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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Rapport de stage dans une Unité de Réadaptation Psychiatrique

Rapport de stage dans une Unité de Réadaptation Psychiatrique Certains patients vont pouvoir profiter de la loi 2005, d’autres plus touchés par leur pathologie devront attendre, progresser, accepter leur pathologie afin de pouvoir être réinséré dans la société. Certains n’y arriveront jamais du fait qu’ils soient institutionnalisés depuis trop longtemps et qu’aucune amélioration en matière d’autonomie n’a été réalisé.
Catégorie: Rapport de stage Conseiller en économie sociale et familiale
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Centre social : service au coeur d'un quartier
Depuis des siècles, pour des raisons financières, des personnes de divers pays sont venues en France pour travailler. Ces dernières ont compensé des pertes humaines dues à la guerre, afin de reconstruire la France. Leur objectif était de gagner de l’argent afin de subvenir aux besoins de leur famille et de repartir dans leur pays d’origine par la suite. Après des années de travail, cet objectif n’a pas été atteint. Les personnes immigrées ont dû s’installer en France et faire venir leur famille. Au sein de la ville d’A.-sous-bois, la population française représente 79 % et la population immigrée 21 %. Cependant, dans les quartiers Nord, la population française et immigrée sont respectivement de 55 % et de 45 %.
EP : hygiène des pieds chez les sans domicile fixe
J’ai effectué mes stages au sein d’un centre d’accueil de jour. Dans ce cadre là, une de mes fonctions était de veiller à la régulation des douches : inscrire les personnes, veiller au temps réglementaire de dix minutes, distribuer les serviettes, rasoirs, brosse à dents. Les tâches sur les pieds, la démarche boitante de certains, les demandes en chaussures et chaussettes récurrentes ont attiré mon attention sur cette partie du corps, en contact direct avec le sol, à savoir : le pied. Dans un premier temps, je vais démontrer que les pieds des sdf rencontrés dans le centre sont en mauvaise santé, dans la douleur, et mal entretenus concernant l’hygiène de la vie quotidienne. Ma démarche va consister à analyser les motifs qui ont conduit à cette situation: pour tenter de répondre aux questions suivantes. :
UDAF - service de Tutelles Prestations Sociales

La France fait partie des pays développés. Une large majorité de la population a reçu une éducation scolaire, qui permet d’accéder à l’autonomie. L’autonomie est une valeur importante aux yeux de tous, mais c’est un vaste mot qu’il convient toujours de définir dans un cadre plus précis : autonomie financière, autonomie pour les déplacements dans les transports en commun... Ce terme d’autonomie nous renvoie aux problèmes de la dépendance et des incapacités, en somme, du handicap. Celui-ci peut apparaître sous trois formes : Physique, intellectuel ou social, et nécessite une prise en charge adaptée. A l’âge de la majorité, l’apprentissage de l’autonomie a normalement été suffisant pour que ce nouvel adulte s’assume. Toute personne majeure est en principe capable. Cependant, ce n’est pas toujours le cas. Une défaillance de l’autonomie apparaît comme un frein à la capacité à s’assumer seul. L’altération des facultés personnelles expose l’individu à ne plus pourvoir à ses intérêts. La prodigalité expose à tomber dans le besoin et à ne plus pouvoir exécuter ses obligations familiales. Aussi existe-t-il des lois pour pouvoir intervenir auprès de ces personnes qui se mettent en péril : - La loi de 1966, qui encadre les mesures de Tutelles aux Prestations Sociales, - La loi de 1968, qui encadre les mesures de Tutelles aux Majeurs Protégés. Il s’agit de deux mesures ayant des objectifs très différents. La tutelle aux majeurs protégés possède différents niveaux : la sauvegarde de justice, la curatelle et la tutelle; que l’on applique selon les capacités de l’individu et son besoin de protection. La tutelle aux prestations sociales a une visée éducative et doit permettre au majeur de développer son autonomie sociale et budgétaire. Dans une grande majorité des cas, la gestion des mesures de protections est confiée à la famille ou à un proche. Cependant, lorsque la famille en est incapable (en conflit avec le majeur, de moralité douteuse...), le juge décide de confier cette mission à des professionnels de la gestion de tutelle : personnes physiques ou morales (ces derniers nomment alors des délégués à la tutelle). L’UDAF est la plus grosse structure de gestion de tutelle de France. Cette mission lui incombe de par l’article 3 du code de la famille : “l’UDAF peut gérer tout service d’intérêt familial dont les pouvoirs publics estimeront devoir lui confier la charge.” Des services de travailleurs sociaux et juristes sont chargés de gérer les mesures de tutelles et d’accompagner les individus. Aussi, je présenterai en premier lieu l’UDAF, ses origines, ses missions, puis l’UDAF de la Haute Vienne en particulier. Il apparaît intéressant de se pencher par la suite sur les spécificités des interventions en Tutelles aux Prestations Sociales. Tantôt faire avec, tantôt faire pour, il est difficile de savoir se positionner dans l’exercice de la mesure : c’est là toute la complexité du travail du délégué à la tutelle. Ce point particulier me paraît indispensable à garder en filigrane au long de ce travail de rédaction. Enfin, ayant mené une action professionnelle, je présenterai la famille auprès de laquelle j’ai effectué mon intervention, les objectifs fixés et les résultats obtenus. Cette dernière partie apparaît comme un exemple d’intervention d’un délégué à la tutelle, où les notions d’assistanat et d’éducatif s’entrecroisent, comme inévitablement liées.

Evaluation des principales mesures d’hygiène dans une épicerie solidaire
L’Epicerie, une solidarité qui se distingue du traitement social habituel En 2005, à partir d’une étude sur les besoins alimentaires et la précarité sur le territoire de Bordeaux Sud, le projet d’épicerie solidaire a émergé avec l’intention de construire une solidarité dans le domaine de l’alimentation soucieuse de préserver la dignité des personnes bénéficiaires tout en leur permettant d’être acteurs et de participer à ce projet. En 2006, un collectif d’associations, le Foyer pour tous, le Foyer fraternel et le Diaconat de Bordeaux, créent l’association l’Epicerie qui ouvre ses portes en 2008. Véritable épicerie de quartier ouverte à tous, l'épicerie est un lieu unique où tout le monde peut faire ses courses, que l’on soit bénéficiaire d’une aide ou non, ce qui favorise la mixité sociale. Elle n’est cependant pas habilitée à distribuer les aides, celles-ci s’obtiennent auprès du Conseil Général par l’intermédiaire d’un travailleur social de la CARSAT, des MDSI, du CCAS et de la Mission Locale pour les jeunes. Le principe est simple, le travailleur social sollicite un montant d’aides auprès du Conseil Général, en fonction de la situation de la personne. Une fois l’aide octroyée, celle-ci est directement versée à l’Epicerie et à chaque passage en caisse, le bénéficiaire réglera lui-même la moitié du montant de ses courses, l’autre étant prélevée sur son aide. Des associations achètent aussi pour leurs adhérents des bons d’achat à l’Epicerie. Au-delà d’un accès à une alimentation de qualité, cette association a aussi un objectif d’intégration sociale en permettant à ses adhérents de devenir bénévoles. L’Epicerie, c’est aujourd’hui plus de 1000 adhérents faisant partis des quartiers de Saint-Michel, Saint-Augustin, Bastide, Saint-Jean et Bordeaux Centre. Son fonctionnement repose aujourd’hui sur 3 salariés à temps plein, la Coordinatrice Mme Martin en CDI, une Conseillère en Economie Sociale et Familiale en CDD et une Responsable des Ventes en CDD, et sur 59 adhérents qui participent concrètement au projet collectif de l’Epicerie en tant que bénévoles. Dans cette même optique de socialisation et de revalorisation, des ateliers de cuisine sont proposés ainsi que d’autres ateliers tels que le jardinage, le Lombricompost et la couture. Des places de spectacle sont aussi offertes gracieusement aux adhérents pour leur permettre un accès à la culture. Enfin, tous les mercredis, un assistant social et une infirmière répondent aux questions concernant les démarches de soin et administratives d’aide. Ces consultations sont individualisées, anonymes et gratuites.

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