LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Comment banaliser la sexualité des personnes handicapées mentales en institution ?

Comment banaliser la sexualité des personnes handicapées mentales en institution ? Maintenant que la sexualité des personnes handicapées mentales est acquise, (d’un point de vue légal) le droit de la vivre est revendiqué comme quelque chose de naturel et d’évident. Il est fréquent d’entendre : « les personnes handicapées mentales ont droit de vivre leur sexualité comme tout le monde ». Cette proposition parait aller de soi dans un contexte social qui ne sait plus sur quoi se fondent ces interdits. Pourtant, elle est loin d’être simple et pose de multiples questions.

La sexualité concerne bien toute la population des personnes handicapées mentales, dans la réalité organique et physiologique, mais aussi comme moyen d’expression de soi dans la communauté humaine. Elle n’est jamais réductible au seul besoin, mais toujours acte de communication. Parce qu’il s’agissait d’un thème qui m’interpelle depuis quelques temps du point de vu personnel, le diplôme m’a permis de le traiter d’un point de vue professionnel.
Catégorie: Autre Conseiller en économie sociale et familiale
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Prévenir les chutes des personnes âgées pour bien vivre à domicile
Face au vieillissement de la population, le Gouvernement a décidé de mettre en œuvre de nouvelles mesures en matière d’accompagnement des personnes âgées. Le Plan Solidarité Grand Age, présenté le 27 juin 2006, prévoit le maintien à domicile des personnes âgées. Indépendamment des politiques sociales, une raison subsiste qui entrave le maintien à domicile des personnes âgées, il s'agit des chutes. La chute correspond à l’action de tomber au sol indépendamment de sa volonté. Principale cause de décès par accident chez les sujets âgés, les chutes entraînent une mortalité importante chez ces personnes.
Le tabac pendant la grossesse = tolérance zéro
Le tabac est l’un des toxiques le plus présent dans notre société, responsables de 60 600 décès en 2000 et consommé par 27 % des femmes selon l’INPES. Malgré des législations entrées en vigueur telles que la loi Evin (10 janvier 1991) qui pose clairement le principe de l’interdiction de fumer dans les locaux à usage collectif, ou bien les phrases de mise en garde inscrites sur les paquets de tabac, on comptait environ 13 millions de fumeurs en 2006 (mutuelle de la santé et du social).
Réaménagement de l'espace d'acceuil du centre social
Le projet "centre social" est la clé de voûte des centres sociaux. L’agrément est délivré par la CAF et renouvelé tous les 3 ans sur le "projet social" déposé. Le centre social est un projet participatif, solidaire et citoyen, pour développer la vie sur un territoire à partir de vrais débats. C’est un lieu d’accueil , de proximité et d’échange pour tous. La mission du centre social est d’assurer un accueil collectif et individuel. Il a pour objectif d’offrir une réponse de proximité pluridisciplinaire : répondre au besoin d’échange, d’écoute, à une demande dans le domaine des relations dans la famille et d’établir une relation de confiance.
EP sur l'entretien des locaux d'un foyer d'hébergement pour adultes handicapés
La question du handicap est longtemps restée en marge de la société. Cachée, refoulée malgré la législation en vigueur (loi de 1975), il aura fallu attendre l’affaire « Perruche » pour rouvrir le débat sur la prise en charge du handicap en France. La nouvelle loi du 11 février 2005 est riche en promesse dans la mesure où elle a pour vocation d’améliorer l’intégration des personnes handicapées. On y parle de droit à compensation, de scolarisation facilitée, de non discrimination dans l’accès et d’accessibilité des bâtiments et des transports. Personnellement interpellée par cette affaire « Perruche » et méconnaissant la personne handicapée, j’ai souhaité aller au devant de ce public, dans le cadre d’une structure accueillant des handicapés. C’est ainsi que j’ai effectué mon stage au foyer « Les Pins » foyer d’hébergement pour adultes handicapés travaillant dans un ESAT (Etablissement Social d’Aide au Travail). Ce foyer géré par l’AJH (Association les Jeunes Handicapés), crée en 1957 a pour mission d’amener ses résidents à d’avantage d’autonomie. Une première entrevue, portant sur le fonctionnement de l’établissement, avec l’attachée de direction du foyer, a révélé un dysfonctionnement: il n’y a pas de protocole d’hygiène des locaux même si les agents d’entretien assurent tout de même un travail correct. Mon observation sur le terrain a confirmé ce constat et a mis en avant l’insécurité dans laquelle travaillent ces agents d’entretien à cause de cette absence de protocole.

Connexion

Conseiller en économie sociale et familiale

Abonnement

Recherche