvres », de « travailleurs précaires », de « pauvreté au travail » ou de « travailleurs assistés » depuis l’apparition du Revenu de Solidarité d’Activité. Ces termes ont suscité mon questionnement. Les définitions employées semblaient être plurielles et générées de vives réactions comme des inquiétudes, des sentiments d’injustice, … De plus, lors de mon année de formation, j’ai eu l’occasion d’effectuer mon stage chez un bailleur social comprenant un service social. J’ai ainsi pu approcher de plus près la pauvreté au travail et les questionnements face au logement. J’ai l’impression que les thématiques, orientées autour de l’accès au logement et de la pauvreté, se trouvent au fil des années de plus en plus mises en avant dans les médias. C’est pour toutes ces raisons que j’ai choisi de m’intéresser davantage à cette problématique en tant que Conseillère en Economie Sociale et Familiale. J’ai construit ce travail autour de la question de départ suivante : « En quoi le logement est-il un moyen d’insertion pour les travailleurs pauvres ? » Pour parvenir à clarifier cette problématique, j’ai tout d’abord mené des recherches théoriques dans divers domaines des sciences humaines tels que, la sociologie, l’économie, la psychologie,… J’ai ainsi pu définir ces phénomènes, en mesurer l’ampleur, l’évolution et appréhender les enjeux qui en découlent.
L’après prison : réinsertion et liens sociaux
« Prison », « milieu carcéral », « détenu », « sortant de prison », « violence », « crime »… Voilà autant de termes trop souvent utilisés, stigmatisés et souvent incompris pour la plus part des individus. Le « prisonnier » est réduit à l’objet de son délit (vol, meurtre…) et se trouve dénué de toute incarnation humaine. La prison est banalement connue comme le lieu de détention ayant pour objectif de punir et de faire payer un fait commis et reconnu comme crime ou délit dans une société donnée par un individu. Le but de cette punition, est d’isoler l’individu dans une cellule, et lui interdire certains types de libertés pendant la durée de sa peine, afin qu’il « règle sa dette envers la société». La définition des délits et des crimes évolue dans le temps et selon les sociétés. Les sanctions sont dépendantes de ces évolutions, des droits des individus (âge de la majorité, droits à être défendu, droits des femmes, lutte contre les discriminations, informatique et liberté…) et des lois qui en découlent. La prison (l’isolement) apparaît donc comme le seul moyen trouvé par une société pour exclure des personnes en marge, susceptibles de mettre en danger autrui, eux-mêmes ou bien de nuire au bon fonctionnement social et légal, susceptibles encore de porter atteinte aux libertés ou aux jouissances individuelles et communes. Le grand public ignore les évolutions des conditions de détention ou des droits des détenus, par suite ignore aussi ce qu’il advient des individus à leur sortie de prison.
Les violences conjugales
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Comment aider les victimes de violences conjugales à se déculpabiliser afin de sortir de cet engrenage ?
Suite à divers constats (lectures, rencontre avec des professionnels…) il apparaît qu’au niveau personnel, la femme battue se sent dénigrée, elle s’autodéprécie ; parallèlement elle se trouve confrontée à des phases de sa vie, temporairement difficiles et mal vécues. Dans la crainte d’être jugée ou de se retrouver seule, les victimes de violences conjugales renoncent souvent à quitter le conjoint violent et donc le domicile conjugal. Dans le cadre de mon mémoire j’ai souhaité m’arrêter sur la situation des femmes victimes de violences conjugales et plus particulièrement sur les difficultés à quitter le conjoint violent.

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