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Les modifications corporelles

Les modifications corporelles

Les modifications corporelles sont diverses, elles regroupent le tatouage, le perçage, la scarification, les implants chirurgicaux. On trouve divers termes pour désigner ces modifications corporelles que l’on commencera par définir. - Le tatouage tout d’abord, utilisé le plus couramment et connu de tous. Le tatouage est un signe visible inscrit à même la peau grâce à l’injection d’une matière colorée dans le derme à l’aide d’une aiguille d’un millimètre de long. Mentionné pour la première fois en 1769 par le capitaine COOK, le mot tatouage est dérivé du tahitien « tatau ». Il est surtout pratiqué sur les populations à peau claire, les populations à peau sombre le pratiquent plus rarement et sur certaines parties du corps telles les gencives et les lèvres. Il peut se pratiquer sur toutes les parties du corps sauf sur la langue. Le tatouage ne doit pas se faire sur un coup de tête ou pour répondre à un critère de mode passagère car c’est une marque indélébile qui restera toute sa vie. - Le piercing est un percement de la peau pour y poser un bijou, un anneau, une petite barre, etc. Signe d’exclusion au Moyen Age, le piercing s’impose aujourd’hui comme un acte de provocation et de revendication sociale. - S’y ajoute le stretching qui est un élargissement du piercing pour y mettre une pièce plus volumineuse. La scarification et les implants insérés sont moins connus mais cette pratique devient de plus en plus courante.

L’entaille de soi et le recourt à la douleur physique sont des moyens d’exprimer et de combattre pour certains, une ou des souffrances morales et psychologiques. Parmi les témoignages que nous avons tirés des œuvres de DAVID LE BRETON, il existe de nombreux sens à la relation douleur/souffrance selon les individus. La douleur provoquée par la scarification peut être utilisée comme butée symbolique à la souffrance. Elle l’est pour Muriel, 16 ans, qui a le sentiment de masquer sa souffrance par une douleur corporelle plus forte : « T’es tellement malheureuse au fond de toi-même, c’est le chagrin d’amour, tu vois. T’es tellement malheureux dans ton cœur, et puis tu te fais mal pour avoir une douleur corporelle plus forte, pour ne plus sentir ta douleur dans le cœur, tu vois un peu comment c’est ? » MURIEL, « La peau et la trace », LE BRETON D. p34 Le contrôle que l’on possède sur une douleur physique auto-infligée masque le caractère incontrôlable de la souffrance morale. De plus le sentiment d’apaisement que procure la douleur est de courte durée et la souffrance sous-jacente reprend vite une place importante exigeant de l’individu une répétition quotidienne de ses entailles. L’expression de la souffrance par l’entaille est un soulagement pour l’individu. A tel point que la douleur peut être minime en comparaison à l’apaisement qu’elle procure en atténuant la souffrance :

Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Réseau et partenariat en CHRS
Ce stage m’a permis d’élargir mes connaissances au niveau des réseaux et partenaires sociaux de la région Loire-Atlantique. J’ai rapidement constaté que le travail en partenariat est un élément important pour la dynamique propre d’un établissement tel que le CHRS. La question de l’ouverture, au moment de la construction des projets est devenue décisive, un point de passage obligé dès que l’on s’inscrit dans des projets d’insertion. Joseph ROUZEL précise que « la prise en charge doit être pensée en terme de « cohérence d’ensemble », où chaque partenaire institutionnel, joue son rôle, pour le bien être de la personne et l’aboutissement d’un projet global de prise en charge. » Dans ce travail, il s’agira de démontrer en quoi le travail en partenariat contribue à l’amélioration des interventions auprès des personnes accueillies au CHRS Trajet. En d’autres termes, je démontrerai comment la mise en place de démarches collectives peut favoriser la qualité d’un accompagnement individuel.
Dépendance au poker
La pratique du poker est actuellement très répandue parmi les adolescents et les jeunes adultes. Convivialité, plaisir du jeu, appât du gain ou encore identification aux célébrités, que recherchent les jeunes à travers cette expérience ? Salles de jeu clandestines, cyberespace, soirées entre copains, que révèle cet usage en termes de pratiques sociales ? Pratique récréative ou pratique excessive, assistons-nous à l’émergence d’une nouvelle forme de dépendance ? Comment interpréter l’adhésion à cette nouvelle forme de loisir? Répond-elle à une recherche de reconnaissance sociale fragilisée par le contexte du travail ou peut-on y voir un changement de mœurs, de valeurs, de recherche de plaisirs faciles, en cohérence avec les attitudes valorisées par la société de consommation ?
Le jeu

Dans le cadre de notre formation d’éducateur spécialisé à l’ITS Pierre BOURDIEU à PAU, des semaines techniques nous sont proposées. Plusieurs thèmes d’ateliers s’offrent à nous (musique, jeu, théâtre, cirque, atelier culinaire, danse).

Pour ma part j’ai choisi le « jeu » car il me semble très présent dans le quotidien des institutions . Il me parait être un bon outil à utiliser pour l'accompagnement éducatif . Cet atelier s’est déroulé à l’ITS sur quatre jours animé par une formatrice spécialisé dans ce domaine.

Durant cet écrit je vais chercher à définir ce qu'est le jeu, puis je vais expliquer ce qu’est une médiation éducative, je poursuivrais avec la spécificité du « jeu » et enfin je donnerai mes impressions sur ma semaine de stage.

1).Qu'est ce que le jeu ?
Le dictionnaire usuel :nous offre une longue liste de définition dont : « Activité physique ou intellectuelle à laquelle on s’adonne pour se divertir, en tirer plaisir. » « Activité organisée autour d’un système de règles. ». « Activité soumise à des règles conventionnelles, comportant gagnant et perdant, et où interviennent des habiletés physiques ou intellectuelles, l’adresse, l’habileté ou le hasard. »

Etude des 3 dispositifs de la loi 2002
Je suis en contrat d’apprentissage dans un établissement d’accueil pour personnes adultes handicapées. J’ai passé la première année de formation au sein de l’équipe du Foyer d’Accueil Médicalisé (FAM) et me trouve aujourd’hui dans celle du Foyer d’Hébergement (FH). Ce changement m’a permis de rencontrer un public varié, aux problématiques diverses. Il m’a aussi permis d’observer la mise en place des différents dispositifs de la Loi 2002 face à des handicaps différents. La loi n°2002-2 du 2 janvier 2002 a apporté de nombreux changements au sein du secteur social, notamment par les nombreux dispositifs qu’elle met à disposition des institutions sociales et médico-sociales. Parmi les 7 dispositifs, j’ai choisis de me pencher plus particulièrement sur le contrat de séjour en premier lieu, le règlement de fonctionnement ensuite et enfin, l’évaluation.

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