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A l’heure actuelle, malgré les progrès médicaux, les chercheurs sont en cours de réflexion sur cette pathologie irréversible et dégénérescente. C’est devenu un problème de santé publique, le gouvernement s’est engagé pour mettre tous les moyens nécessaires pour lutter contre ce fléau . C’est pourquoi, j’ai choisi de traiter ce thème afin d’approfondir mes connaissances actuelles dans la prise en charge de la personne âgée Alzheimer en maison de retraite.

Ce travail de fin d’étude est pour moi un travail de réflexions et de recherches, ainsi j’attends de celui-ci de comprendre la pathologie Alzheimer dans son ensemble et dans son évolution, d’acquérir des apports théoriques et pratiques pour gérer la relation soignant- soigné : afin d’accompagner et d’aider une personne âgée en maison de retraite présentant des troubles du comportement liés à la maladie Alzheimer, c’est ainsi que je suis donc arrivée à la question de départ suivante :

Pourquoi l’infirmier(e) rencontre-t-elle des difficultés pour gérer les troubles du comportement liés à la maladie Alzheimer ?

Le plan se présentera en trois parties :
Dans une première partie je poserai ma problématique : cheminement de mes lectures et des situations vécues qui m’ont amenés à une question de recherche sur laquelle, dans une seconde partie je m’appuierai pour définir des concepts qui sont :
La maladie Alzheimer, les troubles psycho-comportementaux et l’infirmière en E.H.P.A.D ainsi je me rendrai compte de l’importance de la gestion des ces troubles par l’infirmière en maison de retraite.
Ma troisième partie permettra de m’entretenir auprès d’infirmière, d’aide soignante et d’une aide médicaux psychologique en maison de retraite afin d’évaluer, d’analyser leur pratique et leur connaissance dans la prise en charge des personnes âgées Alzheimer.
Je conclurai par une synthèse de mon travail et de ce que celui-là m’a apporté dans ma pratique professionnelle à venir.

Le Conseil de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA) écrit dans ses préconisations 2015 qu’il est nécessaire de « faire de chaque intervenant du parcours des personnes (MDPH, établissements et services, acteurs du soin, école, etc…) un acteur de l’inclusion, au service de la continuité de ce parcours et de son adéquation avec le projet de vie de la personne».


La simple énonciation de cette attente suffit à rappeler que cette continuité et cette adéquation ne sont pas toujours les caractéristiques principales du parcours de vie des personnes en situation de handicap.

Jusqu’ici, pour nombre de familles, l’éducation d’un enfant en situation de handicap s’apparente encore souvent à un « parcours du combattant », au cours duquel elles souhaiteraient bien ne pas être obligées « de réclamer pour obtenir ce que n’importe quel enfant obtient quand il n’est pas handicapé »


Tout au long de la vie, chaque transition est ainsi, pour beaucoup, l’occasion de se confronter à nouveau à la réalité « administrative » que paraît aussi imposer le handicap.

Au délicat « deuil » des espoirs d’un parcours ordinaire, s’ajoute bien souvent le deuil d’un parcours simple et fluide, comme si le système chargé d’accompagner ces transitions y ajoutait sa propre part de difficultés à surmonter.

A l’heure actuelle, il n’est pas un seul magazine féminin qui ne fasse pas l’éloge de la minceur et ne recense pas les moyens pour y parvenir, depuis les régimes amaigrissants jusqu’aux interventions chirurgicales, en passant par les exercices physiques : « 100 idées minceurs auxquelles vous n’aviez pas pensé »,  « Minceur express : Perdez une taille en une semaine »… Beaucoup d’anorexiques sont rentrées dans leur maladie par un régime qui a mal tourné.

Ce mémoire est consacré à l’étude de la prise en charge de ces adolescentes anorexiques. Si la littérature médicale est riche de protocoles thérapeutiques, d’articles théoriques, d’analyses psychopathologiques et d’autobiographie, peu de publications décrivent la prise en charge de l’anorexie. La spécificité de mon mémoire, et son objectif,  est la construction d'une approche sociologique sur un objet a priori psychologique, voire clinique : l'anorexie. Mais comment peut-on faire une sociologie de l’anorexie et de sa prise en charge ?

Le «culte de la minceur», les représentations médiatiques du corps féminin, les changements des habitudes alimentaires, sont souvent invoqués pour expliquer la multiplication des cas d'anorexie mentale chez les adolescentes. L’anorexie semble alors faire appel à la sociologie seulement pour mesurer l’impact du contexte socioculturel sur la maladie.

Or, ce mémoire utilise la sociologie pour étudier l’anorexie en général, et les difficultés que rencontrent les soignants lors de la prise en charge des patientes anorexiques.

Cette recherche souligne l’impact destructurant que de tels actes entraînent sur l’enfant, adulte en devenir. Les répercussions de la maltraitance sont tout aussi importantes sur le plan physique que psychique. Etre maltraité physiquement entraîne une douleur dans la mesure où le corps reçoit des coups, mais aussi une souffrance psychique car la personne est atteinte dans son intégralité. L’enfant n’est pas reconnu ni respecté en tant que personne mais considéré comme un objet.

Aussi, je me suis interrogée sur la représentation qu’ils avaient d’eux mêmes, sur la construction de leur identité individuelle.

Pour répondre à cela, dans une première partie, il nous est, tout d’abord, apparu important et nécessaire de définir et de situer le cadre des abus sexuels. Puis, nous nous sommes intéressés aux dommages causés, pour enfin en dégager les conséquences.

Dans une deuxième partie, nous illustrerons notre recherche par l’étude de la personnalité d’enfants et d’adolescents ayant connus des abus sexuels et qui sont actuellement placés en centre éducatif, placement qui entre dans le cadre de mesures de protection de l’enfance.

Ceci est un mémoire de fin d'étude premier en sciences politiques spécialité sciences sociales  le travail correspond à la correlation entre l'urbanisme et le développement de la jeunesse  etude de cas faite à Casablanca, quartier Hay mohammadi. Maison des jeunes ( dar chabab) institution étatique :

Face aux réalités démographiques, économiques et sociales du Royaume avec, entre autres, une population des moins de 24 ans atteignant les 20% d’après le HCP. Le Maroc dresse le tableau : inévitablement, la jeunesse devient le centre des préoccupations du pays, celle-ci étant également le sujet de bon nombre de débats et d’interrogations.

La jeunesse se définit dans un premier temps comme étant « la période de la vie humaine comprise entre l’enfance et l’âge mûr ». Suivant cette définition il est dont possible de catégoriser la jeunesse. Par ailleurs, pour Bourdieu, la jeunesse [3]n’est pas un groupe social, et sa définition ne dépend pas de l’âge. D’après Bourdieu, la division des âges est « arbitraire » pour lui, la jeunesse est le fruit d’un rapport de lutte, l’enjeu est la lutte.   La jeunesse est en quelque sorte une représentation idéologique des plus vieux. Ce sont eux qui déterminent et imposent « l’ordre auquel chacun doit se tenir ». Autrement dit, les vieux ont une emprise sur la jeunesse, ils la façonnent en quelques sorte.

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