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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Comment banaliser la sexualité des personnes handicapées mentales en institution ?

Comment banaliser la sexualité des personnes handicapées mentales en institution ? Maintenant que la sexualité des personnes handicapées mentales est acquise, (d’un point de vue légal) le droit de la vivre est revendiqué comme quelque chose de naturel et d’évident. Il est fréquent d’entendre : « les personnes handicapées mentales ont droit de vivre leur sexualité comme tout le monde ». Cette proposition parait aller de soi dans un contexte social qui ne sait plus sur quoi se fondent ces interdits. Pourtant, elle est loin d’être simple et pose de multiples questions.

La sexualité concerne bien toute la population des personnes handicapées mentales, dans la réalité organique et physiologique, mais aussi comme moyen d’expression de soi dans la communauté humaine. Elle n’est jamais réductible au seul besoin, mais toujours acte de communication. Parce qu’il s’agissait d’un thème qui m’interpelle depuis quelques temps du point de vu personnel, le diplôme m’a permis de le traiter d’un point de vue professionnel.
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Etude et projet à l'ADMR
Le paysage économique de la société du XXIème siècle s’est modifié en raison des choix de productions industrielles. L’arrivée de l’informatique et de la haute technologique a amené des suppressions d’emploi mais a donné naissance à une économie de services. D’autre part notre époque connaît une population vieillissante. En raison de l’accroissement du nombre de personnes âgées, la part des inactifs est en augmentation. Confrontés à une précarisation de l’emploi, les pouvoirs publics visent le domaine de l’aide à domicile pour répondre à ce phénomène social. D’autre part, soucieux de réduire le déficit de la sécurité sociale, l’Etat préconise le maintien de la personne à domicile. Deux raisons se trouvent mises en évidence : réduire le temps de l’hospitalisation et permettre la sauvegarde des repères sur le plan psychologique.
Etude et projet : Le tri des déchets
Origine : Actuellement une grande majorité pour ne pas dire la quasi-totalité des résidents ne trie pas leurs déchets ménagers. L’enquête a démontrée un manque de sensibilisation des résidents : - 57 % des personnes interrogées n’ont pas connaissance des intérêts de ce dispositif - Seul 30% déclarent avoir connaissance du devenir des déchets - La connaissance du devenir se limite à l’incinération des déchets Finalité : Prise de conscience sur l’intérêt du tri à la source des ordures ménagères en vue d’amener le résidant à une éventuelle formation sur ce dispositif.
EP en foyer logement
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Les difficultés dans les pratiques du jeune actif en matière de recherche de logement.
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune (squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études, d’une nette amélioration des relations parents- enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se débrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dues à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les Foyers des Jeunes Travailleurs. Ceux-ci permettent aux jeunes de posséder un logement plus ou moins temporaire et des services à moindre coût. Ils permettent de marquer une période transitoire pour les jeunes dans l’attente de trouver un logement autonome. Avoir un « chez soi » représente une condition essentielle dans l’insertion sociale, tant sur le plan symbolique dans une démarche d’indépendance, que dans la réalisation de projets.

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