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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

l' Accompagnement en association intermédiaire

l' Accompagnement  en association intermédiaire Dans le cadre du module « L’intervention auprès des personnes », j’ai choisi de présenter 2 situations d’accompagnement qui se sont déroulées pendant la même période. Les 2 personnes, aux personnalités très différentes, avaient au départ sensiblement le même projet professionnel mais d’après moi, un potentiel différent pour le mener à bien. Ces situations m’ont interpellée sur plusieurs points et m’ont conduite à réfléchir sur ma façon de travailler avec le public que je reçois. Voici certains thèmes qui seront abordés : Sur quels critères ai-je décidé d’inscrire une personne en association intermédiaire ? La posture de l’accompagnement : identification, transfert… ? L’importance de la demande exprimée au départ et l’adhésion à un cadre, à une démarche d’accompagnement. - Les « outils » : la nécessité de s’adapter à chacun - Recadrer un accompagnement, renégocier des objectifs… - Les limites de l’accompagnement - La gestion des conflits

Ce module m’a permis de mieux saisir la spécificité de la relation d’aide dans l’accompagnement socio-professionnel et de me situer quant à mon rôle et à la responsabilité partagée du devenir des personnes. Voici les idées clés qui m’ont le plus interpellée au long de ce module. - La notion de médiation a toute sa place dans l’accompagnement qui vise à l’autonomie des personnes : en faisant avec l’autre et non à sa place, je lui permets de s’approprier une méthode, des réussites et des échecs.
Catégorie: Mémoire Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

L’après prison : réinsertion et liens sociaux
« Prison », « milieu carcéral », « détenu », « sortant de prison », « violence », « crime »… Voilà autant de termes trop souvent utilisés, stigmatisés et souvent incompris pour la plus part des individus. Le « prisonnier » est réduit à l’objet de son délit (vol, meurtre…) et se trouve dénué de toute incarnation humaine. La prison est banalement connue comme le lieu de détention ayant pour objectif de punir et de faire payer un fait commis et reconnu comme crime ou délit dans une société donnée par un individu. Le but de cette punition, est d’isoler l’individu dans une cellule, et lui interdire certains types de libertés pendant la durée de sa peine, afin qu’il « règle sa dette envers la société». La définition des délits et des crimes évolue dans le temps et selon les sociétés. Les sanctions sont dépendantes de ces évolutions, des droits des individus (âge de la majorité, droits à être défendu, droits des femmes, lutte contre les discriminations, informatique et liberté…) et des lois qui en découlent. La prison (l’isolement) apparaît donc comme le seul moyen trouvé par une société pour exclure des personnes en marge, susceptibles de mettre en danger autrui, eux-mêmes ou bien de nuire au bon fonctionnement social et légal, susceptibles encore de porter atteinte aux libertés ou aux jouissances individuelles et communes. Le grand public ignore les évolutions des conditions de détention ou des droits des détenus, par suite ignore aussi ce qu’il advient des individus à leur sortie de prison.
Comment une information personnalisée peut venir soutenir une politique de réinsertion professionnelle et sociale ?

Dans le cadre de ma formation de conseillère en économie social et familiale et de la réalisation de mes stages pratiques, j’ai convenu de poser mon regard sur le public des familles monoparentales, régulièrement rencontrées dans les institutions et structures. Ce public a suscité mon intérêt tout au long de ma formation car ces situations de monoparentalité sont de plus en plus visibles et sont le reflet d’une évolution de la famille. La définition la plus proche de mon point de vu s’orient e vers celle de l’Insee soit : « Une famille monoparentale comprend un parent isolé et un ou plusieurs enfants célibataires (n'ayant pas d'enfant)1»

On comptait 680 000 familles monoparentales en 1962, 1,5 million en 1999, pour arriver à environ 2 millions aujourd’hui. Soit une progression de plus de 50 % en une cinquantaine d’années. La première question que j’ai formulé est : « Quelles sont les réelles difficultés et les conséquences que doivent surmonter les familles monoparentales? »

La sensibilité des familles monoparentales à la pauvreté est d’autant plus forte que la situation de parent seul génère des surcoûts. Les dépenses liées au logement pèsent particulièrement lourd dans le budget des familles ainsi que les modes de garde (Herpin & Olier, 1998), et cela même si les transferts sociaux réduisent fortement la pauvreté économique de celles-ci.

Les travailleurs handicapés vieillissants en fin d'activité salariale en E.S.A.T.
L'ensemble de ces avancées marque une réelle volonté d'intégration de ce public dans la société et le désir d'évolution pour ces populations semble se poursuivre aujourd'hui. La première partie de ce mémoire s'appuie sur des travaux et des études effectuées sur le thème du vieillissement des personnes en situation de handicap, du vieillissement des travailleurs en E.S.A.T. et du handicap en général. Pour cela, vous trouverez dans cette recherche des données statistiques trouvées sur l'I.N.S.E.E. et la D.R.E.E.S., des résultats d'études et de recherches, le cadre législatif et les politiques publiques en vigueur. J'ai posé des constats grâce à mes différentes recherches et mes expériences personnelles. Grâce à tout cela je me suis posée des questions notamment qui sont les personnes en situation de handicap mental vieillissantes ? Ont-elles des caractéristiques spécifiques dans leur vieillissement par rapport à la population générale, du fait de leur handicap? Quels sont leurs besoins d'accompagnement engendrés par leur vieillissement? Au regard de ces informations, mon questionnement s'est orienté vers la prise en charge des personnes en situation de handicap vieillissantes en E.S.A.T. En effet, leur accompagnement agrémente de plus en plus de questions liées à la santé dû à leur vieillissement précoce, liées à la cessation d'activité droits à la retraite, transition vers l'inactivité professionnelle, liées au logement (hébergement ultérieur) et liées à la socialisation (maintien des liens sociaux) A partir de ses éléments, je me suis posée la question suivante : En quoi, la préparation à la cessation d'activité des travailleurs en E.S.A.T. est-elle nécessaire et de quelle manière le C.E.S.F. peut-il apporter son aide à la personne concernée afin d'aborder cette nouvelle évolution de sa vie ? Grâce à des entretiens avec des professionnels et des usagers, à mes différentes recherches, bibliographiques et audiovisuelles, qui m'ont donné davantage d'informations sur les lois et les dispositifs en matière d'accompagnement et de handicap et à mes expériences de stage, j'ai formulé quatre hypothèses : - une personne en situation de handicap connait un vieillissement différent des personnes valides. En effet, « les personnes handicapées vieillissantes connaissent plus tôt que les autres un certain nombre de symptômes du vieillissement. » - le changement d'un environnement stable engendre une perte des capacités et de l'autonomie. Le vieillissement et l'arrêt de l'activité professionnelle engendre des changements. La perte des repères, des acquis est souvent accompagnée de sentiments dépressifs, de dévalorisation de soi... ; - un accompagnement adapté pour préparer la retraite est nécessaire pour aider la personne en situation de handicap, les professionnels apportent des informations, des conseils et un soutien. - un travail en partenariat avec des services d'accompagnement ainsi qu'avec la famille doit se mettre en place
Apprentissage de la langue française
Tous ces éléments m’ont poussé à poser une question de départ pour ce travail de recherche : Malgré, la mise en place de mesures pour les familles immigrées, pourquoi certaines d’entre elles n’arrivent pas à s’intégrer dans la société française ? En effet, selon moi, le mot s’intégrer est un mot fort ayant une connotation positive, dans le sens, où il permet d’être reconnu pleinement comme un citoyen à part entière. Je souhaite donc par l’intermédiaire de ce travail de recherche, déterminer les causes qui peuvent empêcher cette intégration à la société française de certaines personnes immigrées et les solutions s’y rattachant. L’ensemble du travail de recherche concernant ce mémoire rentre tout à fait dans les compétences d’un CESF, il permet d’une part, d’assurer une veille technique, scientifique et juridique par l’analyse d’un phénomène social lié à la vie quotidienne (en l’occurrence l’intégration des personnes immigrées), d’autre part, d’adapter sa pratique en tenant compte de l’évolution des savoirs et enfin d’assurer auprès des personnes, des groupes, des institutions, des actions de conseil et/ou d’information pour aider aux prises de décisions.

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