LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

l' Accompagnement en association intermédiaire

l' Accompagnement  en association intermédiaire Dans le cadre du module « L’intervention auprès des personnes », j’ai choisi de présenter 2 situations d’accompagnement qui se sont déroulées pendant la même période. Les 2 personnes, aux personnalités très différentes, avaient au départ sensiblement le même projet professionnel mais d’après moi, un potentiel différent pour le mener à bien. Ces situations m’ont interpellée sur plusieurs points et m’ont conduite à réfléchir sur ma façon de travailler avec le public que je reçois. Voici certains thèmes qui seront abordés : Sur quels critères ai-je décidé d’inscrire une personne en association intermédiaire ? La posture de l’accompagnement : identification, transfert… ? L’importance de la demande exprimée au départ et l’adhésion à un cadre, à une démarche d’accompagnement. - Les « outils » : la nécessité de s’adapter à chacun - Recadrer un accompagnement, renégocier des objectifs… - Les limites de l’accompagnement - La gestion des conflits

Ce module m’a permis de mieux saisir la spécificité de la relation d’aide dans l’accompagnement socio-professionnel et de me situer quant à mon rôle et à la responsabilité partagée du devenir des personnes. Voici les idées clés qui m’ont le plus interpellée au long de ce module. - La notion de médiation a toute sa place dans l’accompagnement qui vise à l’autonomie des personnes : en faisant avec l’autre et non à sa place, je lui permets de s’approprier une méthode, des réussites et des échecs.
Catégorie: Mémoire Conseiller en économie sociale et familiale
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

En quoi être une mère adolescente peut être un facteur de risque d’exclusion sociale et professionnelle ?
Dans un premier temps, nous nous intéresserons aux jeunes mères. Je retracerai les grossesses adolescentes au cours de l’histoire, puis, nous ferons un point sur ce qu’est l’adolescence et les maternités précoces avant d’en dresser un état des lieux. Le profil de ces jeunes filles nous permettra de mieux comprendre d’où viennent les facteurs explicatifs dans le choix de devenir mère. J’exposerai les raisons d’une exclusion sociale et professionnelle. Enfin, j’analyserai les aides et le soutien qui peut être apporté aux adolescentes. Dans un second temps, nous exposerons la problématique en mettant en avant une réflexion permettant de répondre à la question de départ. Pour finir, j’indiquerai la méthodologie envisagée pour vérifier l’hypothèse. Les outils de recueil de données seront ici présentés.
Sortir de la rue quand on est sans-abri
Silhouettes isolées, groupes compacts, les média n’en parlent quasiment qu’à l’arrivée, chaque année, des premières nuits de gel et que le premier mort est retrouvé dans la rue. Pourtant ils sont de plus en plus nombreux, jour après jour, semaine après semaine, à hanter les rues de Paris. Et comme le rappelle Fabien Tuleu1, Délégué Général d’Emmaüs France : « On ne meurt pas de froid, on meurt de pauvreté ». Certains ont choisi ce mode de vie, trouvant dans cette errance l’expression de leur liberté, faisant ainsi perdurer la lignée des vagabonds d’autrefois, mais ce n’est pas la majorité. Pour la plupart, c’est en effet, une rupture, un enchaînement d’événements, une suite de problèmes économiques, familiaux, de santé, liés ou non à une faiblesse psychologique qui les a projetés dans la rue. On constate que la fracture est souvent brutale et qu’une sorte de point de non retour est facilement franchi.
L’après prison : réinsertion et liens sociaux
« Prison », « milieu carcéral », « détenu », « sortant de prison », « violence », « crime »… Voilà autant de termes trop souvent utilisés, stigmatisés et souvent incompris pour la plus part des individus. Le « prisonnier » est réduit à l’objet de son délit (vol, meurtre…) et se trouve dénué de toute incarnation humaine. La prison est banalement connue comme le lieu de détention ayant pour objectif de punir et de faire payer un fait commis et reconnu comme crime ou délit dans une société donnée par un individu. Le but de cette punition, est d’isoler l’individu dans une cellule, et lui interdire certains types de libertés pendant la durée de sa peine, afin qu’il « règle sa dette envers la société». La définition des délits et des crimes évolue dans le temps et selon les sociétés. Les sanctions sont dépendantes de ces évolutions, des droits des individus (âge de la majorité, droits à être défendu, droits des femmes, lutte contre les discriminations, informatique et liberté…) et des lois qui en découlent. La prison (l’isolement) apparaît donc comme le seul moyen trouvé par une société pour exclure des personnes en marge, susceptibles de mettre en danger autrui, eux-mêmes ou bien de nuire au bon fonctionnement social et légal, susceptibles encore de porter atteinte aux libertés ou aux jouissances individuelles et communes. Le grand public ignore les évolutions des conditions de détention ou des droits des détenus, par suite ignore aussi ce qu’il advient des individus à leur sortie de prison.
Accès et maintien dans le logement autonome de personnes atteintes de troubles psychiques
« La maison est toujours plus qu’un logement, c’est une habitation et une complicité » . Par cette phrase, nous comprenons mieux la place essentielle que le logement représente dans la vie de chaque individu. Plus que jamais d’actualité, le logement est un repère pour les familles dans lequel elles souhaitent s’y sentir bien. « Avoir un toit » est leur préoccupation majeure et souvent, le logement représente le plus gros poste de dépense. Le droit au logement est un droit universel qui a été reconnu pour la première fois au niveau international dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Dans cette déclaration, les Etats ont proclamé que : « Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux…» (Article 25). C’est grâce à ce droit fondamental que la loi sur le Droit au logement opposable a vu le jour le 5mars 2007. De plus, l’Organisation Mondiale de la Santé précise dans la charte d’Ottawa de 1986, que pour être en bonne santé, un individu « doit pouvoir se loger, accéder à l’éducation, se nourrir convenablement… » Le logement est donc une notion nécessaire pour le bien être de l’individu.

Connexion

Conseiller en économie sociale et familiale

Abonnement

Recherche